Bataille de Grunwald

conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Cette oeuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres. Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les idées nationalistes trouvent de nouveau une place en Allemagne et où les gens commencent

Moussine Pouchkine découvre une épopée narrant la lutte menée par les Russes contre les peuples nomades des Poloutsls : Chants de la troupe d’Igor. L’épopée entre dans le patrimoine russe car nécessaire à la culture nationale. En 1769 parait la bataille d’Arminius par Klopstock. Il entoure le héro de bardes chantant. Les bardes gallois font aussi leur apparition avec la Barde du poète Grey. Les hommes de lettres se rassemblent dans des réunions artistiques intitulées Eisteddfodau. Elles ont pour

points d’interrogation au début du texte ? b. Quelle comparaison René Jacob fait-il au 1er paragraphe ? c. Combien de lignes la première phrase du deuxième paragraphe tient-elle ? Pourquoi ? d ; Quelle différence l’auteur fait-il entre un cham de bataille et un champ de carnage ? 4. L'HORREUR DE LA GUERRE : p. 108 : Maurice Drans   Vous devrez dans un premier temps lire la lettre à voix haute pour vos camarades, puis en présenter une analyse :   1.      A quel moment de la guerre cette lettre

exciter l’imagination. Car le peintre de la renaissance, en effet, incitait ses élèves à observer les tâches des murs ou les nuages pour y découvrir des « inventions très admirables , dont le génie du peintre peut y tirer parti pour composer des batailles d’animaux et d’hommes, des paysages et d’autre choses fantastiques ». (Voir biographie dans l’annexe page 48). L’homme est tout aussi imprévisible dans ce qu’il fait, et aussi ses actes, geste donc l’artiste aussi. André Masson, le maitre de la ligne

occupa le Berry, d’où Charles de France s’était enfui, et se jeta sur le Bourbonnais ; mais il dut rebrousser chemin à l’annonce que deux armées, bretonne et bourguignonne, se dirigeaient sur Paris. La rencontre eut lieu le 16 juillet à Montlhéry ; la bataille resta indécise, mais les Bourguignons gardèrent l’avantage du terrain. Se bornant d’abord, pour parer au plus pressé, à mettre Paris en état de défense, Louis XI courut chercher des renforts en Normandie ; puis les défections qui se multipliaient

contexte de violence politique, les événements qui se produisent au sud de la Loire créent une situation inédite. L'armée de répression dépêchée depuis La Rochelle est dispersée par une bande rurale au cœur du département de la Vendée, le 19 mars. La bataille provoque une panique régionale et une émotion à la Convention, qui se met à parler de « la guerre de Vendée ». Amalgamant ainsi toutes les insurrections qui se sont produites au sud de Nantes jusqu'à Angers, elle crée une région imaginaire, la Vendée