Belle-Île-en-Mer

fenêtre d’hôtel sur
les Boulevards et lui promettent un prompt retour
Elle rêve de revenir bientôt en France et d’habiter Paris
Le bruit de ma machine à écrire l’empêche de mener son
rêve jusqu’au bout.
Ma belle machine à écrire qui sonne au bout de chaque
ligne et qui est aussi rapide qu’un jazz
Ma belle machine à écrire qui m’empêche de rêver à
bâbord comme à tribord
Et qui me fait suivre jusqu’au bout une idée
Mon idée Blaise Cendrars Ce poème traite du voyage, surtout du retour. Il y a une ambiguité

impressions. Ce tableau est moderne et donne une représentation différente du mythe : le moment semble être le même mais de nombreux éléments diffèrent. On les fait répertorier ces éléments dans le tableau suivant : Eléments observés Le cadre (la mer..) Le bateau Ulysse Les Sirènes Différences relevées Cette représentation permet de montrer que les peintres comme les écrivains exercent leur liberté par rapport au texte qu’ils illustrent en fonction de leur tempérament, de leur sensibilité

d'Athènes parce qu'ils ont dit qu´il était nécessaire sortir à une boîte de nuit. Nous sommes allés à un « Rembetika », une sorte de club, et c'était très amusant et excitant. L'atmosphère est animée en particulier dans le Riba´s à Varkiza, au bord de la mer. J´ai aimé la musique et la danse grecque tellement différente et unique. D’ailleurs, nous allions dîner dans l'un des restaurants qui se trouvent sur l'Acropole. Là, nous goûtons les dolmades faites avec des feuilles de vigne (viña), moussaka, qui

seul bonheur réside dans sa patrie et sa famille. Calypso : Calypso est la fille d’Atlas dans l’Odyssée. C’est une nymphe de la mer « aux belles boucles ». Elle est considérée comme la reine de l'île d'Ogygie, où elle mène une vie solitaire entourée d'autres nymphes. Elle recueille Ulysse après son naufrage et tombe amoureuse de lui. Il restera sept ans sur cette île. Elle lui proposera l'immortalité s’il consent à rester avec elle mais il la refuse, pleurant encore tous les jours sa patrie et

stagnation économique de l’époque , Herman décide de prendre la mer , hanté par la passion des voyages . En 1842 , après de longs et pénibles mois de navigation dans le Pacifique à bord d’un baleinier , il déserte à Nuku-Hiva , une des îles des Marquises .Il y est détenu en captivité dans la vallée de Taipivai pendant quatre mois , par un des peuples indigènes de cette île , les Taïpis .Il réussit néanmoins à s’échapper de cette île , puis continue son exploration du Pacifique avant de rejoindre

d’écrire l’intérieur de notre âme. Parfum exotique Quand, les deux yeux fermés, en un coir chaud d’automne, Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et de femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli

9 v. 9 à 10 (NBS) 9 Sois transportée d’allégresse, Sion la belle ! Lance des acclamations, Jérusalem la belle ! Il est là, ton roi, il vient à toi ; il est juste et victorieux, il est pauvre et monté sur un âne, sur un ânon, le petit d’une ânesse. 10 Je retrancherai d’Ephraïm les chars et de Jérusalem les chevaux ; les arcs de guerre seront retranchés. Il parlera pour la paix des nations, et sa domination s’étendra d’une mer à l’autre, depuis le Fleuve jusqu’aux extrémités de la terre. Romains

dame créole. Qui célèbre à chaque fois une beauté féminine et exotique. Cette célébration de la beauté féminine. Empreinte comme il se doit à la forme classique du sonnet. Pétrarque liste dédiés depuis la Renaissance. À célébrer les charmes d'une belle dame. On retrouve la forme canonique du Sonnet 2, Quatrains de terre c composé d'un district de l'île Plate et d'un quatrain rimé croisés. Et les 2 quatrains ont des rimes en passe. Le titre parfum exotique. Est intéressant dans ce qu'il révèle de

prieuré2 dans ces quartiers-là, et lui donna le nom de prieuré de la Montagne, qu'il porte encore, comme un chacun sait. En l'année 1689, le 15 juillet au soir, l'abbé de Kerkabon, prieur2 de Notre-Dame de la Montagne, se promenait sur le bord de la mer avec mademoiselle de Kerkabon, sa sœur, pour prendre le frais. Le prieur2, déjà un peu sur l'âge8, était un très bon ecclésiastique, aimé de ses voisins, après l'avoir été autre-fois de ses voisines. Ce qui lui avait donné surtout une grande considération

allait d'une ville à l'autre, il était le berger des petites villes. Toutes les deux heures il en rencontrait qui venaient boire au bord des fleuves ou qui broutaient leur plaine. Quelquefois, après cent kilomètres de steppes plus inhabitées que la mer, il croisait une ferme perdue, et qui semblait emporter en arrière, dans une houle de prairies, sa charge de vies humaines ; alors il saluait des ailes ce navire. « San Julian est en vue ; nous atterrirons dans dix minutes. » Le radio navigant passait