Bidonville

Mike Davis Le pire des mondes possibles De l’explosion urbaine au bidonville global Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Mailhos Ouvrage traduit avec le concours du Centre national du livre Ouvrage initialement publié sous le titre Planet of Slums par les éditions Verso, en 2006. ISBN 10 : 2-7071-4915-2 ISBN 13 : 978-2-7071-4915-2 En application des articles L. 122-10 à L. 122-12 du code de la propriété intellectuelle, toute reproduction à usage collectif par photocopie, intégralement

travers ce livre, l’auteur a voulu nous illustrer la pauvreté, la misère et les conditions de vie difficiles des Bidonvilles de Calcutta. Et pour cause : Malgré que l’Inde soit un pays émergent dans les pays du Sud avec un certain potentiel de richesse, il reste tout de même faible par ses conflits raciaux, politiques et religieux. Par exemple, on apprend que la Cité de la Joie, le bidonville détenait une des densités de population les plus fortes de la planète avec 130 milles habitants par kilomètres

équipements, les infrastructures et les transports de la ville. La moitié de la population de Bombay vit dans un bidonville: Exemple : Celui de Dharavi, le deuxième plus peuplé d'Asie, compterait entre 700 000 et plus d'1 million d'habitants[29]. 27 577 crimes ont été relevés en 2004, contre 30 991 en 2001, une baisse de 11%. En 2007 Dharavi constituait le plus grand bidonville d'Asie, avec 600 000 habitants sur 223 hectares d'anciens marécages. Composé d'un réseau complexe de

des habitations pendant la guerre. Des constructions provisoires sont mises au point. Dans les années 1950 la France voit se développer des bidonvilles, aussi le logement devient une priorité nationale. Durant les « trente glorieuses » un grand nombre de logements sociaux vont être construits. En 1964, une première loi est votée pour éradiquer ces bidonvilles. Au milieu des années 1970 on constate une importante dégradation matérielle et sociale de ces ensembles collectifs. Des initiatives seront

comme le bidonville de Dharavi, la population vit avec moins de 2 euros par jour en moyenne. Exercice n°3 Un espace urbain partagé • Une ville à deux visages L'espace urbanisé à Mumbai présente un double visage. Le long des grands axes de communication, routiers et ferroviaires, on trouve d'importantes zones industrielles. Les quartiers aisés occupent les secteurs centraux et des zones littorales privilégiées. Dans les espaces interstitiels et sur les marges, on trouve les bidonvilles. Certains

jeunes , logements mieux adaptés , etc... De plus , la pauvreté engendre souvent un surpeuplement. Ce phénomène accentue les inégalités, ce qui pousse aux révoltes et incite à la criminalité et la délinquance . La formation de bidonvilles et de favelas est favorisée dans ces zones pauvres, notamment à Rio où ont été enregistré 4700 morts violentes en 2010 . Le taux d’homicide y est 30 fois supérieur à celui de France où la population est généralement mieux répartie et le territoire

matière de résorption de l'habitat insalubre, du déficit en logements, de l'accroissement et de la diversification de l'offre en logements. Dans ce sens, on parle de création de villes nouvelles, d'aménagement de pôles urbains, d'éradication des bidonvilles, de réhabilitation du patrimoine dans les médinas, de confortement des constructions menaçant ruine, d'aménagement foncier et de construction de logements. La mission du groupe est d'autant plus compliquée que ce dernier est tenu de respecter les

creusé entre les niveaux de vie du peuple. On trouve d'un coté des Indiens fortunés et de l'autre ceux qui vivent dans une extrême pauvreté. En effet, on peut voir dans certaines villes, ou parfois même dans des métropoles, la cohabitation de bidonvilles (slums) étalé sur quelque hectares et des grandes demeures et des immeubles . Une grande différence c'est aussi installée entre les zones urbaines et rurale ; la pauvreté se concentre dans les zones rurales. Ces inégalités sociales ce retrouvent

les 10 premières années de sa vie dans un milieu social très pauvre avec son père « Bouzid », sa mère « Messaouda », sa sœur « zhora », son frère « Farid » et une vingtaine d’autres familles. Ils vivent dans la banlieue lyonnaise, dans un petit bidonville, appelé le « Chaâba ». Ce petit bout de terrain est consitué de baraques en planches et en tôles ondulées parmi lesquelles se trouve la maison du père d'Omar. La vie au Chaâba a des couleurs de misère: il n'y a ni électricité, ni eau courante, ni

d'eau dans les zones rurales, mais plus étonnement dans beaucoup de zones urbaines notamment à cause des bidonvilles, il semblerait que 1 milliard de personnes vivent dans des bidonvilles, ces personnes n'ont pas accès aux réseaux municipaux et donc doivent acheter leur eau mais les prix qu'ils doivent payer sont parfois jusqu'à 200 fois plus élevé que la normal ! Le problème c'est que les bidonvilles abritent souvent une population très dense et occupent une terre non adapté pour installer des services