Bidonville

références à la Cité grecque politiquement et socialement très élaborée, mais plutôt unbidonville, une non-ville à la marge d’une vraie ville (Tanger), ironie de la Cité. C’est une description avec une métaphore où la Cité est un archétype de tout bidonville dont les habitants n’ont aucunavenir, n’offre rien sinon une attente, celui d’une vie meilleure qui se refuse aux pauvres des pays de Sud. 2-L’absence de liens sociaux et de vie véritable Le fait que les groupes soientprésents de manière énumérative

Les bidonvilles de Nanterre Quelques dates 1950 : Besoin de main-d'oeuvre pour reconstruire le pays. 1953 : Premier bidonville à Nanterre. 1960/65 : Les bidonvilles sont à leur maximum (Nanterre 14 000). 1972 : Derniers bidonvilles de Nanterre 1961/62 : Construction des cités de transit 1985 : Démolition de la dernière cité de transit (les Marguerites 250 logements) Nanterre est une ville de la périphérie parisienne de plus de 80 000 habitants. La situation dans la période

au détriment des espaces cultivés, mais aussi une très forte régression dans les capacités d’autonomie alimentaire de ces populations urbaines. Port-auPrince, la capitale d’Haïti, où « au moins les deux tiers de sa population résident dans les bidonvilles se retrouvant un peu partout dans l'espace métropolitain » (CRDI, 2004), n’échappe pas à cette réalité. En effet, à la fin des années 90, la ville de Port-au-Prince s’étend sur 11 000 hectares pour 2 000 000 d’habitants, et atteint 3 600 000

Département de Sociologie FAS 1901-B- Université de Montréal Professeur: Jamal-Eddine TADLAOUI ------------------------------------------------- Les Bidonvilles : Un phénomène dévastateur! Trimestre d'automne 2011: Plan de rédaction et bibliographie Nom de l’étudiant : Shirley S. J. Granillo Plan proposé Contexte L'exode rural reflète de plus en plus la situation d’évolution des villes, dans un monde où la culture de la terre est difficile et ardu. Les changements climatiques

l’échelle de Richter. La ville de Port au Prince à subie beaucoup de dégâts matériels ainsi que des dégâts humains : - Les dégâts matériels sont en parti dus à un milieu de vie très précaire de la population ; 300000 personnes vivent dans un immense bidonville appelé « Cité Soleil ». Leur habitat fait de bois et de taule est très peu solide, c’est pour cela que lors des secousses sismiques, ils ont été les premiers à s’écrouler faisant beaucoup de victimes. Egalement, on peut se demander s’il ne

loisirs *Tout cela est assure dans les villes. III- Problemes de l'exode et politique de changement. Avec l'urbanisation les villes s'ettendent jusqu'a devenir des megapoles et on ne pourra plus les gerer : - Des ceintures de pauvretes - Des bidonvilles sans infrastructures : habitats marginal ou la misere est concentree - Des enfants non scolarises - Sujet a la delinquance -Augementation de la violence et des delits (infractions a la loi)proportionnelle a la taille des villes -La misere

Myriam parce que Pedro se refuse a toucher l'argent qui lui vient de ses parents et il vit comme les pauvres dont il s'occupe. Ce qui me blesse le plus c'est le silence de Julio. Dès que Myriam et Pedro sont partis pour leurs forêts et leurs bidonvilles latino-américains, a cessé de parler d'eux et ne m'a jamais demandé comment ni où ils sont. Et si je n'ai jamais bien su quelle relation avait été la leur, ça a probablement été suffisant pour que Pedro la considérât justifiée et initiât un bref

conséquence d’une quelconque surpopulation ou d’une terre peu nourricière. Elle est en premier lieu le produit de la pauvreté :600 millions de paysans aux parcelles de terres insuffisantes, victimes de la baisse des prix agricoles, habitants incatifs des bidonvilles, en sont les premières victimes. La question essentielle aujourd’hui est donc bien celle de l’accès à l’alimentation. 2) Famines et aide alimentaire Au XX s, plus de 100 millions de personnes sont mortes lors de famines particulièrement

immobilière chassent les plus modestes des centres vers la périphérie (même si la pauvreté n’est pas absente des centres) De plus en plus de quartiers sont cloisonnés en fonction de l’origine sociale ou ethnique de leurs habitants. Dans le sud, les bidonvilles s’étendent. 3) La croissance des mobilités La ville est d’abord l’espace de l’automobile dans le Nord (plus de 85% des déplacements à Los Angeles mais des nuances à apporter car Vienne et Madrid : 50% des déplacements ne sont pas motorisés)

développement. Sur la base de la particularité du statut foncier, des matériaux de construction utilisés, de l’organisation du tissu urbain et du processus de production, on peut distinguer plusieurs formes d’habitat insalubre : • les bidonvilles Les bidonvilles constituent la forme la plus visible dans le tissu urbain, ils regroupent une diversité des situations, des contextes et des configurations depuis le “spontané” jusqu’à l’organisé sur des trames d’accueil. Ils se caractérisent globalement