Bébé

Molière, Georges Feydeau et Eugène Ionesco, dans leurs pièce de théatre respectivement Le bourgeois gentilhomme, On purge bébé et La leçon mette en scène une situation de la vie quotidienneou les auteurs utilisent plusieurs formes et procéde comique pour rendre le texte drôle. Tout d'abord, les trois auteurs utilisent deux personnages dans leurs scène en effet dans le texte de molière les personnages sont "Le maître de philosophie" et "Monsieur Jourdin" , "Follavoine" et "Rose" dans le texte de

1899 : La Dame de chez Maxim 1902 : La Duchesse des Folies-Bergères 1904 : La Main passe 1905 : L'Âge d'or 1906 : Le Bourgeon 1907 : La Puce à l'oreille 1908 : Occupe-toi d'Amélie ; Feu la mère de madame 1909 : Le Circuit 1910 : On purge bébé 1911 : Mais n'te promène donc pas toute nue ! ; Léonie est en avance ou le Mal joli 1911 : Cent Millions qui tombent (inachevée) 1913 : On va faire la cocotte (inachevée) 1914 : Je ne trompe pas mon mari 1916 : Hortense a dit : "Je m'en fous!"

précis au spectateur. remièrement, il y a le comique de situation, ce type de comique est lié à une intrigue et fonctionne souvent autour du malentendu, il peut mettre aussi un personnage dans une situation ridicule comme nous le voyons dans On purge Bébé de Georges Feydeau, où Follavoine, le maitre, est en fait aussi bête que Rose, sa femme de ménage, lorsqu’il lui demande si elle connaît les Hébrides, elle n’en sait rien, et de même pour Follavoine lorsqu’il cherche le mot dans le dictionnaire dans

Epreuve de Littérature (série L) OBJET D’ETUDE : LE THEATRE, TEXTE ET REPRESENTATION Durée : 4 heures CORPUS DE DOCUMENTS A - Molière, Dom Juan, extrait de l’Acte IV, scène 3 (1665) B - G. Feydeau, On purge bébé, (1910) C - J. Romains, Knock, extrait de l’Acte I (1923) TRAVAUX D’ECRITURE I) Vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) : Quelle est la principale source de comique, s'appuyant sur les rapports entre les personnages en présence, mise en ' uvre

Pour « aider les femmes à prendre une décision bien informée », elles sont contraintes de faire une échographie la veille de l’avortement, au cours de laquelle le médecin leur proposera de visualiser l’image du fœtus et d’entendre le battement de son cœur. Cette loi sera en vigueur en Virginie et dans l’est des États-Unis, à partir du 1er juillet 2012. Si la femme est libre de décliner la proposition du médecin, elle doit néanmoins se soumettre à l’échographie, à condition de le stipuler par écrit

procurer aux lecteurs et spectateurs du plaisir et dur rire. C’est pour cela que la comédie a toujours eu aux yeux des spectateurs naïfs, pour seul but de faire rire les gens. Georges Feydeau en a même fait l’unique fonction de ses œuvres : On purge bébé, par exemple, est un pièce dans laquelle le comique est présent du début à la fin de la pièce. L’histoire n’est qu’un support, sur lequel l’auteur s’appuie pour réaliser des scènes comiques, tout au long de l’histoire. Ensuite, la comédie a toujours

Question : Comparez les relations entre les personnages mis en scène dans ces extraits. Les quatre textes proposés (Molière, Le Bourgeois gentilhomme, 1670 ; Beaumarchais, Le barbier de Séville 1775 ; Georges Feydeau, On purge Bébé, 1910 ; Eugène Ionesco, La Leçon, 1951) mettent en évidence des rapports de pouvoir et de domination, liés à la connaissance et à la culture. Le maître de philosophie domine M. Jourdain par son savoir comme le professeur domine l’élève : les deux hommes étalent leur

C’est pour cela que la comédie a toujours eu aux yeux des spectateurs naïfs, pour seul but de faire rire les gens. A lʼépoque cʼétait une des quelques distraction disponible. Georges Feydeau en a même fait l’unique fonction de ses oeuvres : On purge bébé, par exemple, est un pièce dans laquelle le comique est présent du début à la fin de la pièce. L’histoire n’est qu’un support, sur lequel l’auteur s’appuie pour réaliser des scènes comiques, tout au long de l’histoire. Ensuite, la comédie a toujours

de me mouvoir. — J’ai aussi besoin d’aide, avouai-je. Il étouffa un rire, puis délaça doucement mes mains qui étranglaient son cou. La force d’airain de ses poignets était implacable. Il me fit glisser devant lui, me prenant dans ses bras comme un bébé, m’y gardant quelques instants avant de m’étendre délicatement sur des fougères moelleuses. — Comment te sens-tu ? J’avais tellement le tournis que je n’en savais fichtrement rien. — Nauséeuse. — Mets ta tête entre tes genoux. J’obéis et ne tardai

FOLLAVOINE - Au fait, dites donc, vous ...! ROSE - Monsieur ? FOLLAVOINE - Par hasard, les ... les Hébrides1 ... ? ROSE, qui ne comprend pas - Comment ? FOLLAVOINE - Les Hébrides ? ... Vous ne savez pas où c'est ? ROSE, ahurie - Les Hébrides ? FOLLAVOINE - Oui. ROSE - Ah ! non ! ... non ! (Comme pour se justifier). C'est pas moi qui range ici ! ... C'est Madame. FOLLAVOINE, se redressant en fermant son dictionnaire sur son index de façon à ne pas perdre la page - Quoi ! quoi, "qui range" ! Les Hébrides