Bataille De Stalingrad

peuple de l'URSS (1959) né le 28 décmebre 1908 à Iekaterinoslav et mort le 12 avril 1974 à Moscou. Ce sculpteur est connu, pour sa statue, l'une des plus grands du monde, la mère Patrie, commémorant la bataille de Stalingrad sur la colline dite Kourgane Mamaïev à Volograd, nom de l'ancienne Stalingrad. 2- Le protecteur (1940) Sculpteur : Arno Breker Type d’œuvre : bas-relief Lieu de conservation : œuvre détruite en 1945 Arno Brecker, né le 19 juillet 1900 à Elberfeld et mort le 13 février 1991

position s’installe. L’arrivée des USA marque un tournant. →Les USA favorisent la victoire future de la Triple Entente. B-Violence des combats -Les combats sont violents, les victimes innombrables. En 1916, on compte 1'200'000 morts, blessés. La bataille de Verdun(1916) devient le symbole d’une guerre qui s’enlise. En 1915, 1'200'000 d’arméniens sont déportés et massacrés par les Ottomans. →On parlera par la suite du génocide arminien. -La mort est omniprésente. Les avancées technologiques dans

24 novembre : De gaulle part à Moscou. Sur le chemin s’arrête au Caire pour faire la rencontre du roi Farouk 1er puis a Téhéran ou il rencontre les alliés. * 26 novembre : Arrivé a Bakou. Visite ville et usines * 28 novembre : S’arrête à Stalingrad pour rendre hommage aux combattants * 2 décembre : arrivé a Moscou, entretien avec Staline pour un pacte Franco-russe * 6 décembre : Réunion avec Staline au sujet de la situation de la Pologne * 8 décembre : Condition posé sur la

Économiser les soldats : Démocratie. Bombardement de dresse : Février 1945. Il dura 2 jours. Il y eu 1.300 bombardiers équipés au total de 3.900 tonnes de bombes. Il y eu 4 raids, et au total 25.000 morts dont 18.000 non identifiés. La Bataille de Stalingrad, Juillet 1942 – Février 1943 : Il y eu 750.000 morts dont 250.000 civils. Apparition des tireurs embusqués, les snipers. Les allemands se font piégés par les russes, ils se font encerclés. 4. Une violence idéologique. Conflit idéologique

Nord-est de la France, et l’Ouest de la Russie. - une longue phase (de l’automne 1914 au printemps 1918) marquée par - une guerre de position sur les fronts principaux et sur les autres confins des Empires centraux, marquée notamment par de grandes batailles modernes longues et meurtrières (Verdun, La Somme) mais non décisives. - une mondialisation du conflit : avec l’ouverture de nouveaux fronts contre les colonies allemandes en Afrique, Asie et Océanie, mais aussi le déclenchement par les Allemands

est d’enfoncer les troupes le plus rapidement possible. L’Allemagne conquiert tout le Nord de la France et l’Aquitaine pour contrôler la façade Atlantique pour éviter des débarquements Anglais ou de troupes venus des colonies. S’en suit la bataille d’Angleterre, avec un bombardement constant de l’Angleterre pour faire pression sur le moral Anglais. Aucun affrontement navales comme le pensait Hitler qui continue alors sa conquête de l’Europe et se dirige sur le Front Est, contre l’URSS : opération

de terre brûlée est de casser tout sur son passage pour ralentir la progression adverse. Mais aussi, deux armées qui se battent provoquent des dommages collatéraux, comme à Stalingrad (11/1942 – 02/1943), bataille remportée par les Soviétiques. Cette première défaite allemande deviendra un symbole. La seconde grande bataille symbole est celle de Berlin, encore une fois remportée par les Soviétiques. L'URSS s'impose donc comme vainqueur. A cause de cela, les économies sont ruinées et l'appareil productif

territoires frontaliers dans les Alpes. C ) Une guerre qui s'étend. A partir du mois d'août 1940, Hitler engage la Bataille d'Angleterre. Les bombardements se multiplient. La résistance anglaise, dirigée par Winston Churchill, contraint Hitler à renoncer à l'invasion des îles britanniques. Il tente alors d'isoler le pays avec des sous-marins, c'est la bataille de l'Atlantique qui durera toute la guerre. En Méditerranée, Hitler doit porter assistance à leurs alliées italiens qui connaissent

envahit la Belgique et le nord de la France en repoussant l’armée franco-britannique jusqu’au sud de la ligne Paris-Verdun. Cependant, entre le 5 et le 12 septembre, la bataille de la Marne permet d’arrêter les allemands, qui battent en retraite et établissent leur lignes 75 km en arrière. Ensuite, la « Course à la mer » et la bataille d’Ypres, début novembre, étendent le front sur 850 km, depuis la Suisse jusqu’à la mer du Nord Sur le front Est, les russes profitent de leur écrasante supériorité numérique

des GI’s. Là encore, le succès est au rendez-vous. Enfin, avec la chute du régime soviétique, les historiens s’intéressent de plus en plus à la guerre sur le front russe et aux sacrifices des soldats soviétiques, symbolisés par la terrible bataille de Stalingrad., à laquelle on consacre des livres et des films depuis quelques années. C Une Histoire inachevée ? Le film Indigènes, sorti en 2006, l’a montré. Tous les combats de la Libération et de la victoire n’ont pas été traités de façon égale