Baudelaire Mélancolie Inspiration

l’être dans des textes ou des poésies lyrique, où celui qui parle se met en question, s’exprime à propos de son état d’esprit ou de ses pensées, parle de ce qu’il ressent. (((On peut citer des poèmes comme Le Spleen de Baudelaire (où il parle de sa mélancolie), Demain dès l’aube de Victor Hugo, Le Lac de Lamartine. - On remarque aussi l’utilisation de déterminant possessif comme « mes », « mon » - D’un autre côté, on remarque les expressions « Comme-tu veux », « Tiens-toi

du Divin et homme d’avenir. Le poète est un interprète, capable de traduire une beauté supérieure à l’être humain, mais également incompris et unique ; vision quelque peu présomptueuse de la part de poètes tels que Victor Hugo, ou encore Charles Baudelaire. Par conséquent, l’art poétique peut être perçu de par différents points de vue, que ce soit chez le poète ou le lecteur, donnant de l’importance à la banalité, sublimant dénonciation et revendications ; et pouvant devenir déplaisant lorsqu’il

l’inspiration poétique ne peut pas être autres chose qu’une harmonie brisée, qu’une souffrance. D’où cette affirmation de Musset : « le poète est un adulte aux larmes faciles ». Mais le poète ne crée-t-il vraiment que sous la poussée d’une douloureuse inspiration ? Le bonheur ne peut-il pas lui aussi féconder l’invention poétique ? I- THESE : LA POESIE COMME EXPRESSION DE LA DOULEUR Lorsqu’un poète pleure, ses larmes ne sont jamais physiques, elles sont artistiques. Dire donc qu’il a des « larmes

et variété des tonalités lyriques ou élégiaque (=Tirant son nom des élégies, poèmes au ton plaintif particulièrement adapté à l'évocation d'un mort ou à l'expression de souffrances amoureuses, elle est une tonalité lyrique fortement empreinte de mélancolie). Pétrarque eut de nombreux imitateurs : Marot, Du Bellay, les poètes de la Pléiade mais surtout dans la première moitié du XVIème siècle : l'Ecole Lyonnaise. Lyon abritait alors un groupe de poètes brillants (oeuvres marquées par la subtilité

nasalité « an ». Elle donne de la mélancolie au texte.2ème quatrain : l’âge murL’âge mur est désigné par la métaphore de « l’automne » qui reste dans le domaine naturel. La métaphore filée du jardin amorcée avec « l’automne

1°S2 Sommaire 1-Préface de l’anthologie P2/3 2-Bêtise de guerre, Victor Hugo P4/5 3-Mort !, Paul Verlaine P6/7 4-L’homme et la Mer, Charles Baudelaire P8/9 5-Après la bataille, Victor Hugo P10/11 6-Les Corbeaux, Arthur Rimbaud P12/13 7-Le Dormeur du Val, Arthur Rimbaud P14/15 8-Conclusion

30 mars 1844 à Metz et mort le 8 janvier 1896 à Paris. Paul Verlaine abandonne ses études de droit et devient employé de l’Hôtel de ville de Paris en même moment qu’il fréquente cafés et cercles littéraires. Il est depuis toujours admiratif de Baudelaire, par conséquent il se mit à la poésie et publie son premier recueil, Poèmes saturniens en 1866 à 22 ans. Suite à la mort de sa cousine dont il était éperdument amoureux, il bascule dans l’alcool et la violence. Grâce à son mariage avec Mathilde

sentiments d'amertume et de désillusions. Mettant en application la pensée de Du Bellay qui croit que « chanter » c'est « chanter » ses ennuis, ce poète de la nuit oublie ses malheurs grâce à une muse. Celle-ci le conseille de laisser errer son inspiration en offrant au public les émois de son cœur. Ces dernières, bien que multiples, sont en partie dues à Aurore Dupin, plus connue sous le nom de George Sand, qui se sépara de lui et le laissa sombrer dans l'excès. Il y a là encore une partie autobiographique

()RESUME –LES FLEURS DU MAL, Charles BAUDELAIRE (1857) Au lecteur L’auteu s’ad esse au le teu et l’i te pelle su la o ditio humaine.Il associe le comportement humain aux pêchés, avec une te da e à l’i o alit et au Mal. Cependant, le sentiment qui lui parait le plus détestable est le « spleen », la t istesse de l’e ui. Spleen et idéal I.BENEDICTION L’auteu se le oppose la vie id ale du po te à elle d’u e pe so e plus terre à terre. Il décrit une vie merveilleuse mais incomprise

lentement, présentes au loin, montrant l’éloignement des trois promeneurs au reste de la troupe. L'aspect un peu brumeux et vaporeux ainsi que les couleurs pastel sont caractéristiques de l’artiste. Tout cela contribue à nous plonger dans un état de mélancolie, de rêve. La cousine : Debout près d’eux, le personnage principal, la « cousine » se détourne du couple amoureux pour regarder dans un lointain vaporeux le paysage, le couple de l’autre rive, la pièce d’eau bordée de deux statues masculines, un