Beige

possible. Couleurs et luminosité Couleurs : La palette des couleurs utilisées dans Le Radeau de la Méduse, très réduite, va du beige au noir, en passant par le brun clair et le brun foncé. On obtient ainsi une atmosphère générale de tons chauds, avec des couleurs en bonne harmonie, mais dégageant une impression dramatique, de détresse. La couleur dominante du tableau est le beige, et les teintes sont généralement mates. Cependant, un élément se détache du tableau par sa couleur, il s’agit de l’étole rouge

rond au centre, ce qui apporte de la douceur à ce tableau très structuré. Bien que le tableau en lui-même ne soit pas très vif dû au fond beige tamisé, les couleurs vives sont encore une fois au rendez-vous, notamment avec un rouge-orangé présent au quatre coins de la toile. Le tableau semble être vieux dû à l’effet que Paul a produit avec le noir et le beige. Il est difficile de dire d’où provient la lumière, et si elle est artificielle ou pas. La luminosité est la même sur tout le tableau.

crucifié et observe d'autre soldats qui semble jouer aux dés. Il y a aussi d'autres soldats sur les chevaux, regardant les crucifiés. En arrière plan, les gens repartent vers la ville, on peut y observer des collines ainsi qu'un grand rocher teinté beige-rosé. Vers le centre droit, on y voit se qui semble être un autre petit village, qui se perd dans le ciel. Se qui démontre que cette peinture est une oeuvre de la Renaissance est, premièrement, la représentation juste et réaliste de l'homme, dans

tasse obscure, des reflets d’or. Le soleil y loge. Envahis par la mer… Qu’il est bon d’être insulaire ! Ô Carnaval nocturne ! Les masques défilent, les nez, les yeux, les corps n’ont plus rien de commun. Ma bouche prend part au festival, enrobée d’une beige et légère mousse onctueuse. Mon esprit aussi ! Telle une gondole, il flotte et il divague au-dessus des dix vagues de la volupté. Café pur Arabica des Indiens Quechuas. Machu Picchu et ses terres de feu péruviennes nous le font parvenir. Même

complètement, il y a la chambre de mes parents. Tout ceci se trouve à la fin d’un corridor. Aussitôt qu’on entre dans la pièce, la première impression qu’on a c’est la tranquillité, car c’est propre. On remarque que tous mes meubles sont d’un teint beige et s’y trouve des taches de bleu pâle. La pièce est de forme carré et l’entrée se trouve dans le coin droit de la chambre. À gauche, on aperçoit une grande fenêtre. Au fond, s’y trouve un miroir de forme ovale sur la hauteur. Juste à côté, on découvre

gothiques, ancienne langue germanique. Au centre du tableau, on voit Adolf Hitler représenté de face, le visage grave. Il serre le poing gauche et tient dans sa main droite le drapeau nazi (croix gammée sur fond rouge). Il porte une tenue militaire beige-marron, qui est celle de la section paramilitaire qu'il a instauré au début de son accès au pouvoir. Sur sa chemise, il arbore une croix de guerre, car Hitler est un vétéran de la Première Guere Mondiale, durant laquelle il a été blessé et décoré

qu'elle ressent pendant son divorce.  Elle utilisera énormément la couleur vert pâle pour représenter la flore et la couleur noire pour faire le singe  et sa chevelure.  Du blanc pour sa tunique, du marron clair pour le collier d'épines  enfin du beige pour sa couleur de peau. De plus, elle exprime dans ses œuvres la souffrance de son accident et la solitude dans ses tableaux au cours de toute sa vie.    

de l’officier est nostalgique, triste, apeuré. Il a l’air maigre et on dirait qu’il a e la neige sur son bonnet. Il n’est dessiné que le buste, mais on n’apprécie pas les épaules, il est vêtu d’un drap. Il n’y a pas de fond, ce n’est qu’une couleur beige monotone. André Mare, Autoportrait, 1916. Tableau peint sur du papier qu’on dirait ancien. Il est divisé en 2 parties : à gauche, des choses écrites, à droite, le portrait fait avec des différentes couleurs très vives et des formes géométriques.

ou jaune, voire violacée5 mouchetée de taches et points noirs qui rappellent la livrée des léopards6. Les points noirs peuvent être distincts les uns des autres ou se rejoindre pour former des motifs, notamment au niveau de la tête. Le ventre est beige à blanc. Chez les juvéniles, la tête est foncée avec une bande blanche au niveau de la nuque. Le dos est barré de trois ou quatre bandes transversales foncées. Ces bandes s'estompent avec l'âge mais peuvent subsister chez les adultes sous forme de

brisée à six endroits .Son corps est recouvert de 56 clous, ses cheveux noirs et ses sourcils épais mettent en valeur ses yeux desquels sortent des larmes. Le personnage est peint avec des couleurs vives et chaudes : le blanc du corset et du drap , le beige de la peau. L’arrière-plan lui est sombre. La lumière semble venir du personnage lui-même. Analyse de l’œuvre: Les larmes et les clous symbolisent cette souffrance et la douleur. La colonne brisée témoigne de l’accident qu’elle a subit à 18