Bilboquet

Forestier n’est pas ici. Alors on le fit passer par un long corridor qui l’amena dans une grande salle où quatre messieurs écrivaient autour d’une large table verte. Forestier, debout devant la cheminée, fumait 95 une cigarette en jouant au bilboquet. Il était très adroit à ce jeu et piquait à tous coups la bille énorme en buis jaune sur la petite pointe de bois. Il comptait : « Vingt-deux, vingt-trois, vingtquatre, vingt-cinq. Duroy prononça : « Vingt-six. » Et son ami leva les yeux, sans arrêter

Forestier n'est pas ici. " Alors on le fit passer par un long corridor qui l'amena dans une grande salle où quatre messieurs écrivaient autour d'une large table verte. Forestier, debout devant la cheminée, fumait une cigarette en jouant au bilboquet. Il était très adroit à ce jeu et piquait à tous coups la bille énorme en buis jaune sur la petite pointe de bois. Il comptait : " Vingt-deux, -- vingt-trois, -- vingt-quatre, -- vingt-cinq. " Duroy prononça : " Vingt-six. " Et son ami leva

ami M. Forestier n'est pas ici." Alors on le fit passer par un long corridor qui l'amena dans une grande salle où quatre messieurs écrivaient autour d'une large table verte. Forestier, debout devant la cheminée, fumait une cigarette en jouant au bilboquet. Il était très adroit à ce jeu et piquait à tous coups la bille énorme en buis jaune sur la petite pointe de bois. Il comptait: "Vingt-deux, - vingt-trois, - vingt-quatre, vingt-cinq." Duroy prononça: "Vingt-six." Et son ami leva les yeux, sans arrêter

ami M. Forestier n'est pas ici." Alors on le fit passer par un long corridor qui l'amena dans une grande salle où quatre messieurs écrivaient autour d'une large table verte. Forestier, debout devant la cheminée, fumait une cigarette en jouant au bilboquet. Il était très adroit à ce jeu et piquait à tous coups la bille énorme en buis jaune sur la petite pointe de bois. Il comptait: "Vingtdeux, - vingt-trois, - vingt-quatre, - vingt-cinq." Duroy prononça: "Vingt-six." Et son ami leva les yeux, sans

ami M. Forestier n’est pas ici. Alors on le fit passer par un long corridor qui l’amena dans une grande salle où quatre messieurs écrivaient autour d’une large table verte. Forestier, debout devant la cheminée, fumait une cigarette en jouant au bilboquet. Il était très adroit à ce jeu et piquait à tous coups la bille énorme en buis jaune 78 sur la petite pointe de bois. Il comptait : « Vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq. Duroy prononça : « Vingt-six. » Et son ami leva les yeux

M. Forestier n’est pas ici. Alors on le fit passer par un long corridor qui l’amena dans une grande salle où quatre messieurs écrivaient autour d’une large table verte. Forestier, debout devant la cheminée, fumait 95 une cigarette en jouant au bilboquet. Il était très adroit à ce jeu et piquait à tous coups la bille énorme en buis jaune sur la petite pointe de bois. Il comptait : « Vingt-deux, vingt-trois, vingtquatre, vingt-cinq. Duroy prononça : « Vingt-six. » Et son ami leva les yeux, sans arrêter

offrir aux enfants. la « moralité » | | |mettant en garde contre les loups « doucereux », qui poursuivent les jeunes filles jusque dans les | | |« ruelles » de leur lit... Bilboquet,  - 2000 | | |Le petit chaperon rouge J. & W.Grimm, ill. S. Janssen - SEUIL 2002 | |

courant dans la tragedie,les pers doivent répondre à des codes d'honneur LES BONNES (TEXTE 3) intro: .fait divers initial/scène entre maitre et valet==>comédie(Moliere)/mort evoqué==>tragedie .scène centrale entre les bonnes et Madame au Bilboquet;Claire va tenter de donner le tilleul empoisonné à Madame Cmt la reprise d'une scène traditionnelle de la comedie liée à la relation matre/valet prend ici une tournure tragique? I.La reprise du couple trad maitre/valet en lien avec les thèmes de

gagnait. On jouait aussi à la passe à dix : il fallait avoir plus de dix points en lançant trois dés. Les nobles entreprenaient aussi des parties d’échecs, de dames et d’autres jeux de société. A la fin du seizième siècle, Henri III lance la mode du bilboquet. A cette époque, tout le monde aime danser que ce soit les nobles, les bourgeois ou les paysans. La danse la plus répandue était la gaillarde qui se dansait au son des hautbois. Il existait d’autres danses, mais elles exigeaient plus de dextérité

salle d’attente, l’air serieux ¸ ´ des garcons de bureau, « la mise en scene [est] parfaite pour ¸ ` en imposer aux visiteurs » (p. 88, l. 511). Passant dans la salle de redaction, Duroy decouvre l’envers du decor : les ´ ´ ´ journalistes jouent au bilboquet et la conference qui accapare ´ Walter consiste en « une partie d’ecarte ». Fausses inter´ ´ views, echos tronques, informations erronees... peu importe ´ ´ ´ la verite pourvu que tout cela soit vraisemblable. Des lors, ´ ´ ` le plus grand danger