Bel Ami Situation Final

Objet d’étude : le Théâtre et sa représentation Corpus : texte A : Pierre Corneille, Le Cid, Acte I, scène 4, 1637 texte B : Jean Racine, Phèdre, Acte I, scène 3, 1677 texte C : Eugène Ionesco, Rhinocéros, Acte III, scène finale, 1959 Question : (4 points) Comment les spécificités du texte théâtral (personnages, registres, énonciation, etc.) apparaissent-elles dans ces trois extraits ? Travaux d’écriture : Vous traiterez un de ces trois sujets (16 points) Commentaire :

as-tu perdu l'esprit ? à quoi penses-tu ?ARLEQUIN, riant. −  Ah ! ah ! ah ! Monsieur Iphicrate, la drôle d'aventure ! je vous plains, par ma foi; mais je ne saurais m'empêcher d'en rire.IPHICRATE, à part les premiers mots. −  Le coquin abuse de ma situation : j'ai mal fait de lui dire où nous sommes. Arlequin, ta gaieté ne vient pas à propos; marchons de ce côté.ARLEQUIN: J'ai les jambes si engourdies !...IPHICRATE. −  Avançons, je t'en prie.ARLEQUIN. −  Je t'en prie, je t'en prie; comme vous êtes civil

aspirent, n'est-il pas un témoignage de l'honnêteté de leurs intentions ? MAGDELON. Ah ! mon père, ce que vous dites là est du dernier bourgeois[pic]. Cela me fait honte de vous ouïr[pic] parler de la sorte, et vous devriez un peu vous faire apprendre le bel air des choses[pic]. GORGIBUS. Je n'ai que faire ni d'air ni de chanson. Je te dis que le mariage est une chose sainte et sacrée, et que c'est faire en honnêtes gens[pic] que de débuter par là. MAGDELON. Mon Dieu, que, si tout le monde vous ressemblait

diplôme... !! - A la grâce de Dieu... !!!! A la h'iet, a la h'ietkem Vous nous avez manque A la h'ietek Difficilement traduisible. Voudrait dire: il nous manque! ou encore: la prochaine fois avec lui. Une bande d'amis a prévu de voir ensemble la finale de l'Euro 2000 mais Charlie, l'un des potes, tombe malade la veille et doit être hospitalisé.. Les autres tous ensemble, devant leur écran : - A la h'ietek Charlie..!!! Aloooors Le "alors" du tune possède toujours beaucoup plus de voyelles que l'orthographe

auprès de Marianne et sèche réponse de Marianne ; apparition de Claudio ; rêverie de Coelio, qui, ensuite, avoue son secret à Octave et implore l'aide de son ami. Les principaux caractères sont déjà esquissés : Marianne apparemment indifférente et fière ; Coelio timide et tendu ; Octave libertin et loyal ; Claudio ridicule et odieux. La situation est définie : Coelio, amoureux de la cruelle Marianne, confie ses intérêts à Octave. L'ACTION Tout s'ordonne autour dune suite d'entretiens entre Octave

1 - Situation de l’œuvre, dans la production et la vie de l’auteur et dans le contexte historique et culturel de l’époque. François-Marie Arouet est né d’une famille aisée. Très rapidement il adopta la philosophie épicurienne fondée sur l’apologie du plaisir et l’idée que la nature est bonne. Ses écrits critiques lui vaudront vite la censure l’emprisonnement puis l’exil. Des exils d’où il reviendra enrichi de sa découverte de nouvelles formes de régime politique (anglais, russes). De retour en France

regrouper l’étude de celles-ci avec l’étude des personnages. De plus, j’ai réalisé un résumé pour chacune d’elles et une analyse pour celles qui me paraissaient les plus intéressantes dans la forme et dans le fond. - Le Monstre Résumé : Par un bel après- midi de juin, Ghita Freilaber, une domestique et perceptrice, aperçoit dans un grenier, un monstre; elle est apeurée. Elle décide d’en parler aux concierges de l’immeuble. Mais ceux-ci ne la croient pas et donnent une autre interprétation de

beauté ( champ lexical de la beauté -Rythme binaire = équilibre -Lexique mélioratif (superlatifs) -énumération -effet produit sur le narrateur : émerveillent traduit par des adverbes (« admirablement ») qui sert de commentaire. - adverbes finaux « vraiment », « visiblement » = éloge III.1) - groupe et le bien général l’emportent sur l’intérêt individuel (l.19 « il n’est rien là…») -émulat° source de plaisir (l.22 « leur zèle est stimulé par le plaisir qu’ils en retirent ») 2) -association

dimension merveilleuse à travers l’usage hyperbolique des comparatifs et des superlatifs : - comparatifs : « plus froide que le marbre », ligne 12 ; « plus flamboyants et plus vermeils que n’est le matin », lignes 30-31 ; - superlatifs : « du plus bel arbre que jamais Nature ait pu créer », lignes 12-13 ; « le plus beau pin qui jamais eût grandi sur terre » (l. 25) ; « de l’or le plus fin… » (l. 27). Les images utilisent des comparants qui exaltent le caractère exceptionnel des éléments du paysage

que Marcel Proust dans À la recherche du temps perdu lors du fameux épisode de la madeleine. Personnages • Socrate • Anytos • Ménon : aristocrate, noble de Thessalie originaire de Pharsale1 : homme de haras, élève sophiste, admirateur et ami du célèbre Gorgias, qui se fait mercenaire des Perses. • Un esclave de Ménon, qu'il fait venir à la demande de Socrate. Résumé Qu'est-ce que la vertu ? « Pourrais-tu me dire, Socrate, si la vertu peut être enseignée, ou si, ne pouvant l'être