Blues électrique

nous fait part de bruits de ce chantier, et celle-ci insiste sur la difficulté du travail. Parfois ces sons sont faits pour marquer une rupture avec la narration, par exemple au moment où Pasquier arrive on entend le bruit de la pelle qui retombe. Le blues, la guitare et les voix entraînent la nostalgie et la mélancolie. La caravane isolée sur un chantier dans un paysage minéral à l’écart de la ville, dans un paysage vide d’Hommes comme l’ouest du western, tout est fait pour que le spectateur ressente

lynchages ont déjà été perpétrés cette année-là (1939). Un sondage de l’époque révèle que six Blancs sur dix étaient favorables à cette pratique. La chanson Strange Fruit se démarque du répertoire habituel de Billie Holiday. Chanteuse de jazz et de blues déjà célèbre aux États-Unis, elle acquiert une notoriété internationale grâce à Strange Fruit. L’image publique de Billie Holiday devient indissociable du morceau : la chanteuse, réputée pour sa capacité à séduire et à émouvoir le public, prouve ici

jusqu'à ce que les mots se dessèchent Alors mets-le dans tous les journaux, Je n'ai pas peur Ils peuvent tout lire Tout lire oh At night we're waking up the neighbours While we sing away the blues Making sure that we remember yeah Cause we all matter too

DES ARTS « Arts, espace, temps. » La ville peut-elle être un espace de création artistique ? La première œuvre que je vais vous présenté est une sculpture de Jaume Plensa appelé Istanbul blues. Née à Barcelone en 1955, Cet artiste catalan s'oriente plus tard dans la sculpture. Istanbul blues, est une silhouette de 6m50 en acier blanc inoxydable qui trouve sa place à Paris, place Vendôme.Son travail est un mélange d'abstrait et de figuratif. Terminé en 2011, la silhouette agenouillée donne

transféraient les rythmes de leurs origines africaines sur des instruments de fortune, essentiellement des percussions et instruments à cordes rudimentaires, et bien sur chantaient des chants de travail d’où sont nées peu à peu les formes codifiées du « BLUES ». Pour ce qui est du style Nouvelle Orléans qui nous intéresse ici, l’imprégnation espagnole et française de la Louisianne et donc de la Nouvelle Orléans a sans doute joué un grand rôle (rappelons que cet état n’a été vendu aux USA qu’en 1803).

mélange de la culture africaine et européenne. Les caractères clés du jazz Le jazz est un mélange de courants musicaux très divers. Au cours de son évolution, il a su intégrer de nombreuses influences et se prêter à de nombreux métissages, comme le blues, le rock, la musique latine, le hard rock, et ainsi de suite. Du point de vue de la technique musicale, sa richesse et sa complexité sont aujourd'hui telles qu'il est difficile de décrire précisément ce qui le caractérise. Le jazz comprend une grande

Afrique du Sud. Tout cela peut être un autre paradoxe, puisque toute cette souffrance fait naître des événements, des talents. Comme la musique, le blues par exemple qui naît des champs de cotons particulièrement. Ou les gens, chantent pour oublier le travail difficile, la tristesse, des rêves utopiques. Le blues influence toute la musique avec Robert Johnson, Alberta Hunter, Johnny Winter etc. Il y a aussi le mouvement hippies qui prône la paix dans le monde, manifestant

rebutante. Aujourd’hui , les musiciens de jazz sont des gens en colère. Un auteur nègre , John William écrit « Le jazz est notre histoire.Le meilleur jazz vient toujours du blues.Construit sur le blues , construit avec une telle vitesse et une telle complexité que nous ne savons même pas qu’il vient tout droit du blues. Il est notre agressivité, notre maladie , notre haine de nous-mêmes, mais aussi notre volonté de vivre en dépit de tout. Il exprime le rebelle qu’il y a en nous »

important dans le jazz. Le jazz même nait du « live » et ne peut être séparé de son contexte. C’est ce que Sartre décrit comme le « paradigme de la banane »[1]. 2/ Emergence Le jazz est né au début du XXe siècle aux Etats Unis du mélange issu du blues, du ragtime et de la musique européenne. Il est à la base joué par les afro-américain mais se popularise vite dans toute l’Amérique et en Europe. Il est très populaire des années 1920 au années 1950. L’origine du mot jazz reste assez mystérieuse

que les autres ne jouent pas. Il se familiarise de + en + avec son saxo. Il travaille un morceau qui va devenir le sien "Cherokee" (1942). Ecoute de "Hootu Blues" (1941) : Tonalité en Mib, l'orchestre joue à l'unisson sans arrangement, blues traditionnel. Le chorus de Charlie PARKER. Sonorité sèche, élégante, il refuse l'effet blues dans sa sonorité. Il entre de la façon la + classique qu'il soit. Charlie PARKER s'ennuie dans les Big Band. Il va se retrouver dans la 52e rue à Manathan à faire