Bêche

certaines fleurs, vous avez toutes les chances de réaliser de belles récoltes. Vous obtiendrez en outre des légumes sains puisqu’ils ne seront pas traités ! Avant le semis ou la plantation, travaillez le sol de manière douce avec une Grelinette ou une bêche à dents en la plantant à l’envers. Dans les deux cas, faites levier avec le manche pour aérer la terre sans la retourner. En terrain lourd, opérez maintenant : le gel effritera les mottes de terre, vous n’aurez plus qu’à fignoler avant les premiers

d’honneur : dernier combat pour l’honneur avant de se rendre Batardeau : digue, barrage provisoire établi sur un cours d’eau Batifoler = Folâtrer : s’amuser à des jeux folâtres Baudet : Ane Bauxite : roche rougeâtre, principal minerai d’aluminium Bêche : outil de jardinage pour retourner la terre Belligérant : qui prend part à une guerre Belliqueux : qui aime la guerre, est emprunt d’esprit guerrier Bénin : sans conséquence grave Berner : tromper en ridiculisant Besogne : travail imposé Besson :

palmier, qui représente l’arbre de vie. * Ève Filant ; Marie Filant, Jacopo della Quercia, Adam et Ève, bas relief de marbre, vers 1428, Hauteur 99 cm, Bologne Basilique de San Petronio, Porta Magna, montre Ève filant la laine et Adam entrain de bêché la terre, épisode traditionnel dans l’ancien testament. Rentre en correspondance avec la nouvelle Ève, Marie, qui tient elle aussi la quenouille et la laine (Volet d’un Diptyque en ivoire de Genoels-ELderen, atelier ente Meuse et Rhin, fin du VIIIe

que l’homme soit déjà mort (l’espé- rance de vie est inférieure à ce qu’elle est aujourd’hui), la veuve, la grand-mère, souffrira moins de solitude et de froid en partageant son lit avec une ou deux de ses petites-filles, quitte à dormir « tête-bêche 31 », comme on disait à l’époque. Si la pièce le permet et si la taille de la famille l’exige, un second lit occupera un autre coin de la pièce. Selon les goûts et les moyens financiers des propriétaires, une armoire ou un buffet compléteront le

Quelqu’un a enseveli le mort, et s’en est allé après avoir jeté de la poussière sèche sur le cadavre et accompli les rites funèbres selon la coutume. KRÉÔN. Que dis-tu ? Qui a osé faire cela ? LE GARDIEN. Je ne sais, car rien n’avait été tranché par la bêche ni creusé par la houe. La terre était dure, âpre, intacte, non sillonnée par les roues d’un char ; et celui qui a fait la chose n’a point laissé de trace. Dès que le premier veilleur du matin nous eut appris le fait, ceci nous sembla un triste prodige

qui s’épanouissent font courir des ombres fantastiques sur le cimetière ensorcelé. Près de moi, Maroux2, en se cachant la tête, tire entre deux sacs dont la terre s’écroule. Un homme se tord dans les gravats, comme un ver qu’on a coupé d’un coup de bêche. Et d’autres fusées rouges montent encore, semblant crier : « Barrage ! Barrage ! » Les torpilles3 tombent, par volées, défonçant les marbres. Elles arrivent par salves, et c’est comme un tonnerre qui rebondirait cinq fois. - Tirez ! Tirez ! hurle

luths de à l'hôpital de Castres, qii'il a pu quit- mew), Ma-Fortune (Kaiser), Investiture Toulouse-Espagne-Maroc : quotidien à 6 h. crime, M. Matras aperçut le mystéFontainebleau, 16 septembre. ter peu après. grands fonds, est extrêmement rare. (Bêche), Giroflée (Reinette). Toulouse-Amérique du Sud : le 21 septemrieux ieune homme blonc, à la veste Par les soins de M. I.escapullo, recebre h 6 heures. La Traversée da Pacifique de "lustrine noire, coiffé d'une cas- veur des domaines, a eu lieu

et heureux, cherche à inspirer à son fils l’amour des champs en dissertant sur les choux et sur les navets. On arrive, on se couche. Le lendemain, dès l’aurore, Gobichon passe la blouse du paysan : il est fermement décidé à cultiver ses terres ; il bêche, il pioche, il plante, il sème toute la journée. Rien ne pousse ; le sol, fait de sable et de gravats, se refuse à toute végétation. Le rude travailleur n’en essuie pas moins avec une vive satisfaction la sueur qui inonde son visage. En regardant les

cherche à inspirer à son fils l’amour des champs  en dissertant sur les choux et sur les navets. On  arrive,  on  se  couche.  Le  lendemain,  dès  l’aurore,  Gobichon  passe  la  blouse  du  paysan :  il  est  fermement  décidé  à  cultiver  ses  terres ; il bêche, il pioche, il plante, il sème toute  la journée. Rien ne pousse ; le sol, fait de sable et  de gravats, se refuse à toute végétation. Le rude  travailleur  n’en  essuie  pas  moins  avec  une  vive  satisfaction  la  sueur  qui  inonde  son  visage

strips les plus originaux de l'histoire de la bande dessinée Upside-downs of little lady Lovekins and old man Muffaroo. Le strip de quatre cases se lit dans le sens normal de lecture de gauche à droite puis l’histoire se continue en retournant tête-bêche le journal et en relisant les cases dans le sens inverse, lady Lovekins se transforme alors en old man Muffaroo, le chapeau de l’une devenant la barbe de l’autre16. Création C'est le caricaturiste australien Frank Arthur Nankivell qui travaille