Bibracte

Vercingétorix, les Gaulois coalisés décidentde brûler leurs agglomérations, urbes, précise César : les Bituriges en incendient plus de 20 enun seul jour et sollicitent le droit d'épargner la plus belle d'entre elles, Avaricum (César, BG,VII, 15) ; "Bibracte, oppidum qui jouit chez les Héduens d'une très grosse influence" (César, BG,VII, 55) ; "de beaucoup l'oppidum le plus grand et le plus riche des Héduens" (César, BG, I,23) ; "Vesontio, l'oppidum le plus grand des Séquanes" (César, BG, I, 38);

IIème Age du Fer ou La Tène (-450 à -30) Les échanges se font de plus en plus, si bien qu’une monnaie se développe en Gaule. Des sanctuaires sont entourés de palissades et forment ce que César nommera oppidum, les noms célèbres comme Gergovie ou Bibracte sont aujourd’hui connus de par son témoignage dans « La Guerre des Gaules » racontant les étapes de la conquête avec une étude ethnologique plus ou moins objective où il répertorie différent nom de lieux et de tributs gauloises. Les fermes et les

pourrait nous permettre de répondre par l'affirmative. Pourtant, ces oppida ne ressemblent pas aux villas romaines. La question n'est donc pas encore tranchée. Les oppida occupent des surfaces considérables: Reims avec 90ha, Chartres avec 170 ha et Bibracte 200ha. Au cours de la première moitié du IIe siècle avant J.C, une évolution est perceptible par la construction d'oppida selon un plan régulier et par la formation d'un espace public. Parfois, les sites sont éphémères comme Condé-sur-Suippe, chez

L'antiquité – La romanisation de la Gaule pour sauver ses alliés. Cette étape est le début de la Guerre des Gaules. Fiche 2 L'offensive de 58 av. JC. (César sauve la Gaule des Germains : 1ère bataille du Rhin) Défaite des Helvètes près de Bibracte, retour dans leur pays. Des cités Gauloises requièrent et obtiennent l'aide de César contre Arioviste (chef des Germains). César s'installe à Besançon, chez les Séquanes. Négociations ratées, puis victoire sur les germains (qui devront ensuite repasser

sensiblement pas différentes de celles des villes.La ville gauloise est caractérisée par ses fortifications : c'est un oppidum. Généralement, les remparts étaient antérieurs à la ville, servant de refuges en cas d'agression : les oppida de Gergovie, Bibracte et Alésia apparaissent comme d'anciens sites préhistoriques occupés uniquement en cas d'alerte. Les premiers habitants à s'être installés durablement dans ces places fortes sont sûrement des artisans, soucieux de mettre leurs installations à l'abri

un des premiers EPCC créés par la ville de Rouen en partenariat avec la région Haute-Normandie et l’Etat concerne la gestion de l’Opéra de Rouen/Haute Normandie. Il existe des EPCC à caractère patrimonial comme l’EPCC di Pont-du-Gard et l’EPCC « Bibracte Mont Beuvray ». L’EPCC « Chemins du patrimoine en Finistère » réunit des sites patrimoniaux répartis sur le département et des structures de spectacle vivant. L’EPCC d’Angers, créé en 2004, est constitué à la fois d’une scène dramatique et d’un

place de l’imaginaire pour le visiteur au sein des musées. Une odyssée gauloise" où comment l’imaginaire archaïque rencontre celui du visiteur à travers une scénographie numérique capable de booster l’image.  En 2009, le musée de Lattes et de Bibracte s’associèrent à Stéphane Verger, professeur à l'Ecole pratique des Htes Etudes, pour élaborer une exposition temporaire sur les premiers contacts entre Grecs et Gaulois, fin 7es avt J.-C. Pour rendre ce thème plus vivant tout en facilitant sa compréhension

qui voulaient quitter leurs montagnes pour s’établir près de l’océan, migration qui gênait les tribus concernées par leur passage. À la demande de ces dernières, César rejeta les Helvètes en Suisse, écrasant leurs guerriers à la bataille de Bibracte. Pour continuer, César fit semblant d’assumer le rôle de protecteur des Gaulois contre les invasions germaniques. Grands et blonds, les Germains ressemblaient aux Gaulois, mais en plus primitifs ; piètres agriculteurs, ils se déplaçaient souvent

— Le lendemain, comme il ne restait plus que deux jours jusqu’au moment où il faudrait distribuer du blé à l’armée, et qu’on n’était qu’à dix-huit mille pas de Bibracte, de beaucoup la plus grande et la plus riche ville des Éduens, il jugea qu’il fallait pourvoir à l’approvisionnement, laissa là les helvètes et se dirigea vers Bibracte 24. Des transfuges de Lucius Émilius, décurion de la cavalerie Gauloise, en avertissent l’ennemi. Les helvètes, attribuant à la crainte la retraite des Romains, d’autant

Helvètes qui voulaient quitter leurs montagnes pour s’établir près de l’océan, migration qui gênait les tribus concernées par leur passage. À la demande de ces dernières, César rejeta les Helvètes en Suisse, écrasant leurs guerriers à la bataille de Bibracte. Pour continuer, César fit semblant d’assumer le rôle de protecteur des Gaulois contre les invasions germaniques. Grands et blonds, les Germains ressemblaient aux Gaulois, mais en plus primitifs ; piètres agriculteurs, ils se déplaçaient souvent