Bergson Autrui Et Moi Social

etc.) peuvent être invoqués également par les défenseurs de la doctrine du déterminisme universel, fait de l'idée même de liberté « une force capable de produire le mouvement, et de toucher par là au mécanisme » (Doctrine des idées-forces). Bergson a signalé le vice fondamental de la plupart des discussions sur la liberté : l'assimilation, psychologiquement illégitime, de la volonté au fléau d'une balance dont l'inclinaison est déterminée par les poids des plateaux. Les motifs et les mobiles

plusieurs questions permettant de poursuivre la réflexion : La liberté correspondrait donc à un sentiment intérieur, à une expérience immédiate en chaque homme. Or peut-on se contenter de cette expérience immédiate ou pour reprendre la formulation de Bergson, de cette « donnée immédiate de la conscience » ? Autrement dit, peut-on se contenter du  sentiment de notre liberté pour en déduire son existence certaine ? Est-il donc possible de faire une expérience de notre liberté qui puisse justifier ce sentiment 

vouloir prouver la liberté est une absurdité : un homme qui n'a pas l'esprit gâté, n'a pas besoin qu'on lui prouve son franc arbitre ; car il le sent. (Bossuet) ; et pour Leibniz, la liberté fait l'objet d'un vif sentiment interne. De même encore, Bergson en fait une donnée immédiate de la conscience. La liberté serait donc d'abord un objet d'une intuition immédiate et interne. C'est pourquoi le problème métaphysique de la liberté tire en fait son importance des enjeux moraux qui en découlent.

sentiments que nous avons de nous meme »Malebranche « Le meilleur moyen pour apprendre a se connaître,c’est de chercher a comprendre autrui »andré Gide Rapports avec autrui « le devoir et le bonheur consistent également a vivre pour autrui » « Il (l’homme)abuse a coup sur de saliberté a l’égard de ses semblables »Kant « l’homme est non seulement un animal social,mais un animal qui ne peut s’individualiser que dans la société »Marx Le sujet La conscience ***/** 1. Conscience morale, conscience

: les parents contrecarrent les pulsions de l’enfant. Le Surmoi est le moi idéal. Il intériorise dans la conscience de l’enfant l’autorité du père et les exigences par rapport aux interdits parentaux qui sont eux-mêmes le reflet des interdits sociaux et moraux de la Société. Il joue en même temps le rôle de juge et est à l’origine de la Cs morale par le biais du refoulement qu’il provoque en exerçant une censure sur les pulsions du « ça ». Le refoulement est une opération qui repousse et maintient

général des mots et le caractère singulier de la pensée. Est-ce que la pensée n'est pas trahie par des mots qui ne la restituent pas ? La singularité enfin rencontrée est exprimée dans la passion amoureuse. (Cristallisation de Stendhal) D'après Bergson, le langage et l'intelligence ne travaillent que dans le grossier, ils ne voient que ce qu'il y a de commun et de stable. En effet, le langage et l'intelligence sont levier à la réussite. L'intelligence est incapable de penser la singularité du temps

techniciens et les fonctionnaires) HEIDEGGER : la technique moderne n’est pas qu’un simple instrument. On entre dans un arraisonnement de la nature, c’est-à-dire que l’homme n’exploite le réel que comme une énergie. La nature se réduit maintenant à ça. BERGSON : Il définit l’homme comme homo faber (l’homme qui fabrique) mais aussi comme homo sapiens (l’homme qui sait) mais dans un second temps. L’utilisation de la technique est nécessaire à la survie de l’homme tandis que la connaissance scientifique peut

plusieurs questions permettant de poursuivre la réflexion : La liberté correspondrait donc à un sentiment intérieur, à une expérience immédiate en chaque homme. Or peut-on se contenter de cette expérience immédiate ou pour reprendre la formulation de Bergson, de cette « donnée immédiate de la conscience » ? Autrement dit, peut-on se contenter du sentiment de notre liberté pour en déduire son existence certaine ? Est-il donc possible de faire une expérience de notre liberté qui puisse justifier ce sentiment

XIXième. William James, 1890 : la psychologie est « la science de la vie mentale, de ses phénomènes, et de ses conditions. » C’est une psychologie philosophique, qui s’intéresse aux facultés de l’esprit en utilisant des concepts non quantifiables. (Bergson) On est dans le subjectif. Progressivement, la psychologie est devenue scientifique avec des mesures au XXième siècle, et les auteurs comme Watson et Pieron. Pieron est le père de la psychologie scientifique : il la définit comme la science du comportement

Bourdieu, au nom d’une connaissance du monde social qui serait acquise par le sociologue, est susceptible de nous dire comment améliorer nos rapports sociaux, découvrir les injustices = c’est la realpolitik dans l’universalisme. Véritable rupture dans la philosophie c’est au 18ème siècle : Emmanuel Kant. Détermine toute notre esthétique actuelle sur les arts et il fonde la possibilité de la science au sens moderne et donc des sciences humaines et sociales en particulier. Trois caractéristiques de la