Belle Marianne

puisqu’on peut voir des hommes armés et des morts au premier et deuxième plan. Et ça se passe à Paris, puisqu’on voit la cathédrale Notre Dame. L’événement évoqué est donc la Révolution des Trois Glorieuses. Le tableau est basé autour de la femme, Marianne, c’est l’allégorie de la liberté (personnification) Elle est placée en avant, elle mène l’armée au combat, et elle-même porte un fusil. Elle brandit le drapeau tricolore, le symbole de la France né pendant la Révolution Française bataille pour la

DOSSIER PEDAGOGIQUE L’Avare Molière Distribution Mise en scène : Michel Dezoteux Avec Karim Barras : Valère Frédéric Dezoteux : La Merluche, le commissaire, Maître Simon Raphaële Germser : Marianne, Dame Claude Erwin Grünspan : Cléante Christian Hecq : Harpagon Denis Laujol : La Flèche Anne-Marie Loop : Frosine Blaise Ludik : Maître Jacques Fanny Marcq : Elise Achille Ridolfi : Brin d’avoine, Anselme Un spectacle du Théâtre Varia. En coproduction avec le Manège.Mons – Centre Dramatique

document ? Quelle a pu être son utilisation ? Quelle est la situation politique réelle des Républicains à cette date ? Quelques pistes de réflexion pour l'analyse : Au centre de l'affiche : - Le personnage central, une femme jeune et belle, Marianne, allégorie de la République éclairée par la lumière de la connaissance (le flambeau) écrase la couronne et le sceptre royaux. Elle tient d'une main le glaive de la justice, de l'autre le drapeau tricolore. Elle est coiffée du bonnet phrygien,

de majordome afin de ce rapprocher de sa belle qu’il aime tendrement. En flattant autant qu’il peut les manies du vieillard Valère espère entrer dans les “bonnes grâces“ du père pour obtenir la main de sa fille. Cléante de son coté est follement amoureux de Mariane, fille sans fortune vivant avec sa mère. Malheureusement père et fils convoitent la même femme et c’est par Frosine, une entremetteuse, qu’Harpagon nourrit l’espoir d’épouser la jeune Mariane qui soit dit en passant « ne lui reviendra

les mots fameux de l’acte I: «les autres [mains]» et le «sans dot». Molière a trouvé chez son confrère Boisrobert — la Belle Plaideuse (1655) — la scène où sont mis en présence le père usurier et le fils emprunteur, ainsi que l’idée de compter dans la somme prêtée tout un lot de marchandises inutilisables. Harpagon, par ruse, fait avouer à Cléante, son fils, qu’il aime Mariane; le vieillard prétend imposer ses droits. Une pseudo-conciliation tentée par maître Jacques, cuisinier-cocher d’Harpagon

d’Orgon, belle et élégante. Mme Pernelle : La mère d’Orgon, c’est une vieille femme qui aime crier et donner des leçons de morale à tout le monde, et admire autant que son fils ce saint homme de Tartuffe. Marianne : Fille d’Orgon. Une amoureuse, que son père veut forcer à épouser Tartuffe, alors qu’il l’avait promis en mariage à Valère, le jeune homme qu’elle aime. Damis : Fils d’Orgon. Jeune homme irréfléchi, qui déteste Tartuffe et s’efforce de le démasquer. Dorine : La suivante de Marianne, elle

psychologique (page 4) lintrt philosophique (page 6) la destine de luvre (page 7) diffrentes scnes (pages 7-16) Bonne lecture Rsum On est au XVIIe sicle dans le salon du bourgeois Orgon. Madame Pernelle, sa mre, sapprte quitter la maison et reproche sa belle-fille et ses petits-enfants leurs habitudes mondaines, alors quOrgon a accueilli chez lui un dvot personnage du nom de Tartuffe, dont, prtend-elle, tous feraient bien de suivre lexemple. Chacun sindigne de ces propos Tartuffe est un hypocrite, un

tôt. Elle est le dernier recours pour démêler des situations familiales complexes (mariage entre Tartuffe et Mariane). * Damis : fils d'Orgon et frère de Mariane, il a reçu le caractère de son père (colérique) mais ses actions demeurent inefficaces. * Mariane : fille d'Orgon, sœur de Damis et amante de Valère. Elle est très timide et plutôt passive. * Valère : amant de Mariane. * Cléante : beau-frère d'Orgon. Personnage calme, réfléchi et intelligent. C'est pourquoi il essaye de raisonner

Botbol <avec> Arnaud Churin - CLÉANTE David Botbol - L‘EXEMPT Arnaud Chéron - DAMIS Simon Gauchet - VALÈRE Jérôme Bidaux - ORGON Stéphane E. Jais - M. LOYAL Laure Werckmann - DORINE Eric Lacascade - TARTUFFE Daria Lippi - ELMIRE Noémie Rosenblatt - MARIANNE Catherine Epars - MME PERNELLE <Scénographie> Emmanuel Clolus <Lumière> Philippe Berthomé <Son> Marc Bretonnière <Costumes> Marguerite Bordat <Régie générale> Joël L’Hopitalier <Production> Théâtre Vidy-Lausanne <Coproduction> Théâtre National de

représentée par une femme, Italia, une déesse autrement sans importance dans le panthéon romain, mais qui est devenue l’inspiration pour un ensemble de symboles féminins de pays. Au même titre que Britannia représente l'Angleterre, Germania l’Allemagne, Marianne la France et la Statue de Liberté l'Amérique, l’Italie a pour symbole Italia. Il s’agit d’un personnage symbolisant la nation et représentée sous les traits d’une femme dotée d'un bonnet ou d'un casque, semblable à ces autres figures nationales.