Bataille de Yorktown

heurtent à la vigoureuse résistance de l’empire du Maroc, dirigée à partir des 1540’s par la dynastie chérifienne. Cette dernière expulse les Portugais des places occupées sur la côté marocaine, et écrase l’armée portugaise du roi Sébastien lors de la bataille de Ksar-el-Kébir, en 1578 (Sébastien y est tué). Dans l’est de la Méditerranée et sur les rives de la mer Rouge, les Européens affrontent les Turcs, dont l’empire contrôle une large partie du MO et de l’actuelle péninsule arabique. Le règne de

mais dès ce pacte, sa flotte et son armée sont engagées pour bloquer les troupes britanniques. Le marquis de La Fayette reste le symbole de l’implication française dans ce conflit. Les combats restent cependant difficiles mais la bataille de Yorktown, en Virginie, bataille à laquelle participent les Français marque la capitulation de l’armée anglaise. Suite à cette défaite, les affrontements sur le territoire américain deviennent rares, par ailleurs, Londres accepte une négociation car sa population

de Necker dénonçant les dépenses de la cour. 19 mai Démission de Necker, Joly de Fleury le remplace. 3 septembre Victoire navale française contre les Anglais à Chesapeake. 19 octobre Prise de Yorktown (Virginie) par les troupes franco-américaines. 20 octobre Capitulation des troupes anglaises à Yorktown. 18 décembre Création des fonderies royales du Creusot. 1782 12 avril début des pourparlers de paix entre l'Angleterre, la France et les États-Unis à Paris. 4 juin Les frères Montgolfier lancent

développer (en utilisant des ingénieurs (engineers) (unité de génie)), approvisionner des stocks, et augmenter les équipements des ports pour de futures frappes. Le combat en mer est articulé autour des bases et de ses occupants ; Par exemple si une bataille se déroule profondément à l’intérieur d’un secteur contrôlé par les bases Alliés, le Japonais sera à la merci d'une reconnaissance allié et de la puissance de frappe des unités aériennes basées à terre. Cependant ce cas peut se rencontrer avec les

le pays des Iroquois. Toutefois, sur place, le gouverneur entreprend de négocier longuement avec les Iroquois au lieu de les attaquer. Les provisions commencent à manquer et la maladie décime l’armée de La Barre, qui n’est plus en état de livrer bataille. Les Iroquois en profitent pour imposer leurs conditions, obligeant les Français à rompre leur alliance avec les Illinois et à évacuer leur territoire. Après cet échec lamentable, La Barre est rappelé en France. Trois ans plus tard, son successeur

s’improvisent, des armes sont réunies. Quand des troupes anglaises sont chargées de récupérer celles qu’elles savent être cachées à Concord, près de Boston, elles sont accueillies à coups de fusil et obligées de se retirer précipitamment. Cette « bataille » de Lexington (19 avril 1775), suivie de celle de Bunker Hill (17 juin 1775), est le signal de la rupture. 3. Guerre d’Indépendance ou révolution américaine ? Les historiens américains ont coutume de qualifier de révolution la sécession avec

Elles sont destinées à mater les colons américains, vus comme des rebelles (insurgents). Ceux qui sont restés fidèles au roi sont qualifiés de « loyalistes ». L’armée américaine, formée de volontaires, est inférieure à l’armée anglaise. Battu à la bataille de Long Island, en août 1776, le général George Washington (1932-1799) se voit contraint d’abandonner New York. Il faut attendre le 17 octobre 1777 pour assister à la première victoire américaine, à Saratoga. C’est un tournant, puisqu’elle conduit

dans des pièges, de grands trous qu’ils creusaient, ou des dénivelés naturels (la roche de Solutré). Faibles et nus, ils furent obligés de s’organiser, d’envoyer des éclaireurs pour rabattre le gibier (techniques qu’utiliseront ensuite dans leurs batailles, tous les grands capitaines). Pour transmettre les ordres au loin, il leur fallut employer des sons qui ne faisaient pas partie de leur héritage phonétique. Le langage était né. Ils avaient auparavant la capacité de parler, mais ils n’en usaient

pour gagner une bataille avec une armée moins forte numériquement que celle de l'ennemi. Il fit monter ses soldats sur des bateaux et navigua vers le pays de l'ennemi. Là il fit débarquer hommes et armes, puis donna l'ordre de mettre le feu aux embarcations. S'adressant à ses soldats avant la première bataille, il leur dit : “Comme vous pouvez le constater, nous n'avons plus de bateaux. Cela signifie que nous ne pourrons quitter ces rivages vivants que si nous gagnons la bataille ! Nous n'avons

pour gagner une bataille avec une armée moins forte numériquement que celle de l'ennemi. Il fit monter ses soldats sur des bateaux et navigua vers le pays de l'ennemi. Là il fit débarquer hommes et armes, puis donna l'ordre de mettre le feu aux embarcations. S'adressant à ses soldats avant la première bataille, il leur dit : “Comme vous pouvez le constater, nous n'avons plus de bateaux. Cela signifie que nous ne pourrons quitter ces rivages vivants que si nous gagnons la bataille ! Nous n'avons plus