Beauté Des Femmes Paul Verlaine

suivre une plus douce vie, Voyagea chez les Grecs, et vit en certains lieux Un sage assez semblable au vieillard de Virgile, Homme égalant les Rois, homme approchant des Dieux, Et, comme ces derniers satisfait et tranquille. Son bonheur consistait aux beautés d'un Jardin. Le Scythe l'y trouva, qui la serpe à la main, De ses arbres à fruit retranchait l'inutile, Ebranchait, émondait, ôtait ceci, cela, Corrigeant partout la Nature, Excessive à payer ses soins avec usure. Le Scythe alors lui demanda : Pourquoi

l’auteur depuis 1840, est publié le 23 juin 1857 et a été réédité en 1861. C’est l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale et qui exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Structure : Les poèmes ne sont pas classés dans l'ordre chronologique de leur écriture, mais selon des principes propres. Les

douleur ! - Comme un triste agnelet. Et vous n’aurez pas su la lumière et l’honneur D’un amour brave et fort, Joyeux dans le malheur, grave dans le bonheur, 20 Jeune jusqu’à la mort ! Paul Verlaine, Romances sans paroles (1874) Ce poème a été écrit par Paul Verlaine au XIXème siècle, composé de cinq quatrains. Les rimes sont toujours répétitives, tous les deux vers, ainsi que des Alexandrins tous les deux vers également. J’ai beaucoup aimé ce poème car il représente très

Membre essentiel du mouvement surréaliste, fondé en 1924 par André Breton, Paul Eluard (de son vrai nom Paul Grindel) a accordé toute son attention aux manifestations de l’inconscient, aux rêves, aux rencontres hasardeuses, aux coïncidences. Ses oeuvres poétiques, outre ses engagements politiques importants (par exemple pendant la Seconde Guerre Mondiale, avec le très célèbre poème “Liberté”), sont souvent inspirés par les femmes aimées, Gala et surtout Nusch, qu’il a épousée en 1934 et dont la mort

marge de cette société. Ils sont exceptionnellement différents des autres, ils se démarquent. Ces poètes possèdent une vision différente sur ce qui les entoure, un autre point de vue qui peut-être plus véridique. Il existe donc une mise à distance. Verlaine, poète du XIXème, est une bonne représentation de cette distance : dans son poème Autre, qui a été écrit en prison pour avoir tiré sur Rimbaud, il décrit la promenade des  prisonniers dans la cour : « La cour se fleurit de soucis Comme le front De

familier » de Verlaine, « A une passante » de Baudelaire, « La courbe de tes yeux » d’Eluard un commentaire composé succinct de « Il n’aurait fallu… » d’Aragon une évaluation globale sur la séquence des questions portant sur le corpus de textes qui fait partie des « Documents complémentaires ». DESCRIPTIF : OBJET D’ETUDE « LA POESIE » SEQUENCE Objet d’étude La poésie Problématiques Perspectives Lectures analytiques - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante

page 13, 15, 16, 21, 23 BELLAY (du), Joachim, ………………………………. page 21 CARÊME, Maurice, …………………………………… page 5, 8, 13 CHARPENTREAU, Jacques, …………………………. page 8 CHÉDID, Andrée, ……………...……………………… page 5 DESNOS, Robert, ……………………………………… page 8, 10, 12 ÉLUARD, Paul, ………………..………………………. page 19 GAUTIER, Théophile, ………………………………… page 16 GUILLEVIC, Eugène, ………………………………… page 7 HEREDIA (de), José-Maria, …………………………... page 23 HUGO, Victor, ………………………………………… page 7, 17 JEAN, Georges, ………………………………………... page 11 NERVAL

clochers d'heure en heure gémir. L'esprit flotte éveillé dans les rêves sans nombre. On n'a pas, dans cette ombre où manque tout soleil, Le sommeil pour vous faire oublier la nuit sombre, Ni l'amour pour vous faire oublier le sommeil. * Paul VERLAINE   (1844-1896) Il pleure dans mon cœur Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le

JOYEUX Laura L2 Lettres Modernes Verlaine d'ardoise et de pluie Guy Goffette « Paris, 7 janvier 1896. Celui qui vient de rouler nu sur le carreau glacé de sa chambre, au 39 de la rue Descartes, ne sait pas qu'il est entré en agonie. Il y a une route devant lui qui n'en finit pas de monter, toute droite, avec du soleil et des flaques d'ombre des grands arbres où il fait bon se rafraîchir un moment avant de poursuivre. Il y a cette route qui s'en va, toute droite, devant lui comme une fille

et la conclusion, débouchant sur une mise en commun au début de la séance suivante. Sont présentés ici : - le descriptif de la séquence - quatre lectures analytiques de : « Ode à Cassandre » de Ronsard, « Mon rêve familier » de Verlaine, « A une passante » de Baudelaire, « La courbe de tes yeux » d’Eluard - un commentaire composé succinct de « Il n’aurait fallu… » d’Aragon - une évaluation globale sur la séquence - des questions portant sur le corpus de textes qui fait