Bollywood

l'achat de la chaîne indienne d'Hungama TV auprès d'UTV pour 30 millions d'USD ainsi que l'achat de 14,9 % d'UTV Software Communications pour 15 millions, société qui produit des programmes de télévision, des films d'animation et des films de type Bollywood. Le 4 août 2006 ESPN obtientn pour 8 ans les droits de diffusions sur ESPN2 des 29 matchs annuels de la Ligue majeure de soccer, jusqu'en 2014. Le 22 novembre 2006, Disney signe un accord avec Comcast, ce dernier rachetant les 40% de E! Entertainment

acteurs et une équipe presque entièrement néo-zélandais. Les lieux du tournage sont aujourd'hui très fréquentés par les touristes. Beaucoup de productions non-néo-zélandaises ont également été filmées dans le pays, que ce soit pour Hollywood ou Bollywood. Les médias de Nouvelle-Zélande sont dominés par quelques entreprises, la plupart étrangères. Le Broadcasting Standards Authority et le New Zealand Press Council peuvent faire des enquêtes suite à des allégations de non-neutralité et d'inexactitude

on Safari), film britannique réalisé par Alan Birkinshaw, avec notamment Donald Pleasence ; De nombreux autres films se sont plus ou moins inspirés du scénario du roman sans pour autant en être des adaptations : 1965 : Gumnaam (en), film indien (Bollywood) réalisé par Raja Nawathe ; 1970 : L'Île de l'épouvante (5 bambole per la luna d'agosto), film italien réalisé par Mario Bava ; 1989 : La Réception, film d'horreur canadien réalisé par Robert Morin ; 2003 : Identity, film américain réalisé par James

premier exportateur mondial de services informatiques et accueille une grande partie des services d’après-vente des F.M.N - des pôles d’excellence diversifiés comme l’industrie pharmaceutique, la biotechnologie, l’industrie spatiale ou le cinéma de Bollywood Néanmoins, cette « Shining India » ne doit pas faire oublier l’ampleur des inégalités sociales : l’Inde rassemble encore près du tiers des pauvres de la planète vivant dans des bidonvilles. Ainsi, le développement reste incomplet avec un manque

est le plus vaste et il prend de plus en plus une place importante dans l’économie indienne. On distingue ainsi divers services indiens qui connaissent une forte croissance tels que les services offshore, l’assurance, ou l’industrie du cinéma « bollywood », mais nous allons nous concentrer ici sur trois principaux services à savoir : les services informatiques (« high tech »), le tourisme et les services financiers. a) Les Services financiers : Une description simple du secteur des services

promotion des produits du tabac. Bollywood, l’industrie cinématographique indienne, est une illustration concrète de la présence importante du tabagisme dans les films, lesquels sont orientés principalement vers les marchés moyen-orientaux, asiatiques et africains. Une étude de l’Organisation mondiale de la Santé a démontré, sur un échantillon de 395 films indiens tournés entre 1991 et 2002, la présence de scènes tabagiques dans 75 % d’entre eux (Tobacco and Bollywood. Rapport établi à l’intention de

niveau des médias de masse (plus que des films américains, impérialisme, acculturation...). Crainte de standardisation et d'uniformisation. Au final, les spécificités culturelles sont toujours là : productions régionales et très spécifiques (ex de Bollywood). Toujours avoir un PROPOS NUANCE dans les différentes analyses. Question de l'accessibilité aux techniques. Le réseau ne balaie pas tout le globe. → Qu'est ce que les gens font des médias? Réflexion sur les usages, les pratiques. La communication

recontextualisé localement et globalement par les groupes culturels, gardant leur particularisme. Il existe d’ailleurs des productions ou des créations culturelles qui font contrepoids à l’américanisation. Nous pouvons donner l’exemple de l’Europe ou de Bollywood et les films indiens. Si l’importation des biens culturels ou des flux globalisés a un impact sur les populations locales, chaque acteur local, selon ses caractéristiques religieuse, politique, ethnique et nationale personnalise et contextualise

consommation de produits occidentaux restent en partie limités (les flux de marchandises restent surtout des flux entre pays riches ; les classes moyennes restent minoritaires dans des PED inégalitaires) C résistances politiques et identitaires : Bollywood résiste à Hollywood car les valeurs du ciné indien reste forte ; des politiques protectionnistes, négociées dans le cadre de l’OMC, visent à préserver l ‘ « exception culturelle » (tel le combat des français pour sauvegarder une industrie cinématographique

ailleurs, la globalisation construit de nouvelles références culturelles internationales qui prennent le relais de la mass-culture américaine : culture manga japonaise en Asie et en Europe, influence nouvelle en Occident de l'esprit populaire indien de Bollywood... Fusion des genres. La série emblématique japonaise « Tokyo Love » en est, ainsi, à sa septième rediffusion dans toute l'Asie depuis 1997. Nous sommes donc à la recherche de nos racines, avec la volonté de faire ré-émerger des particularismes régionaux