Baudelaire Les Fleurs Du Mal Les Bijoux

       (Arthur Rimbaud / 1854-1891 / Le dormeur du val) Ex:Détestable        Irascible        Exécrable        Usé [pic] Adage : Formule facile à retenir, indiquant une règle de conduite issue du droit coutumier ou écrit. Ex : "Un bien mal acquis ne profite jamais." Ex : "L'homme est un loup pour l'homme." (Plaute / 254-184 av. J.-C) Ex : "Ce qui est affirmé sans preuve, peut être nié sans preuve." (Euclide / environ 325-265 avant JC) [pic] Alinéa : Ligne d'un texte en retrait

8e n’est pas sorti a cause de la censure. II) le courant préromantique : Sentiments affectifs, c’est l’opposé du rationalisme, parle de la nature, des sentiments, utilisation du je, registre lyrique, amours malheureux, nostalgie, mal de vivre,…. Les écrivains romantiques sont mélancoliques et tristes de leur existence. Retour à la nature. Rousseau=> les confessions, Julie ou la nouvelle Héloïse. Diderot=> supplément au voyage de Bougainville Rousseau => «  l’homme naît

évoquées dans Les bijoux indiscrets où Diderot, dans une manière orientaliste mise à la mode par la traduction des Mille et une nuits, dépeint quelques moeurs de la cour de Louis XV. Mongogul, sultan du Congo, voulant, pour se désennuyer, connaître les aventures des dames de sa cour, obtint du génie Cucufa une bague magique dont il suffisait de tourner le chaton vers une femme pour que celle-ci se mette à parler « par la partie la plus franche qui soit en elle », son sexe ou « bijou ». Ainsi Alcine

............................................... 17 A une passante. Charles Baudelaire .............................................................................................................................. 18 Harmonie du soir. Charles Baudelaire ........................................................................................................................... 18 e e 1 L'Étranger. Charles Baudelaire ...........................................................................

œuvres: L'Illusion comique de Corneille, Stances et sonnets de la mort de Jean de Sponde Présentation d'œuvres : Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse, Qui brave de la mort, sentira ses fureurs, Les Soleils hâleront ces journalières fleurs, Et le temps crèvera cette ampoule venteuse. Ce beau flambeau qui lance une flamme fumeuse, Sur le vert de la cire éteindra ses ardeurs, L’huile de ce Tableau ternira ses couleurs, Et les flots se rompront à la rive écumeuse. J’ai vu ces clairs

conditions tragiques, à des évènements douloureux. Le spleen baudelairien est accablant : « j’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans » (Spleen). L’ennui, « le pire des chacals » selon Baudelaire, est à la source de ce chef d’œuvre que sont les Fleurs du mal. Pourtant, on ne connaît pas à Baudelaire l’irruption d’épisodes tragiques dans sa vie : le poète écrivait « qu’il n’éprouvait aucune de ces perturbations que les hommes appellent chagrin ». Ce serait le malheur d’exister, tout simplement

choisit de faire une parenthèse pour s’adresser non plus à la reine, mais directement au peuple français : « toy peuple », « le Francçois », « les François malheureux », « du François », « nostre chef », « O toy historien », « nos enfants », « nostre mal », « le sceptre de France », « la race des hommes », « L’artizan », « Le pasteur (…) l’avocat », « le marinier (…) le marchand », « L’escolier », « Le laboureur », « nostre France », « son prince ». Puis, le poète, reprend ensuite son adresse à la

CIX - La Destruction Sans cesse à mes côtés s’agite le Démon ; II nage autour de moi comme un air impalpable ; Je l’avale et le sens qui brûle mon poumon Et l’emplit d’un désir éternel et coupable. LES FLEURS DU MAL extraits C. Baudelaire Parfois il prend, sachant mon grand amour de l’Art, La forme de la plus séduisante des femmes, Et, sous de spécieux prétextes de cafard, Accoutume ma lèvre à des philtres infâmes. II me conduit ainsi, loin du regard de Dieu, Haletant et brisé de fatigue

Venise… » Mellin de Saint Gelais - « sur le printemps de ma jeunesse folle » Clément Marot - « pleurez avec moi tendres fleurs » Agrippa d’Aubigné - « l’amour de moi s’y est enclose » Anonyme - « le lac » Alphonse de Lamartine - « elle avait pris ce pli dans son âge enfantin » Victor Hugo - « la cloche fêlée », « Harmonie du soir » « la servante au grand cœur » Charles Baudelaire - « Il pleure dans mon cœur » Paul Verlaine - « enfance » Arthur Rimbaud - « complainte amoureuse » Alphonse Allais

Laura VANEL-COYTTE Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval  Mémoire de Maîtrise sous la direction du professeur Patrick Marot, soutenu le 25 septembre 2001 à l’université de Toulouse le Mirail, UFR  de Lettres, Philosophie et Musique, département de Littérature Française. TABLE DES MATIERES (avec modifications post-impression et soutenance) Page N° INTRODUCTION