Bidonville

avec une série de localisation spaciale (tous les termes juxtaposés), ce qui ancre le conte dans un récit très réaliste : une avenue réelle, … Que des lieux réels et une description très précise du lieu, des noms et des habitants. Le Toncain est le bidonville de Beausoleil, essentiellement habité par des immigrants itialiens très pauvres. Focalisation externe, et le narrateur semble vouloir gommer les marques de sa présence. C'est ce que semble indiquer le présentatif « c'était ». On ne sait pas de

minière (or, fer) et pour finir la 1ère puissance industrielle de l'Amérique Latine (sidérurgie, aviation). Des faiblesses — De fortes inégalités Dans les mégalopoles ainsi que métropoles on va constater la présence de bidonvilles. En Inde, 1 urbain sur 2 vit dans des bidonvilles. Il y a des millions de paysans sans terre dans les campagnes brésiliennes. Une inégalité de répartition des terres est présente là bas. L'Inde est également victime de la sous-nutrition, ce problème concerne ¼ de la population

les faibles de la classe. Je veux être dans les premières places du classement, comme les Français » (Begag 58). L’école n’est pas le seul endroit où Azouz sentit la honte. Le village maghrébin dans lequel Azouz habite en France est appelé un « bidonville, » a nom qui détient la honte tout seul. Le père d’Azouz, après avoir lu un article dans le journal sur son village, lui demande, * L’bidoufile ?...Qu’est-ce que c’est que ça, le bidoufile ? * C’est là, c’est le Chaâba, Abboué ! *

merveilleuse où chaque enfant peut s'identifier au personnage et egalement vouloir lui ressembler. Chaque personnage est plus ou moins marginal, chacun a sa manière mais tous finissent par s'élever socialement comme dans aladdin ou un voleur des bidonvilles devient un prince grâce à son mariage de même que dans les aristochats ou un chat de goutière devient un "aristochat" c'est a dire un chat aristocrate. Cependant les themes sont relativement les memes et reviennent souvent. La base de Disney est

| |°/ Richesse Mondiale |72°/ |27°/ | |Inégalitès ? |Ville avec un centre historique (UE) ou |Bidonvilles, quartiers delabrès | | |centre economique riche. | | | |

la mégapole. Exemple Séoul : 31 % pop. Corée du Sud et 40 % du PIB coréen • Les quartiers d ‘affaire dans ces mégapoles du Sud renforcent la ségrégation socio-spatiale : juxtaposition des quartiers d’affaire avec les bidonvilles. A Bombay, 65 % des habitants vivent dans les bidonvilles. • Il existe aussi des poches de pauvreté dans les mégapoles du Nord. 3-4- mais ils ont aussi des conséquences positives. • Les mégapoles redistribuent aussi les richesses. Beaucoup d’urbains reversent une partie de

impressionnant se situe dans les mégalopoles du sud ou 30% à 60% des populations vivent dans des bidonvilles souvent installer dans des zones a risques. Les sous équipements ( absence de transports collectif, insalubrité, pollution ) sont dominant. Cette situation explosive des milieux urbains a pour cause un exode rurale effréné, qui apporte à ces villes plus de quarante millions de pauvres qui se fixe dans des bidonvilles. Les pays du Nords a un degré moindre, connaissent une réalité de dégradation urbaine

agrandit du coup la ville ; la transition démographique, demeure du même coup, inachevée. La précarité domine, les bidonvilles se développent, et on sait, malgré les difficultés de recensement, qu’ 1/3 des habitants de la planètes y vivraient ; la difficulté des unions dans un environnement économique et social aussi compliqué en découle logiquement... Cependant, on peut voir des bidonvilles fonctionner sans anarchie et devenir de véritables « villes » dans la ville (Dharavi à Bombay), mais l’idée dominante

les métiers les plus pénibles sans bénéficier des lois sociales. Ils vivent dans des logements vétustes ou dans des bidonvilles qui se trouvent dans les périphéries des grandes villes comme Marseille ou Paris. Puis, des politiques sociales sont mises en œuvre dans les années 1950, pour reloger les immigrés dans des foyers ou des cités en souhaitant ainsi faire disparaître les bidonvilles. Au début des années 1970, le racisme et les violences envers les immigrés augmentent brutalement. L’Etat met

devenir une formidable richesse pour le tourisme, et une source de revenus supplémentaires pour les populations locales. Rodrigo Baggio, fondateur du CDI, un réseau d’écoles d’informatique dans les bidonvilles Réduire la fracture numérique de la société brésilienne -Permettre aux enfants des bidonvilles de se connecter et ainsi d’améliorer leur sort grâce à l’outil informatique. -il est un mélange d’entrepreneur et de militant, de cadre dirigeant performant et de volontaire bénévole. - il lutte