Bénédictine

l’humaniste français Guillaume Budé et rencontra l’évêque de l’abbaye bénédictine de Maillezais, Geoffroy d’Estissac, qui sera par la suite un de ses protecteurs.Cependant en 1523, ses livres grecs lui sont confisqués ; à la suite des commentaires d’Erasme sur le texte grec de Evangiles, la faculté de théologie de Paris la Sorbonne interdit l’étude du grec et des textes originaux.En 1524, François Rabelais rejoint l’ordre des Bénédictins en devenant moine à l’Abbaye de Maillezais. En 1528, il abandonne

devenir des prébende II- niassance du monachisme -laiques se retirent du monde= érémitisme -dans la partie occidentale :cénobisme -à travers le modèle bénédictin 480-501, saint benoit établit monastère au MONT Cassin émet règle latine -prévoit 3 temps : prière/office ; travail manuel ou intellect ; repos Saint Mors apporte le modèle bénédictin en gaule -modèle irlandais : Saint Colomban (540-615), moine mendie, c’est par l’exemple Obéissance Section 2 : institution publique au temps carolingien

l'indépendance. Ces moines vont avoir leurs propres ressources et économies. (on leurs doit le salut du savoir antique). De ceux milieu va apparaître le décret de Gratien de 1140. La composition du decretum Gratiani est l’œuvre d'un moine Bénédictin mais d'un ordre Bénédictin reformé. Gratien a été formé à l'université de Bologne qui est une grand université du moyen-âge. Gratien baigne ses études du droit savant. Il va être capable de tenter de faire ce qu'avait fait Tribonien pour Justinien dans le digeste

moines, en désaccord avec les règles qu'il imposa, tentèrent de l'empoisonner. Il quitta alors la communauté et fonda l'abbaye du Mont-Cassin vers 529. C'est qu'il rédigera la fameuse « Règle de Saint Benoît » qui donnera naissance à l'ordre des Bénédictins. Celui-ci aura pendant plusieurs siècles une influence considérable sur la vie en Occident, et notamment le monachisme, mais aussi sur toute la vie intellectuelle du christianisme. Patronage Saint Benoît est invoqué contre les piqûres d'orties

un groupe d'humanistes. Il étudie le droit par la suite on lui retirera ses livres de grec par ordre de la Sorbonne suite à ses critiques envers l'ordre religieux. En 1525, Rabelais obtient l'autorisation du pape de passer dans l'ordre des bénédictins dont les règles sont moins strictes et le milieu plus ouvert. De 1528 à 1530, Rabelais fréquente de nombreuses universités comme celles de Bordeaux, toulouse, Orléans et Paris où il séjourne et prend l'habit de preêtre séculier. Il y aura une

liens avec des érudits qui se réunissent chez Geoffroy d'Estissac, ( prieur et évêque de l'abbaye bénédictine de Maillezais). Rabelais est reconnues par ces savants grâce à ses connaissances et son autorité. Mais sur ordre de la Sorbonne, les supérieurs de Rabelais lui retirent ses livrent grecs, qui lui fut très vite restitués. Pusi en 1524, il quitta les Franciscains pour les Bénédictins avec l'autorisation du pape Clément VII. Les règles y sont moins sévères, il y resta quelques années

écrit par l’abbé Prévost. Cet écrivain né en 1697 est issu d’une famille bourgeoise, son père étant procureur du roi, il effectua ses études chez les jésuites et devint bénédictin, mais s’enfuit, son exil dura pendant 7 ans où il voyagea en Europe, notamment en Angleterre, il retourna à la suite de son exil au sein des bénédictins. Il a écrit quelques romans dont « l’histoire générale des voyages en 15 tomes ». Et fut notamment influencé par la théorie religieuse du jansénisme (Dieu détient le destin

charité, patience et amour. L’obéissance et le silence représentent les vertus essentielles pour parvenir jusqu'à Dieu. La règle prévoit un cadre de vie où l’emploi du temps se partage entre le travail et la prière. Les moines bénédictins font voeux de stabilité ( fidélité à la règle et à la clôture ), de conversion des moeurs ( pauvreté, chasteté, humilité, travail manuel ), et enfin, obéissance à l’abbé. Nous verrons tout d’abord, la particularité de l’apport de Saint

caliari, dit Veronese, les noces de Cana, 1563, huile sur toile, 677 x 994 cm. Peint pour orner le mur du réfectoire du monastère bénédictin de San Giorgio Maggiore à Venise. Paradoxe d'un tableau qui séduit aujourd'hui par son faste, l'exubérance et la diversité de ses figures, apparaissant peu en phase avec les valeurs de ses destinataires, des moines bénédictins ayant fait le choix de se retirer du monde et de vivre dans le travail et la prière. On résoud d'ordinaire le paradoxe en évoquant

la règle bénédictine (de Saint | |[pic] |Benoît) : Cluny ; qui devint au XIIème siècle le plus important ordre monastique du moyen-âge. | | |Toutefois, en 1098, le comte Robert de Molesmes trouva que les clunisiens avaient trahit les règles | | |bénédictines. Il fonda