Baudelaire Allégorie

de roi v 10-12-13 • Disproportion des punitions v 19-25 • Vérité et flatterie excessive déplaisent également au roi → les courtisans ont très peu de latitude pour s'exprimer On peut éventuellement soulever le voile et voir dans ce Louvre une allégorie de Versailles construit sur des marécages à l'odeur pestilentielle . B)C'est aussi une satire sociale • Le singe : flatteur excessif v21 , accumulation , gradation du rythme seul le renard « s'en tire » v 32 • Même les efforts pour plaire peuvent

Ce poème est le quatrième des quatre poèmes portant le nom de Spleen. Il a donc une place fondamentale au coeur de la section qui présente le poète tiraillé entre Idéal et Spleen. Le poème qui précède Spleen (4) développe le thème de l'Ennui au sens philosophique. Le poète se présente comme le roi d'un pays pluvieux que rien ne peut venir divertir. La première strophe de Spleen 4 reprend le thème de l'ennui qui apparaît donc comme une composante essentielle du spleen. Ce poème est composé de cinq

premier temps que ce texte est bel et bien une fable, bien qu’il n’y ait pas la présence d’animaux, puis qu’on y trouve une double allégorie plaisante et enfin nous étudierons le fonctionnement du discours argumentatif dans cette fable. Pour faire l’éloge de la fable (au sens du genre littéraire), Florian rédige ici une fable amusante basée sur deux allégories plaisantes : celle de la fable et celle de la vérité. Tout d’abord, le personnage de la vérité est représenté sous la forme d’une

l'antonomase et la prosopopée). - Les figures d'insistance (l'hyperbole, l'anaphore, le pléonasme, l'inversion, la gradation et l'apostrophe). - Les figures d'opposition (l'antithèse et l'oxymore). - Les figures d'atténuation (l'euphémisme, la litote). ALLEGORIE n.f. Personnification d'une idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Cassandre sous son ANAPHORE n.f. Répétition

symboles ] Le discours descriptif est réduit au minimum grâce aux stéréotypes et symboles. Les personnages sont rapidement campés. Rien ne les particularise. Ils sont l'un et l'autre les représentants de chacune des espèces évoquées, et au-delà des allégories nous représentant nous, les humains. Ainsi l'agneau est, conformément à la tradition, symbole d'innocence et de pureté : il "tète encore [s]a mère". D’ailleurs l'onde dans laquelle il se désaltère est elle-même symboliquement "pure". Quant au loup

DISSERTATION Intro.: Jean de La Fontaine va dédier au fils de Louis XIV et de Marie-Thérèse (aussi connu sous le nom de Dauphin) son premier recueil de fables, alors que le jeune Louis avait 10 ans. La Fontaine va écrire ses fables au moment où le roi impose le classique pour s’opposer au baroque, qu-on trouve trop irrationel, trop désordonné ; mais on retrouve néanmoins des traces de littérature baroque dans les fables de La Fontaine. La Fontaine est sans doute l’un des auteurs de fables

discréditant la société et ses déboires. C’est ainsi que Jean La Fontaine (1621-1695), célèbre fabuliste français, s’est démarqué par ses Fables (1668-1678), du genre apologique et permettant par conséquent d’éviter la censure, par ses nombreuses allégories et sous-entendus. Notre fable ici étudiée est « Les Animaux malades de la peste », où les animaux tentent de débusquer « le coupable » qui leur a causé toute cette misère. Ils jetteront finalement leur dévolu sur l’Âne, puni pour avoir commis le

ENSEIGNEMENT D' UNE MORALE. Une morale pessimiste qui montre l' irréductible pouvoir des puissants et la condition tragique des opprimés. Critique de la justice - V63 La justice n'est pas impartiale or c'est ce qu' on attend d'elle "selon que " allégorie de la justice = femmes aux yeux bandés ( impartialité ) balance ( équité) poignard ( rend justice ou me tue ) La justice est censé transcender les intérêts particuliers. - justice qui gagne = celle des plus forts cf " Le loup et l' agneau " de

La mort et le bucheron commentaire de texte La Mort et le bucheron est un apologue faisant partie du Livre I des fables de Jean de La Fontaine paru à la fin du XVIIème siècle. A travers cette fable La Fontaine nous conte l’histoire réaliste et émouvante d’un bûcheron qui sous le poids de son malheur appelle la Mort pour mettre fin à ses souffrances. Une fois devant elle il se ravise et préfère accepter la vie telle qu’elle est plutôt que mourir. Pour arriver à l’argumentation explicite de la

personnification réprésente une chose ou un animal sous les traits d'une personne. ex : Le piano solitaire se plaignit. - la réification transforme un humain en objet. ex : Je vis un pauvre saltimbanque, voûté, caduc, décrépit, une ruine d'homme. ( Baudelaire, Le Spleen de Paris, "Le vieux saltimbanque" ) - la prosopopée donne la parole aux morts, à la nature ou encore aux objets. ex : "Elle me dit: "Je suis l'impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs;" ( Alfred de Vigny, La maison