Bénédictine

Château de Rotou | Archi rel : dvlpt déambulatoire, plan bénédictin (croix latine), plusieurs niveaux, voutement varié, clocher, vaste nef. Notre Dame de Jumièges (1040) Croix latine, déambulatoire, nef avec collatéraux, 8 travées, transept débordant, absidioles, chœur à 2 travées 3 niveaux, arcades à doubles rouleaux, tribunes à 3 baies, pilliers rect, 2 grdes tours en facade, grdes baies | St Germain des prés Style bénédictin, voutes doublées, colonnes engagées | -------------------------------------------------

abbesse, ; ils ont fait vœu de pauvreté, chasteté et obéissance à la règle de leur ordre (bénédictins, clunisiens...) ; à compter du XIII°s la règle la plus répandue est celle de Benoît de Nursie,, la règle bénédictine rythme leur vie entre prière, lecture, travail de copie et travail manuel. Différents ordres monastiques : en 910 le duc d'Aquitaine crée l'abbaye de Cluny en Bourgogne, qui observe la règle bénédictine de façon remaniée, en réaction à son enrichissement se crée en 1098 l'ordre de Cîteaux

établissements monastiques, et notamment par Cîteaux, fondé en 1098. Conservant la règle de Saint-Benoît, ces agrégations ne différaient entre elles que par le centre d'autorité monastique, par les divers moyens imaginés pour maintenir l'esprit bénédictin, et par une plus ou moins grande austérité dans la discipline commune. Nulle ne se proposait, à vrai dire, une autre fin que celle de ses compagnes. Ce n'étaient point là proprement des différences d'ordres, mais seulement de congrégations. Partout

| | | |À l’époque les valeurs sont l’église et le savoir, les chevaliers parmis lesquels ont trouve les Franciscains, les Bénédictins, les Dominicains et autres ne | | | |sont pas d’ordre religieux.

monastère (sans pour autant devenir moine) et qui vit de manière similaire à un moine (liturgie des Heures, lecture, méditation). *Thomas d’Aquin (fils du comte d’Aquino, famille influente du Royaume de Sicile) est oblat de 1230 à 1239 à l’abbaye bénédictine du Mont-Cassin - Les béguines : mouvement né au XIIe siècle à Liège qui regroupe des femmes laïques mais très pieuses. Elles vivent une vie dictée par une règle monastique (vœu de chasteté) avec une autonomie financière (elles travaillent) et une

pour un voyage d'Étude à Rome ou il rencontrera Raphaël et Michel-Ange mais il repart deux ans plus tard pour décorer la villa Barbaro appartenant à son frère. C'est à cette époque qu'il peindra les Noces de Cana commander pour le réfectoire des Bénédictins de Penquesten. Puis il retourne à Vérone en 1566 pour épouser Elena Badile fille de son maitre Antonio Badile. Conclusion: Véronèse est connu comme un grand coloriste ainsi que pour ses décorations illusionniste en fresque et en huile. Il a

grec avec Guillaume Budé. Il étudie le droit. On lui retire ses livres de grec sur ordre de la Sorbonne, qui interdit l’étude de l’Écriture dans les textes originaux. - 1525 : Rabelais obtient du pape l’autorisation de passer dans l’ordre des Bénédictins dont les règles sont moins strictes et le milieu plus ouvert. - 1528-1530 : au cours de ses nombreux déplacements, il fréquente les universités de Bordeaux, Toulouse, Orléans, Paris où il séjourne et prend l’habit de prêtre séculier. - 1530 :

RABELAIS François (Né entre 1483 et 1494 et mort en 1553) XI° et XVI° Humaniste de la Renaissance Franciscain, bénédictin, il est médecin puis curé de Meudon. Ses critiques et ses expressions lui valent la mise à l’Index Librorum Prohibitorum (Liste d’ouvrages que les catholiques n’étaient pas autorisés à lire, accompagnée des règles de l’Eglise au sujet des livres. Le but de cette liste était d’empêcher la lecture de livres jugés immoraux ou contraires à la foi.). En 1532, il est nommé

fin du XVIII-ième siècle, des réunions « novateurs » s’unissent dans plusieurs villes. Ils attaquent de plus en plus ouvertement « l’aristotélisme » des traditionalistes, lisent Descartes, étudient les mathématiques et la médecine. Depuis 1726, le bénédictin Benoît Feijoo, professeur à l’université d’Oviedo, publie son Théâtre critique, puis ses Lettres érudites, dans lesquels il divulgue la pensée scientifique européenne et la méthode expérimentale, en s’inspirant surtout de Francis Bacon. Il contribue

méditations 5 Les 19 « Prières » et les 3 « Méditations » que saint Anselme a écrites de 1070 à 1104 ne représentent pas quelque appendice de son œuvre de penseur, mais indiquent le lieu même où sa pensée a trouvé naissance et essor. Pour ce moine bénédictin, en effet, il n'est pas de parole sur la suréminence de Dieu qui ne soit d'abord parole à Dieu toujours plus grand, parole de supplication pour que soit pardonné le péché et parole de louange devant la grâce qui surabonde en la Pâque de Jésus. C'est