Bataillon

intensif. Ce rève a réveillé Louis très tôt et il n'a pas pu se rendormir. Aujoud'hui, on lui a apporté un bureau, une lettre et un crayon. Il doit écrire sa dernière lettre. Jour J. Ce matin, réveille 8h. Il doit être éxécuté à 16h, devant son bataillon, pour l'exemple. Le prètre revient le voir. Cette fois, ils ne discutent que très peu. Louis ne peut plus supporter ce tourment, il en devient fou. 12 puis 14h, les heures défilent, il essaye de repenser à sa famille, il ne comprend pas, il n'arrive

détaillée Allitération en « r », « f », qui reproduisent des sonorités agressives Champ lexical de la guerre : mitraille, bataillon, feu, cent milliers d’hommes Métaphore : « les crachats rouges de la mitraille » symbolisent les coups de feu Métaphore filée : aux vers 4 et 6 qui comparent le champ de bataille a un brasier + Déshumanisation des hommes (tas fumant, bataillon en masse) ils perdent leur individualité. Champ lexical de la nature : le ciel, l’été, l’herbe Déification : au ver 8 la nature

première exécution publique a donc eu lieu le 29 avril 1792, à l'occasion du départ sur le front du 1er bataillon de volontaires de Rhône & Loire. Quelques copies ont été faites à la hâte. Elles partent dans toute la FRANCE. Une arrive à Montpellier. Le texte enthousiasme un jeune journaliste du nom de Mireur, qui prend la tête d'une délégation, afin d'organiser à Marseille le départ d'un bataillon de fédérés pour Paris. A la fin d'un déjeuner, Mireur chante le chant de guerre de Rouget de Lisle. Le

Et pour finir, le texte énonce et illustre à la fois les transformations que Victor Hugo a fait subir à l'alexandrin et aux règles poétiques classiques: aux mètres traditionnels "Et sur les bataillons d'alexandrins carrés/Je fis souffler un vent révolutionnaire». Les mots "bataillons" et "carrés" insistent, suggèrent, indiquent bien le sens de sa critique: l'alexandrin classique est trop régulier, monotone. Dans « Lettre à Paul Demeny », Arthur Rimbaud, les poètes en général sont investis

|20051002S |Aurayons |13400 | |20050304J |Aurayons |13003 | |20060201R |Aux bons chocolats |13100 | |20050302G |Bataillon |13006 | |20060101H |Cpratik |13320 | |20051001R |La Brioche Beurrée |83000 | |20050305K |Le Bec Fin

préparation militaire. On leur donne le nom de sociétés conscriptives : c’est en fait le fait pour les jeunes hommes d’aller au service militaire. Cette appellation est née en 1900 par le Colonel Boucherie. Aux yeux du peuple, elle remplace les bataillons. Ces sociétés conscriptives vont être favorisée par les républicains qui sont plus favorable à la création d’associations car elles permettent d’initier à la vie politique : élection d’un président, d’un bureau, vote aux assemblées Générales…) C’est

soit comme énorme: "quelques milliers d'hommes"(3), "peuple innombrable"(24), "flots vivants"(5), "masses"(6), soit comme réduite: "la bande"(1), "la petite armée"(30). Elle nous est présenté également comme organisé: "petite armée"(30), "derniers bataillons"(9), ou encore sans aucune organisation: "la bande"(1), "la coulée grouillante"(36), "masses noires"(6), "flots vivants"(5). Les Termes de "masses noires"(6), "peuple invisible"(24), "indistincte dans l'ombre"(37), "cachés"(27). Ils sont à peine

décomposition : « putride » v. 17 + « larves » v. 19 + « suant » v. 6 + « exhalaisons » v. 8. * Registre épique : ( Amplification, figure d'exagération ) → Pluriels « les mouches » v. 17 + « bataillons » v. 18 + « larves » v. 19. Ces pluriels créent des hyperboles et des métaphores guerrières « bataillons » v. 18. → Paradoxe de ma vie naissant de la mort grâce aux grouillements des larves et des mouches ! 2 ) Laideur et beauté mêlées * Antithèses : « infection » v. 18 → « passion » v. 40 ;

sommeil pèse sur nos paupières lorsqu'il faut rester six heures debout au créneau avant d'être relevé. Il n'y a pas assez d'hommes mais ceux des dépôts peuvent être appelés et venir remplacer les évacués ou les disparus. Un renfort de vingt hommes par bataillon arrive, trente sont évacués. Il n'y a pas de discipline militaire, c'est le bagne, c'est l'esclavage !... Les officiers ne sont point familiers, ce ne sont point ceux du début. Jeunes, ils veulent un grade toujours de plus en plus élevé. Il faut

célibataires de 18 à 25 ans sont mobilisés de force. Le budget consacré à l’effort de guerre est augmenté. Les régiments sont transformés en demi-brigades, par l’amalgame de l’armée royale et des volontaires : chaque bataillon de soldats de l’armée d’Ancien Régime reçoit deux bataillons de volontaires ; ces derniers, plus jeunes et généralement plus enthousiastes envers la Révolution, bénéficient de l’expérience des premiers, les entraînent lors des combats et les surveillent, ce qui évite les trahisons