Baudelaire Tableaux Parisiens Réalisme

On combine les sons et les mots pour donner une impression d'harmonie, de beauté. C'est "l'art pour l'art" du Parnasse et du symbolisme. Cf. Gautier, L'Art : le poète cherche à atteindre "la forme, la beauté vraie, absolue, parfaite". Exemple : Baudelaire, Les Fleurs du mal (1861), Harmonie du soir : créativité et originalité avec l'emploi du pantoum, forme fixe orientale qui donne une musicalité particulière et participe au charme et à l'harmonie du poème par la régularité du rythme et des rimes

Docteur Blanche. Il y meurt en juillet 1893. .Le romantisme: Le romantisme est le mouvement qui incarne la liberté : c’est « le libéralisme en littérature »1. Cherchant l’évasion dans le rêve, dans l’exotisme (« Parfum exotique » de Charles Baudelaire), il exalte le goût du mystère et du fantastique. Il réclame la libre expression de la sensibilité, et prônant le culte du moi, comme il est dit dans la préface aux Méditations poétiques de Lamartine : « je n’imitais plus personne, je m’exprimais

appointements fixes qui, sans être mirobolants et malgré la précarité de l’emploi, acquièrent un pouvoir d’attraction de plus en plus fort. Rappelons, de surcroît, que le « métier » n’exige aucun diplôme. Au début des années 1860, un journaliste parisien peut gagner 3000 francs par an, soit l’équivalent du traitement moyen d’un instituteur dans une grande ville (1200 francs en plus du logement). Dès les années 1830, toutefois, des auteurs de romans-feuilletons négocient leur prose jusqu’à 100 000

artistique du milieu du XIXeme siècle. L'académisme est caractérisé par un goût très fort pour les thèmes historiques et pour l'orientalisme. Réalisme: consacré à la société et plus généralement à une représentation fidèle de la vie quotidienne. Son chef de file est le peintre Gustave Courbet (1819-1877). Impréssionisme: notamment caractérisé par des tableaux de petit format, des traits de pinceau visibles, la composition ouverte, l'utilisation d'angles de vue inhabituels, une tendance à noter les

peintures de Madone le rendent célèbre. En 1508, il est appelé à Rome par Jules II qui lui commande la décoration des Stanze au Vatican. A la villa Farnésina, il peint Le Triomphe de Galatée. Son style est l'aboutissement du classicisme. Parmi ses tableaux, citons La Belle Jardinière (1507), La Transfiguration (1517-1520), Léon X et deux cardinaux (1518-1519). De Bramante, le peintre Raphaël qui lui succède à Saint-Pierre en 1514, retient surtout la leçon d'harmonie et de grandeur classicisante, en

Des symbolismes à l’Art nouveau. Les courants Art Nouveau découlent des symbolismes. 1886 : Manifeste du symbolisme de Jean Moréas. La doctrine renoue avec certaines caractéristiques du romantisme et mouvement de réaction à l’encontre du réalisme et du naturalisme : rejet d’une vision positiviste, rationnelle et objective du monde. Les symbolistes laissent place à la suggestion, à la spiritualité, au sentiment, au mysticisme voir à l’ésotérisme. Le poète Jean Moréas publia dans Le Figaro un

et explications : Les poèmes que j’ai recueillis ont été écrits à des époques différentes : 16ème siècle pour Ronsard, 18ème siècle pour Voltaire et Fontenelle ; 19ème siècle pour Verlaine, Hugo, Max Elskamp, Maupassant, Sully Prudhomme et Baudelaire ; 20ème siècle pour E. Verhaeren et Ramuz ; et enfin 21ème siècle pour Elodie Santos. Ils sont d’auteurs différents, mais aussi de formes différentes, puisqu’on trouve aussi bien des poèmes composés de distiques que de poèmes composés de quatrains

Dans son essai sur Baudelaire, Benjamin reviendra sur cette expérience du choc qu'il situe au coeur du travail du poète des Tableaux parisiens. L'angoisse des foules où les déplacements de l'individu sont conditionnés par une série de chocs et de heurts, nos rapports aux machines sous tendus par le dressage, les rythmes de la production sur les chaînes de l'usine font de l'existence moderne une expérience de la « saccade », du « coup » et de l'automatisme. Benjamin voit en Baudelaire celui qui « a décrit

d’Aquitaine à la tout abolie Monde peuplé d’esprits auquel le poète ne peut accéder que grâce à l’intercession d’une fée : Ondine chez Bertrand BERTRAND, Ondine in Gaspard de la nuit, Fantaisie à la manière de Rembrandt et de Jacques Callot : petits tableaux qui constituent les poèmes en prose retranscrivent par les mots la fantaisie d’une scène ou la magie de perceptions visuelles ou auditives. L’œuvre : galerie de pantins de roman noir mais aussi symbolise les forces mystérieuses du monde, celles

Charpentier, 1892. *G-D PROUST, Antonin, «Edouard Manet, souvenirs», La Revue Blanche, 1897, p.125-135 et 168-180. *G-D PROUST, A., 1897, p.175, p.204-205. *D PROUST, Antonin, Ecrits d’amateurs et d’artistes, Paris, 1913. RENAL, S., Reflets de tableaux connus, Brest, 1874, p.179-180. SILVESTRE, A., Galerie Durand-Ruel, recueil d’estampes, Paris, 1873, vol. I. VACHON, Marius, Les Ecoles et les musées d’art industriel en France, Nancy, 1897. VÉRON, Th., De l’art et des artistes de mon temps, Salon