Bleu nuit

un plasticien français né en 1955 à Paris. Il obtient en 1978 le diplôme national supérieur d’expression plastique à l’école des Beaux-Arts de Quimper. Utilisant la lumière comme d’autres se servent de la terre ou de la peinture, il choisit lui la nuit comme terrain d’expérimentation, lieu du sensible. Il a depuis élaboré plus d’une centaine de projets, détournant des objets de haute technologie ou intervenant sur des ouvrages d’art ou d’architectures mythiques. Les plus grands architectes ont eu

terrasse : il s’agit d’un arbre mort sur la branche unique duquel est suspendue une quatrième montre, également molle. A l’arrière plan, sur la gauche, un rectangle bleu, dont on ne voit que le côté droit, pourrait représenter la surface d’une piscine. A droite et au fond du tableau, des rochers descendent vers la mer sous un ciel bleu et blanc. Les couleurs brunes du sol et du parallélépipède, les couleurs froides des montres molles, le gris de la tête et de l’arbre mort créent une atmosphère

terre européenne, une gare d’extrémité un peu mortifiée, une gare qui donne accès à toutes les choses qui n’ont plus rien à voir avec la terre, ses routes conquises par les automobiles et ses voies ferrées qui laissent des traces brillantes dans la nuit. L’Europe de l’Est à l’Ouest aboutit à cette gare discrète, calme, créée pour un seul train, un convoi peu peuplé, mais toujours habité par des figures attachantes. On ne vient pas à Brest pour jouir de la vie, montrer l’élégance d’une robe ou refaire

français né le 25 juin 1924 à Cachan dans le Val de Marne où il y travaille encore aujourd’hui à presque 86 ans. J’ai remarqué tout de suite que la couleur dominante de ce tableau est le bleu. D’ailleurs l’ensemble des tableaux peints par le même artiste vers les années 1970 sont principalement réalisés en bleu. Jacques MONORY a commencé la série des « Meurtres » en 1968, dont fait partie « Meurtre n° 10 » que j’ai choisi de présenter. 1968 a été l’année de émeutes et des grèves (le célèbre Mai

qu’il l’emmènera dans un an. Ti-Chin sait que Mondo s’en ira un jour et elle est triste. Un an a passé, c’est le début de l’été. Ce jour-là, Mondo cherche Dadi partout sans le trouver. Quand il apprend que la « camionnette grise » l’a emmené cette nuit, il a un malaise en pleine rue. Les gendarmes l’emmènent. Ti-Chin, sans nouvelles de l’enfant, va au commissariat. Le commissaire lui apprend que « cet enfant sauvage » a « été dirigé » vers l’Assistance Publique. Elle est effondrée. Le lendemain,

aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor HUGO (1802-1885) Du haut de la muraille de Paris à la nuit tombante L'Occident était blanc, l'Orient était noir ; Comme si quelque bras sorti des ossuaires Dressait

la couleur de vie : Optimisme, joie de vivre, etc. Le bleu est la couleur du volume et de la distance. ) : bleu, rouge, vert et jaune ; et ne correspondant pas à la réalité comme par exemple l’arbre rouge. - Simplification des formes ( // art africain ) -Aplatissement de l'espace : couleurs et aplats. -Coups de Pinceaux visibles, voire même exagérés pour traduire les émotions -Contours marqués et appuyés (Par un trait noir ou bleu nuit) Il faut savoir que les fauves ont une méthode de travail

dure de sept balles de foin. Je ne te dis pas alors et à ce propos le foin que cela fit ! S’il s’enfuit ensuite vers la gare de l’est, ou celle du nord ? Qu’est ce que j’en sais moi ! Oui, une 403 bleu nuit, immatriculée 9 ET 75, te dis je ! Et celle de mon père ? Une 7chevaux de 1962, tout aussi bleu nuit que celle de tonton, immatriculée 162 FR 21. Si je m’en souviens ? Pardi ! C’était hier, ces banquettes à l’odeur plutôt écoeurante, mélange de matière plastique ancienne et de tissu épais aux fibres

La vision des couleurs La couleur des objets (II) L'aspect coloré d'un objet ou d'une lumière est défini par trois paramètres physiques : - la teinte : ou tonalité en psychométrie, c'est la longueur d'onde de la couleur pure la plus proche (bleu, vert, rouge, ...) - la pureté : ou saturation en psychométrie, c'est l'excitation ou sensation colorée (pâle, claire, saturée, ...) - la luminance : ou clarté en psychométrie, c'est la luminosité ou quantité d'énergie réfléchie par la couleur (gamme

le savant et peintre Carl Gustav Carus qui affirme que l'homme contemplant l'écrasante puissance du paysage naturel n'effectue pas seulement une démarche esthétique mais également mystique… 1er plan : Un homme, un voyageur aux habits bleu nuit aux cheveux volants représenté de dos , debout , s’appuyant sur une cane , sur un plus rocher que l’on boit poindre à l’horizon et qui observe . Ces deux figures forment un tas sombre, qui contraste avec ce qui s’étend devant eux. Ce contracte de