Bataille épique

Paris, février 1818, peu de temps avant la chute de l'Empire, l’avoué Derville reçoit la visite d'un vieillard misérablement vêtu. Il assure être le colonel Chabert, passé pour mort, à la bataille d’Eylau en 1807. Il avait alors contribué à la victoire en conduisant une charge de cavalerie devenue célèbre. Le vieil homme raconte comment, se réveillant dans un fossé entre des cadavres, il a survécu miraculeusement à ses blessures. Il revient dix ans après et souhaite réclamer son titre, faire valoir

travers les choix d'écriture C. Les informations sur le champs de bataille, la vie au front Bardamu : un antihéros A. Il n'est porteur d'aucune valeur héroïque B. Il fait preuve d'un individualisme forcené Ce récit n'en constitue pas moins une dénonciation de la guerre A. Elle est absurde B. Elle est atroce C. Elle déshumanise LA n°6 : Stendhal « La Chartreuse de Parme » Une scène historique : la bataille de Waterloo A. Les forces en présence sont réelles B. Une scène

culture grecque. Il découvre les héros de l'Iliade, auxquels il rêve de ressembler. Il est intelligent mais aussi doué de bonnes qualités physiques. Très tôt, son père lui fait partager son pouvoir. Il lui confie le commandement de la cavalerie à la bataille de Chéronée (338 avant J.C). Alexandre s’illustre en exterminant le bataillon sacré des Thébains. Philippe II souhaite unifier les cités grecques pour ensuite attaquer les Perses. Il forme la ligue de Corinthe, regroupant toutes les cités sauf celle

Premier ministre. En effet, Neville Chamberlain assuma la responsabilité de l'échec et offrit sa démission, blanchissant Churchill par la même occasion et laissant à ce guerrier né la mission de conduire la guerre. Durant les jours sombres de la bataille d'Angleterre, les discours passionnés de Churchill poussèrent les Britanniques à poursuivre la lutte. Pour être tout à fait sûr que la flotte française ne tombe pas entre les mains des Allemands, il ordonna que l'on attaque la flotte de l'Atlantique

vers 510 a.n.e à Athènes, fils de Miltiade (540-489 a.n.e, Tyran en Thrace) il devient comme son père, Stratège à Athènes. Sa mère est la princesse de Thrace Hégésipylé. Il se fait connaitre pendant la deuxième guerre médique (480-449), lors de la bataille de l’Eurymédon (fleuve situé dans l’actuel Turquie) en 469 où il obtient une très grande victoire sur la flotte Perses. Cimon né donc à Athènes, cité qui se situe dans la région de l’attique mais vie en Thrace car son père est le roi de Thrace et

de Simon Bolivar le 20 Janvier et sa mort le 1er décembre. Contexte littéraire: Conflit entre les vieux conservateurs désirant conserver le classicisme dans la littérature et la jeunesse désireuse de changements ce qui va donner lieu à la « bataille d'Hernani » qui oppose les adeptes du classicismes et les partisans du romantisme. C)Résumé de l'œuvre: La pièce s'organise en cinq actes et 26 scènes. L'action se situe en Espagne au moment de l'accession à l'empire du roi Don Carlos

femme sans cœur». Partie D: Hyacinthe Chabert, enfant trouvé, qui a gagné ses galons de colonel dans la Garde Impériale en participant à l’expédition d’Égypte de Napoléon Ier, a épousé Rose Chapotel, une modeste roturière. Blessé au cours de la bataille d'Eylau en 1807, il est déclaré mort. Resté vivant sous une montagne de cadavres, Chabert réussit à faire reconnaître son identité de l’autre côté du Rhin et, après de longs détours, il revient à Paris en 1817 pour découvrir que Rose Chapotel, remariée

besoins en matériel sont gigantesques : pour 1 G.I. Américain il faut en moyenne une tonne de matériel par mois ! La Seconde guerre mondiale est une guerre industrielle où, pour l’emporter il faut produire plus et mieux que l’adversaire. Ainsi, à la bataille de Koursk en juillet 1943, 3000 chars sont engagés ! Toutes les économies se reconvertissent en économies de guerre et les états organisent la production (important dirigisme). Début 1942, avec le "Victory Program" annoncé par Roosevelt, toute

La bataille de Verdun 21 février - 19 décembre 1916 1. Avant la bataille A la fin de 1915, les hauts commandements rivaux se retrouvent une fois de plus devant la nécessité d’établir des plans pour l’année suivante et de conjuguer des vérités, évidentes depuis le premier jour. Falkenhayn (général allemand d’infanterie) voit enfin l’occasion de mener la guerre qu’il juge prioritaire depuis le début : celle du front occidental, contre la France et l’Angleterre. Il attribue les échecs passé à l’absence

sans route ni pont, et la progression est très lente. Les anglais ne savent jamais exactement où se trouve l'armée ennemie, infiniment plus mobile. Chelmsford, qui sous-estime ses adversaires et se préoccupe surtout de pouvoir les contraindre à la bataille dans n’importe quelle circonstance, va commettre une série d'imprudences. Tandis que le peuple zoulou est opposé à cette guerre car ils sont conscient que leurs adversaires sont supérieur militairement. Mais jugeant l'ultimatum et l’invasion de