Bataille de Lépante

le carrosse. Alors que les deux hommes brandissent leurs épées, le récit s’interrompt brutalement et le narrateur explique qu’il n’a pu trouver la suite de ce récit avant de longues semaines de recherche. Chapitre 9 : « Fin de l’étonnante bataille qu’eurent ensemble le brave Biscaïen et le vaillant Manchèque » Le narrateur explique qu’il n’est pas le « premier auteur » de l’histoire. Il n’est en réalité qu’une sorte de compilateur de diverses sources préexistantes. La source principale

détailles fusionnent. Par exemple, dans le petit panneau du Coin de forêt avec Saint Georges combattant le dragon (1510),ce dernier fait partie intégrante de la forêt, ou encore dans la Résurrection (1518) où la nature participe au miracle. Mais la Bataille d'Alexandre (1529) est certainement sa plus grande oeurvre et est d'ailleurs considérée comme l'une des plus puissantes œuvre de l'histoire de la peinture. L'historien de l'art Otta Benesch fait remarquer que les toiles d'Aldorfer peintes dans les

dans des pièges, de grands trous qu’ils creusaient, ou des dénivelés naturels (la roche de Solutré). Faibles et nus, ils furent obligés de s’organiser, d’envoyer des éclaireurs pour rabattre le gibier (techniques qu’utiliseront ensuite dans leurs batailles, tous les grands capitaines). Pour transmettre les ordres au loin, il leur fallut employer des sons qui ne faisaient pas partie de leur héritage phonétique. Le langage était né. Ils avaient auparavant la capacité de parler, mais ils n’en usaient

du bronze, même s'ils l'obtenaient déjà par lavage des sables en contenant. Au VIe siècle, Tartessos disparaît brusquement de l'Histoire, certainement balayée par Carthage qui lui fit indubitablement payer son alliance avec les Grecs après la bataille d'Alalia (537 av. J.-C.). Les Romains appelèrent toute la baie de Cadix « Tartessius Sinus », mais le royaume avait déjà cessé d’exister. 5 Les Phéniciens et les Grecs. La beauté du climat et la richesse du sol, surtout en mines, attirèrent bientôt

l’empire seldjoukide : en 1395, Bayezid Ier obtient du calife du Caire le titre de Sultan -Vocabulaire p.116 al Rûm (des terres byzantines). - Puis Bayezid est défait par le turco-mongol Tamerlan qui anéantit ses armées et le fait prisonnier à la bataille d’Ankara (1402). Avec ce premier recul depuis un siècle, l’expansion est stoppée et le territoire réduit. Mehmed Ier puis Murad II doivent reconstruire la puissance perdue. Après quoi, Mehmed II le Conquérant : o détruit ce qui reste de l’Empire

l’intervalle, et dont la chair désossée était employée en salaisons. Des abatis et des os brisés se faisait le pot-au-feu les samedis, car c’était alors la seule viande dont l’usage fût permis ce jour-là, par dispense, dans le royaume de Castille, depuis la bataille de Las Navas (1212). On conçoit comment, de son origine et de sa forme, ce mets avait pris le nom de duelos y quebrantos. 1 20 quelque pigeonneau outre l’ordinaire, consumaient les trois quarts de son revenu. Le reste se dépensait en un pourpoint

déclin. L’expansion Ottomane a été stoppé à Vienne(1529) et à Lépante(1571), c’est alors que les visées ottomanes se tournent vers l’Afrique puis à la fin du XVIIème, l’Empire pousse à nouveau vers l’Europe(siège de Vienne en 1683) mais fini par être vaincu par la sainte-ligue et notamment les Habsbourg(1697) et par

existe d’autres projets de croisades plus tardifs, au XIV°, pour contrer l’avancée ottomane. Les mentalités ont évoluées, les princes s’occupent de leur propre royaume. Création du mythe de l’invincibilité des ottomans qui résistera jusqu’à la bataille de Lépante en 1571. Origine de la croisade La croisade se greffe sur une pratique du IV° siècle, le pèlerinage. Le pillage de Jérusalem est à l’origine de cette transformation. Au IX°, l’Eglise lutte pour éradiquer la violence et la guerre en occident

mais aussi ses institutions et ses lois. On parle donc d’un citoyen-soldat. Question 4 : Un citoyen athénien doit faire preuve d’honneur au combat en respectant un serment pour se montrer à la hauteur de son statut. Par ailleurs, sur le champ de bataille, les hoplites combattent les uns à côté des autres, ce qui prouve leur solidarité. Question 5 : Pour Aristote, le citoyen est avant tout celui qui s’implique dans la vie politique de sa cité. Ainsi, dans la démocratie athénienne, ce sont les citoyens

fut préparée et conduite, la part qu’eurent les deux grandes forces militaires de la France, l’armée et la marine, à cette expédition qui nécessita une navigation et un débarquement difficiles dans le temps ou la vapeur naissait à peine, une grande bataille et un siège ; le rôle important qu’y remplit l’administration, pour laquelle celte expédition fut le signal d’une nouvelle ère, suffiraient à fournir la matière d’un utile et intéressant récit. Mais d’autres circonstances VI PRÉFACE. encore viennent