Bonheur Universalité

montrer que le bonheur dont tous les hommes sont en quête ne peut être accessible que grâce à Dieu. I-Le bonheur : un désir universel 1) Le désir d'être heureux touche tt le monde - désir universel « tous les hommes cherchent d'être heureux » → décrit de façon indéfinis « tous » = universalité + « sans exception » → appuie encore plus sur l'universalité - « Tous se plaignent, princes, sujets, nobles..... de tous âges et de toutes conditions. » → énumération basé sur antonymes = universalité de l'échec

Le bonheur est un plaisir dont nous souhaitons la durée. Le bonheur se mesure à la longueur et l’intensité. Un bonheur très bref est appelé plaisir. Entre plaisir et bonheur il n’y a que la durée qui diffère, pas la nature. Le bonheur et le plaisir sont la même chose. Le bonheur peut être défini comme la satisfaction qui résulte d'une harmonie entre nos désirs et le monde extérieur. Le bonheur semble en premier lieu dépendre de la chance, car ce n'est pas nous qui décidons des événements du monde

ELABORATION DE LA REPONSE La recherche du bonheur est un sentiment universel, nul ne peut être heureux et tout le monde le recherche. Le bonheur est le but de la vie, il faut donc tout faire pour être heureux, et on peut estimer avoir bien vécu quand la vie qu’on a menée peut globalement relever de cette idée. Nous avons tout d'abord dit que les sentiments relevaient de la sensibilité, et non de la raison? Mais il y a un probleme : les sentiments ne se valent pas, ce qui prouve que de toute manière

représentés c) Le bonheur n'est pas de l'ordre de la satisfaction des désirs. III ) Merveilleux et consommation a) L'indépendance du bonheur par rapport aux vicissitudes de la vie quotidienne
b) Le plaisir n'est pas le bonheur, parce que le bonheur est souci d'unification de l'existence dans sa totalité . Bonheur et totalisation c) La conception kantienne du bonheur comme "agrément de la vie accompagnant sans interruption toute l'existence".
d) La critique de la conception kantienne du bonheur
e) Le bonheur

qui ne craignaient pas de se donner en spectacle. Une forte intensité a l’heure de fêté la délivrance : « au milieu des cloches, du canon, des musiques et des cris assourdissants… des faces hilares se renversaient contre le ciel » C. Universalité du Bonheur Les commerces tels que les cafés qui perdent le sens du bénéfice et distribuent leurs derniers alcools Des hommes heureux qui retrouve la foi  « Dans les églises, en effet, des actions de grâces étaient récitées. » Révélation de forts

: Est il moral de rechercher le Bonheur ? Introduction : La recherche du bonheur habite dans chaque humain depuis que l'évolution a fait de lui un être pensant. Elle nous habite, nous et chacun de nos semblable, depuis la naissance et jusqu'à l’accomplissement de cet état de conscience ou jusqu'à la mort pour les moins chanceux d’entre nos congénères. De prime abord, tout le monde, dumoins il me plaît a le croire, peut mettre des mots sur le Bonheur, avec un grand B, cet état d’esprit

valable pour chacun. Il s'ensuit que la prétention de posséder une valeur pour tous doit être liée au jugement de goût et à la conscience d'être dégagé de tout intérêt, sans que cette prétention dépende d'une universalité fondée objectivement ; en d'autres termes, la prétention à une universalité subjective doit être liée au jugement de goût. Dans un premier moment le jugement du gout au point de vu de la qualité, car pour distinguer si une chose est belle ou non, nous ne rapportons pas au moyen de

promenade de Rousseau. Chacun de ces textes à une visée argumentative : les auteurs défendent leurs propres conceptions du bonheur. Nous allons voir comment chaque auteur définit le bonheur et quel procédé argumentatif utilise-t-il ? Dans son essai, Blaise Pascal, qui est un philosophe du XVIIe siècle connu pour ses opinions jansénistes, cherche à convaincre le lecteur que bonheur et foi sont indissociables. Pour cela, l'auteur utilise une argumentation directe : il formule une paix abstraite pour

philosophique sur la conception du bonheur, mettre en opposition le stoïcisme (vivre dans la vertu et éloigner les souffrances provoquées par nos passions) et l’épicurisme (jouir de la vie et de ses plaisirs). L’auteur relate la rencontre entre un philosophe et un sage qui expose leur vision du bonheur. Problématique : Comment l’auteur défend-il à travers cette fable une conception épicurienne du bonheur ? Plan du texte : I- L’auteur défend une conception épicurienne du bonheur en faisant le récit vivant

Le respect Les onze premiers paragraphes, ayant rappelé le sens de la distinction de la vertu et du bonheur, la suite répond à l’objection de Garve : ce vouloir formel, cette universalité purement rationnelle, est hors de portée des hommes ; il manque ici un mobile (un principe de détermination sensible de la volonté). Si en théorie – dans sa tête – un homme subtil peut comprendre Kant, en pratique – dans son cœur -, nul n’est mobilisé par la représentation du devoir.– 15 – Garve