Blaise Cendrars

Plus que par l’intelligence, cette compréhension passe par le cœur. Il y a souvent quelque chose d’incompréhensible dans la relation que nous entretenons avec un texte, et cela est particulièrement vrai avec la poésie. Ainsi le poème de Blaise Cendrars La nuit monte permet d’illustrer simplement ce que nous pouvons observer dans la nature. Ce poème est en fait la simple description d’un coucher de soleil sur la mer, mais au travers de mots judicieusement choisis, il sublime un phénomène du monde

la cruauté humaine, la guerre et les conditions de vie des soldats, mais aussi « les profondeurs infernales de l’être humain ». -Deshumanisation des soldats « A l’ouest rien de nouveau » par Erich Maria Remarque en 1929 « J’ai tué » par Blaise Cendrars en 1918 Il semble que l’homme lancé dans la guerre devienne un animal : -Texte 1 : « C’est l’instinct de la bête qui s’éveille en nous » (l. 2 et 3), « nous sommes devenus des hommes-bêtes » (l. 7-8) -Texte 2 : « Nous sommes devenus des

cette idée de rupture leur principal sujet de questionnement, et les relations que ces courants artistiques établirent entre eux (« peinture et musique », avec Kandinsky et Schönberg par exemple, ou « peinture et poésie », avec Sonia Delaunay et Blaise Cendrars).  Afin de rendre très concrète l’étude de cette thématique « Art, Ruptures etContinuités », nous nous appuierons sur l’analyse d’un certain nombre d’œuvres dans chacun des domaines abordés (par exemple, en peinture, les premières toiles abstraites

Dans Bourlinguer, Blaise Cendrars écrit : « Je tiens l’argent en mépris. La vie est ailleurs. Le tien, le mien, le tien, jamais le sien, sinon pour l’en dépouiller ! Je m’étonne que les gens se passionnent pour ce truc-là et s’empoisonnent l’existence pour laisser ou toucher un héritage. » Pensez-vous, comme Cendrars, que le désir ou la possession d’argent fasse négliger la valeur véritable de l’existence ? _____________________________________________ L’argent, dont

L'AVIS DE RICOCHET Blaise Fortune vit dans le Caucase avec Gloria Bohême, sa mère d'adoption. Cette dernière l'aurait trouvé lors du déraillement d'un train, dans les bras de sa véritable génitrice, une Française qui n’a pas survécu. Lorsque la guerre éclate, Blaise et Gloria tentent de rejoindre la France. Seul Blaise y parviendra… On peut tenter de résumer ce riche roman avec deux thématiques et deux lignes directrices. Un premier axe d’actualité traite de l'exil pour fuir un pays en guerre

L'horizon tout entier s'enveloppe dans l'ombre, Et le soleil mourant, sur un ciel riche et sombre, Ferme les branches d'or de son rouge éventail. Marine après l'orage, clair de lune - Champeaux de la Boulaye Octave de (1827-1903) Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser est né le 1er septembre 1887 et est mort le 21 janvier 1961. Il a aussi utilisé les pseudonymes de Freddy Sausey, Jack Lee ou encore Diogène. Il a écrit des romans, des romans d’aventure, son autobiographie

de ses photographies se dessinent au contact d’intellectuels et artistes comme Fernand Léger qui était son maître à penser artistique pour le côté graphique, Robert Giraud qui lui fit découvrir le monde de la nuit, des forains et des Halles ; Blaise Cendrars, avec qui Doisneau partagea son amour de la banlieue et Jacques Prévert qui bouleversa sa vision de la rue, imprégnée de magie et de fantaisie, dont il multipliera les portraits. Doisneau est un passant patient qui conserve une certaine distance

s’inspirent des voyages, ancrés géographiquement dans la réalité : au xvie siècle, Du Bellay nourrit ses Regrets de son séjour en Italie et de la déception qu’il lui a occasionnée. Rimbaud raconte ses fugues à la belle étoile dans « Ma Bohême ». Blaise Cendrars dans sa « Prose du transsibérien » évoque « Moscou », le « Kremlin » et la « Place Rouge ». • Mais le poète revient le plus souvent sur les expériences plus douloureuses de sa vie : Orphée vient de perdre Eurydice lorsqu’il prend sa lyre pour

utilise des moyens artistiques particuliers comme les calligrammes en ce qui concerne le poème La colombe poignardée et le jet d’eau de Guillaume Apollinaire. Il donne l’impression de vivre doublement le poème : visuellement et psychologiquement. Blaise Cendrars s’est aussi associé à Mme Delaunay pour mettre en œuvre son poème La prose du transsibérien. Celle-ci a peint à côté du poème ce qui attire le lecteur et donne un aspect plus léger à cette œuvre qui est relativement longue. (La poésie lyrique)

un passage ou l’auteur nous donnes son ressenti sur la découverte de « l’ame noire ». L’extrait 2 est l’extrait d’un romamn écrit par Ryszard Rapuscisnki qui raconte sa découverte de la population Africaine. Le poème en fin de corpus est de Blaise Cendrars qui parle des femmes africaines en les décrivant. Les trois extraits parlent de l’afrique, de la population, la culture et donne leurs ressentis. Question 2 L’image des Africains que donnent les deux textes est celle de l’indigène, un peuple