Bonheur Solitude Philo

disgrâces dont nous héritons, il faut bien reconnaître que la plus grande liberté d’esprit nous est laissée. À nous de ne pas en mésuser gravement. Réduire l’imagination à l’esclavage, quand bien même il y irait de ce qu’on appelle grossièrement le bonheur, c’est se dérober à tout ce qu’on trouve, au fond de soi, de justice suprême. La seule imagination me rend compte de ce qui peut être, et c’est assez pour lever un peu le terrible interdit; assez aussi pour que je m’abandonne à elle sans crainte

disgrâces dont nous héritons, il faut bien reconnaître que la plus grande liberté d’esprit nous est laissée. À nous de ne pas en mésuser gravement. Réduire l’imagination à l’esclavage, quand bien même il y irait de ce qu’on appelle grossièrement le bonheur, c’est se dérober à tout ce qu’on trouve, au fond de soi, de justice suprême. La seule imagination me rend compte de ce qui peut être, et c’est assez pour lever un peu le terrible interdit; assez aussi pour que je m’abandonne à elle sans crainte

disgrâces dont nous héritons, il faut bien reconnaître que la plus grande liberté d’esprit nous est laissée. À nous de ne pas en mésuser gravement. Réduire l’imagination à l’esclavage, quand bien même il y irait de ce qu’on appelle grossièrement le bonheur, c’est se dérober à tout ce qu’on trouve, au fond de soi, de justice suprême. La seule imagination me rend compte de ce qui peut être, et c’est assez pour lever un peu le terrible interdit; assez aussi pour que je m’abandonne à elle sans crainte

Amérique ou il va rencontrer cette tribu. Il va apprendre que sa soeur meurt. René est un texte fondateur du romantisme et ce personnage va avoir une grande influence sur un grand nombre de perosnnage romantique. Il y a chez René l'impossibilité d'un bonheur terrestre. Des désirs infinis et que rien ne peut combler. C'est aussi un héros illogique, incohérent, mené par ses sentiments, un héros qui est suicidaire et donc déprimé. Héros particulièrement fragile, tout le temps sur le point de succomber a

significatifs comme l'intelligence. Si ce schéma offense notre sens de l'égalité, alors pourquoi le fait que les animaux n'ont pas certaines caractéristiques humaines devrait-il constituer un critère de discrimination ?[…] Pour n'importe quel animal, le bonheur semble consister en la possibilité d'exprimer son caractère de créature, son caractère essentiel de cochon, de loup ou de poulet. Pour les espèces domestiques, une bonne vie, si l'on peut l'appeler ainsi, ne peut se concevoir sans les humains, sans

Alain (Émile Chartier) (1868-1951) Propos sur le bonheur Un document produit en version numérique par Robert Caron, bénévole, professeur de lettres à la retraite du Cégep de Chicoutimi Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales". Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque

Fiches de révisions Philo LA CONSCIENCE Fiches de coursPhiloTle ESTle LTle SLa conscience 1 Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant

libéral, soit économique des principes généraux qui en sont la base… » Ils mettent l’accent sur la structure liée, la transmission essentielle à l’existence même des savoirs, la continuité intergénérationnelle, l’accroissement de la vertue et du bonheur à proportion de celui des connaissances. L’intérêt général non pas de tel pays ou tel peuple mais l’intérêt tout entier sans distinction géographique. Le sentiment du patrimoine de l’esprit humain s’inscrit dans cette vision. Pour les encyclopédistes

Celui qui nous affranchit pour la vraie liberté ? (Romains 8, 21). Le Christ, Jésus de Nazareth, est venu pour délivrer les captifs et renvoyer libre l’opprimé (Luc 4, 18). Il est ce Rédempteur qui veut faire alliance avec nous afin que nous ayons bonheur et longue vie sur la terre que Dieu nous donne (Deutéronome 5, 16). Le plan de Dieu pour nos vies est simple : paix, joie et prospérité. Il nous faut dès lors rentrer dans cette révélation pour que nous puissions pleinement vivre, et cela sur cette

philosophes : Démocrite, Hésiode, Platon, Aristote, Épicure et les Stoïciens. En suivant leurs conseils pour endiguer les désirs trop violents et les passions trop fortes, apprivoisez les émotions qui vous envahissent et ne laissez plus les chances de bonheur passer ! Jean Frère a été professeur de philosophie à l’université de Strasbourg et participe aux travaux du centre Robin (Paris-IV Sorbonne). Spécialiste de la pensée grecque, il est reconnu internationalement. Code éditeur : G54439 ISBN :