Bataille

l’invention des chars, mitrailleuses, gaz. 2. Conduit à des victimes et des destructions de masse Boucherie sans précédent Tués par jour : 900, France 1300, Allemagne 1400, Russie La bataille de la Somme ne fut jamais égalée : 20.000 tués et 40000 blessés britanniques Guerre de position, défensive, des batailles qui durent + de 5 mois pour la Somme, 10 mois pour Verdun : traumatismes durables chez les blessés. La solitude au combat et la durée de la guerre. LA GURRE

va avec ce roman s’affirmer comme un des grands auteurs épique. Extrait situé dans la deuxième partie du roman, moment fatal de la Bataille de Waterloo, la cause de la perte des français. Axes : L’extrait est présenté sous la forme d’un récit historique Une scène épique Une fin tragique I. Un récit historique a) Une réalité - Bataille de Waterloo, 18 Juin 1815. Deux armées opposées à l’armée française ont gagné, l’armée des Alliés (Britannique et Allemands) et l’armée

de Béthouard s'emparent de Narvik, mais ils doivent l'abandonner quelques jours plus tard car en France même la victoire allemande est alors pratiquement acquise. Article détaillé : Campagne de Norvège. Plan de bataille développé par Erich von Manstein en vue de la bataille de France. En effet, en mai-juin 1940, l'armée allemande mène à bien l'invasion foudroyante des Pays-Bas, du Luxembourg, de la Belgique et de la France. On parle de « Blitzkrieg », c'est-à-dire de « guerre éclair ». Le

fidèle au livre mais il y a certaines comparaisons. Dans le roman de Balzac, le bataille d'Eylau n'est évoquée qu'une seule et pendant le long récit que le colonel Chabert fait à Derville, son avoué, contrairement au film. Celui-ci représente cinq représentations de cette bataille notamment au début et à la fin du film. Ces cinq représentations ne sont pas dans l'ordre chronologique, la première montre la fin de la bataille, tous les morts jonchés sur le sol puis amenés dans la fosse aux morts. Il la

Napoléon, désormais appelé Napoléon Ier, est sacré empereur par le pape Pie VII à Notre-Dame de Paris. Nous allons étudier tout d’abords l’histoire de Napoléon Bonaparte et son évolution, par la suite nous analyserons la révolution et les différentes batailles de Napoléon et enfin nous allons entrer dans les détails de l’héritage engendré et mitigé lors de la révolution. 1- Napoléon et son histoire A – Présentation de Napoléon Née le mardi 15 Août 1769 à Ajaccio et décède le samedi 05 Mai 1821

les trouverons dans nos rêves, dans la fiction mais pas dans la réalité. b) Caractéristiques principales du héros Le héros est tout d’abord un guerrier. Il a la volonté de se battre. Le héros dans les épopées se trouve sur un champ de bataille avec sa tenue de combat, très bien équipé. Il s’illustre dans un exploit, dans un acte exceptionnel. Il a en lui cette nécessité d’agir, tel un devoir qu’il doit accomplir. Il a cette force, cette énergie à l’intérieur de lui qui le pousse à agir

Saladin à Jérusalem: la «ré islamisation» de la ville (1187) p51-52 Quel est le contexte de la prise de Jérusalem par les musulmans et comment Saladin procède-t-il à une «ré islamisation» de la ville? I- La bataille de Hattin: cause de la prise de Jérusalem par Saladin A) Les forces en présence B) Une victoire musulmane décisive II- Saladin à Jérusalem: remise en valeur des lieux saints de l'Islam... A) La mosquée d'al-Aqsà B) La coupole du Rocher III-...ainsi qu'une certaine clémence

l'armée de Mélas. Il l'avait à présent toute entière face à lui. Une bataille fort inégale commença. Partout, les Français, submergés par le nombre, durent battre en retraite. La Garde Consulaire résista héroïquement aux charges d'une cavalerie qu'on disait la meilleure du monde. Vers trois heures de l'après-midi, Mélas crut à sa victoire et Bonaparte à la fin de sa carrière. C'est alors qu'arrivèrent sur le théâtre de la bataille les troupes fraîches du général Desaix. La victoire française fut éclatante

américains, les blessés, les morts, les fils, les pères, les maris, les frères, dont on était sans nouvelles » (l.15-18) et leur douleur devant cette « bataille qui faisait rage » (l.20) ; la présence du soldat américain en uniforme (l.34) ; enfin l’évocation du départ du soldat : « son régiment partait pour la Somme. (…) La Somme, c’était cette bataille sans merci où tombaient tous les hommes » (l.93-95), « les bataillons alliés, américains, étaient-ils encore sur Paris ? (…) les derniers contingents

les Écoles de guerre. Il bat séparément quatre généraux piémontais et autrichiens .Dans une deuxième phase, il bat une nouvelle armée autrichienne envoyée en renfort. Dans une troisième phase, il bat deux nouvelles armées autrichiennes dans sept batailles,. Enfin, les renforts autrichiens commandés par Alvinczy sont à nouveau battus au pont d’Arcole et à Rivoli. Tout en organisant l’Italie en Républiques sœurs sur le modèle de la République française, il marche sur l’Autriche. En un peu plus d’un