Bfem 2008

............................... 6 a. La crise de 1929 .............................................................................................................. 6 b. La crise de 2008 .............................................................................................................. 9 c. 1929/2008 : ressemblances et différences ..................................................................... 10 LA CRISE ÉCONOMIQUE I. Généralités sur les crises a. Définition de la crise

à intégrer les externalités sociales et environnementales, voire présentées comme les instruments du capitalisme financier1. Après les scandales financiers du début des années 2000 en Europe et aux États-Unis (Enron, WorldCom…), puis la crise de 2008 les pouvoirs publics se sont attachés à renforcer la qualité de la communication financière afin de rétablir la confiance du public, des épargnants et des investisseurs. Cet important mouvement s’est traduit par l’adoption d’un ensemble de textes dont

I) L’Islande avant la crise Avant la crise économique de 2008, l'Islande était au premier rang des pays les plus développés au monde selon l'indice de développement humain (IDH) de 2007 et 2008. Son économie est fondée sur un système d'économie mixte où les services, la finance, la pêche et les industries sont les principaux secteurs. Après avoir été pendant des siècles un pays à l'économie très modeste, son ratio PIB/habitant est en 2007 le plus élevé au monde : son PIB/hab. ajusté en parité

économistes. La situation n'inquiète, pourtant pas, les investisseurs. Beaucoup d'entre eux continuent d'acheter de la dette publique française. La France n'a jamais emprunté à des taux aussi bas. L’endettement de la zone euro Depuis la crise de 2008 en zone euro, la dette publique n'a cessé d'augmenter dans toute la zone euro. Même la bonne élève de la zone euro n'est pas épargnée. Cette année, l’Allemagne est à 76% de dette publique. Quant à la France, elle ne fait pas non plus partie des pays

1997, ou elle frôle les 60% du PIB. Chiffre qui correspond à un des critères de Maastricht. Puis, elle redescend jusqu’en 2001 et prend environ 10% jusqu’en 2005. Après cela, nous avons un léger ralentissement sur deux ans. A partir de la crise de 2008, la dette s’est massivement creusé avec 20% supplémentaire jusqu’en 2012. Et depuis, elle ralenti. Elle atteint un pic d’environ 88% en 2012. En 36 ans (1978-2014), la dette publique à été multiplier par 4. B- La relation entre le déficit public

son objectif de stabilité des prix. Elle tâche également d'atteindre les autres objectifs de la politique économique, qualifié de triangle keynésien : la croissance, le plein emploi, l'équilibre extérieur. Depuis le début de la crise économique de 2008, les Banques centrales ont de plus en plus recours à des politiques dites non conventionnelles dont l'assouplissement quantitatif (en anglais Quantitative easing).

collectivités locales, sécurité sociale-. C’est un stock qui est alimenté par les déficits publiques (qui eux sont des flux). La question de la dette publique est intrinsèquement liée au contexte économique actuel. En effet, la crise économique de 2008 a eu un lourd impact sur la dette de la France, qui de 66% du PIB en 2007 passe à 84% du PIB en 2010. Des plans de relance budgétaire se sont multipliés dans tous les pays pour maintenir le plus possible leur économie « hors de l’eau ». Et la dette

car nous avons estimé que la France étant la capitale mondiale du luxe ,nous nous devions de traiter ce thème mais nous ne pouvions pas parler seulement du luxe... Étant en première économique et sociale nous avons donc pensé à la crise économique de 2008 dans l’industrie du luxe à partir de l’exemple du leader mondial de ce secteur : LVMH . La mise en œuvre… Nos recherches furent dans un premier temps très minces et nous ne savions pas exactement par ou commencer à chercher mais par la suite

titres négociables. Le mécanisme de titrisation permet aux banques de limiter leurs pertes. Les risques associés à ce mécanisme sont beaucoup plus élevés pour l’investisseur 5-On peut imputer la seule responsabilité de la crise économique de 2008 aux banques, puisque cette crise résulte différents facteurs. Dans un premier temps cette crise peut explique du fait du ralentissement de la croissance économique (baisse de pouvoir d’achat des ménages) qui se voient obliger d’avoir recours à un

Inde, Chine). Cette émergence doit-elle inquiéter les pays du nord ? I) Une émergence pertinente pour les entités économiques individuelles a) Les pays émergent sont aujourd’hui le moteur de la croissance mondiale - La crise économique de 2008 n’a quasiment eu aucun impact sur les économies des pays émergents. Ceux-ci sont venus à la rescousse des pays occidentaux les plus atteints. - Contribution des pays émergents a hauteur de 65% dans le processus de croissance mondiale. - Développement