Bataille de Salamine

est toujours présente. En 480 avant J-C, on a vu une toute petite armée (dirigée par Leonidas) spartiate tenir tête à plusieurs milliers de perses dans le défilé de Thermopyle. La même année, la flotte athénienne défait la flotte perse à la bataille de Salamine. Les grecs peuvent être supérieurs à bien des Etats par leur intelligence, leur courage ou leur vertu. La vertu que l'Homme politique doit cherche à acquérir est ce qui représente l'essentiel pour l'Homme : « Les cités, pour être heureuse,

armée, non d’une horde de barbares, contre lesquels chacun devrait défendre sa vie au prix de tout son sang, mais d’un seul ; non Mirmidon * souvent le plus lâche, le plus vil et le plus efféminé de la nation, qui n’a jamais flairé la poudre des batailles, mais à peine foulé le sable des tournois ; qui est inhabile, non seulement à commander aux hommes, mais aussi à satisfaire la moindre femmelette ! Nommerons-nous cela lâcheté ? Appellerons-nous vils et couards les hommes soumis à un tel joug ? Si

Minerve, protectrice d’Athènes, tâchait en vain, par toutes sortes de moyens, d’apaiser la colère de Jupiter ; que cependant Jupiter, en faveur de sa fille, voulait bien souffrir que les Athéniens se sauvassent dans des murailles de bois, et que Salamine verrait la perte de beaucoup d’enfants chers à leurs mères, soit quand Cérès serait dispersée, soit quand elle serait ramassée. Sur cela Oenomaos perd entièrement le respect pour le dieu de Delphes. « Ce combat du père et de la fille, dit-il, sied

d’un cheval est à l’origine de l’appellation chevalier romain. Pour financer le versement de la solde aux guerriers, il fallait prélever des impôts sur les citoyens. Cet impôt qu’on appelle tribut ou stipendium en latin, fut suspendu après la bataille de Pydna. En effet, le butin dont s’est emparée l’armée était tel qu’il a permis de suspendre la perception du tribut. Les effectifs. La légion est la principale unité. Elle comprend 4000 à 5000 soldats. Chaque consul disposait

pensée de l’auteur, m’a été inspiré par une chanson, que tout le monde connaît, de notre tant bon ami Béranger, Qu’il nous pardonne ce larcin !) souvent le plus lâche, le plus vil et le plus efféminé de la nation, qui n’a jamais flairé la poudre des batailles, mais à peine foulé le sable des tournois ; qui est inhabile, non seulement à commander aux hommes, mais aussi à satisfaire la moindre femmelette ! Nommerons-nous cela lâcheté ? Appellerons-nous vils et couards les hommes soumis à un tel joug ? Si

débat Régime personnel, démagogie, oligarchie Expliquer un texte © Cned – Académie en ligne 4 Séquence 3 – HG20 La Polis ou cité athénienne aux Ve et IVe siècles avant J.-C. TYRANNIE DÉMOCRATIE OLIGARCHIE DÉMOCRATIE * 490 Marathon * 480 Salamine 451 429 PÉRICLÈS 431 404 Guerre du Péloponnèse * 338 CHÉRONÉE VIe siècle av. J.-C. Ve siècle av. J.-C. IVe siècle av. J.-C. 507 Réformes de CLISTHÈNE 478 Ligue de DELOS La période de votre programme concerne ce que l’on appelle la

centres pré-urbains à l’origine des cités ou « polis ». Ces cités-états sont des noyaux urbains qui contrôlent un territoire et possèdent une autonomie politique. Une multitude de citée indépendante des unes des autres se forment. 31 BC c’est la bataille d’Actium : Cléopâtre et Antoine contre Octave (futur empereur Auguste). Fin de l’indépendance de l’Egypte et début de l’Empire Romain sur le monde grec. Le 1er siècle BC connait la fin de l’art grec, même s’il se diffuse encore à l’époque de l’empire

crise agraire. Or au même moment les techniques de guerre évoluent. Les chars de combat et la lourde cavalerie aristocratique fait place à l’infanterie, qui nécessite un beaucoup plus grand nombre de guerriers (ce n'est plus les duels, mais des batailles de masse). C’est naissance de la fameuse phalange grecque composée de fantassins lourdement armés, les hoplites (les guerriers qui doivent avoir tout l'équipement) , qui combattent en groupe compact. Ceux-ci appartiennent, du fait du coût de l’équipement

le but d’opérer simultanément contre les Grecs, les Karthaginois firent passer en Sicile une armée considérable sous la conduite d’Amilcar(2) fils de Magon ; mais cette alliance ne leur fut pas favorable et, tandis que les Perses étaient écrasés à Salamine, les Phéniciens éprouvaient un véritable désastre en Sicile (vers 480). La guerre continua pendant de longues années en Sicile, sans que les Karthaginois y obtinssent de grands succès : les revers, la peste, les calamités de toute sorte semblaient

Sylvius [12]. Outre une origine commune avec les Romains, elles avaient encore des rites communs, et Servius Tullius [13] les avait engagées à faire bâtir un temple dans Rome, pour être le centre de l’union des deux peuples. Ayant perdu une grande bataille auprès du Lac Régille, elles furent soumises à une alliance et une société de guerres avec les Romains [14]. On vit manifestement, pendant le peu de temps que dura la tyrannie des Décemvirs, à quel point l’agrandissement de Rome dépendait de