Bois-le-Duc

déployée dans la seconde partie du Moyen-âge en Europe Occidentale. Les plus nombreuses ornent les portails des églises, ensuite un art funéraire se développe avec un travail de plus en plus précis, et s’achève aux XVe avec des œuvres comme le tombeau du Duc de Bourgogne. Au fil du temps la sculpture gothique va se spécialiser dans le mobilier et les objets somptuaires. Les bas et hauts reliefs sont en harmonie avec l’architecture tout en la complétant. Suite à l’art roman, la sculpture gothique amène

divinisé, sa glorification. À partir d'Auguste , le bûcher funéraire impérial devient une véritable architecture. Les descriptions et les revers des médailles commémoratives permettent d'en restituer les grandes lignes. Il s'agissait d'une pyramide en bois à étages, où les ordres superposés encadraient des niches contenant des statues. Des festons de draperie et une décoration végétale complétaient l'ornementation. Le tout était surmonté d'un bige ou d'un quadrige symbolisant l'apothéose du nouveau dieu

romans : Milady de Winter (Les trois mousquetaires) de Alexandre Dumas, le professeur Moriarty (Sherlock Holmes) de Sir Arthur Conan Doyle, Vautrin (La Comédie humaine) de Honoré de Balzac Dans les contes : Sorcières (Blanche-Neige, La Belle aux bois dormants), le grand méchant loup (Les 3 petits cochons, Le petit chaperon rouge) Le professeur Moriarty : il est l'un des premiers méchants de la littérature. Avec le Colonel Sebastian Moran, il est l'ennemi le plus redouté de Sherlock Holmes

à de nombreuses reprises : « Et sabez quoy, fillotz ? Le mau de pipe vous byre ! » (ch. XI ; p. 125) ; « à Dieu seas Rome » (ch. XXXIII ; p. 252). Enfin, Rabelais n'hésite pas à user de dictons populaires : « boire à tire-larigot » (ch. VII) ; « Je bois à tous abreuvoirs, comme un cheval de juge promoteur ! » (ch. XLI ; p. 295). En définitive, l'écrivain et moine a enrichi la langue française par des mots actualisés, empruntés à des langues anciennes ou contemporaines. Seulement, faute de telles

les révolutions, 1797). Il rentre en France pour contribuer à la fois à l’annonce du « mal du siècle » (Atala, 1801, et René, 1805) et à la restauration de l’ordre moral (Génie du christianisme, 1802). Il rompt avec Bonaparte après l’assassinat du duc d’Enghien et illustre sa conception de l’épopée chrétienne (Les Martyrs, 1809). Déçu par la Restauration (qui l’a fait ambassadeur à Londres et ministre des Affaires étrangères) mais légitimiste par fidélité, il groupe autour de lui la jeunesse romantique

paysans A. La seigneurie La seigneurie est le cadre habituel du travail de la terre au Moyen Age. La seigneurie est aux mains de seigneurs qui sont les propriétaires de la terre. Les seigneurs sont une élite puissante (aristocratie) laïque (comte, duc, etc.) ou ecclésiastique (a , évêque, etc.). Inférieurs, les paysans travaillent la terre. Cette paysannerie est elle-même hiérarchisée : les laboureurs, plus riches et libres sont supérieurs aux manouvriers, simples paysans, et aux serfs, paysans

carolingienne directement associée au remplacement l'aristocratie mérovingienne. Ces aristocrates sont associé au pouvoir et on essayent de les subordonner par la distributions des « honneurs ». ce sont des charges publics offert par le roi (comte, duc, vicomte, marquis) tout cela forme la militia regni . À coté des honneurs ont peut offrir aussi les bénéfices ( ou les bienfaits), c'est une charge, une terre ou un droit concédé à titre viager et révocable. Concrétisé par la cérémonie de recommandation

stages Initiation au métier. Découpage de métaux et de matières plastiques, martelage, soudure, pose de gouttières, mesures Qualités personnelles Adroit de mes mains, patient, motivé, esprit d’équipe Loisirs Bricolage : travail du bois et du métal Sport : football Références Monsieur Claude Sani, maître de stage Tél. 021 375 81 21 Monsieur Eric Ducommun, maître de travaux manuels Tél. 021 305 09 67 Copyright OCOSP EXEMPLE de curriculum vitae Yveline Chuard Née

conserver son palais archi-épiscopal et les constructions annexes environnantes datant de la même époque. Comme la plupart des grands édifices du gothique normand, la cathédrale est dotée d'une « tour-lanterne » sur la croisée du transept. La flèche en bois couverte en plomb de style Renaissance qui la couronnait fut détruite par un incendie allumé par la foudre en 1822. Elle est à présent surmontée d'une flèche en fonte, construite de 1825 à 1876 qui culmine à 151 mètres de hauteur. La cathédrale Notre-Dame

surnaturelle sur une barque, d'une vierge miraculeuse taillée dans le bois, Notre Dame à la Branche, qui d'abord protectrice de la ville d'Anvers et déposée dans la cathédrale, y avait été prise par l'anversoise Béatrice Soetkens, après que la Vierge lui fut apparue deux fois dans un songe où elle lui ordonnait de transporter cette statue sur un bateau qui la mena merveilleusement jusqu'à Bruxelles, où elle fut accueillie sur le quai par le duc de Brabant en personne et les arbalétriers qui avaient été prévenus