Boniface IX

d’Anthon assiste au mariage de sa sœur Agnès avec Girin de Vaux. Leur cadet Aymar entre au chapitre des chanoines de Vienne. L’aîné de la famille Guichard V a son premier fils Aymar. Bâgé passe à Savoie en 1268. Il veille la dépouille royale de Louis IX en 1270, au retour de sa croisade avortée en Tunis. Leur cousin Guillaume de Beaujeu devient grand maître du Temple en 1273, année où un nouveau concile se tient en Lyon. Sept à huit mille personnes assistent à cette réunion mémorable, dont trois futurs

Ronsard écrit une grande épopée à la louange des vertus françaises, la « Franciade» sur le modèle de l'Énéide, de Virgile. Cette oeuvre fut perçue comme un échec par Ronsard lui-même, qui n'en publia que les quatre premiers livres. A la mort de Charles IX (1574), Ronsard connaît la disgrâce. A cinquante quatre ans, la reine Catherine de Médicis invite le poète à consoler Hélène de Surgères, qui vient de perdre dans la guerre civile , Jacques de La Rivière, dont elle était éprise. Ronsard publie

victoire des conservateurs, une vague cléricale s’abat sur la France. Monseigneur Pie, évêque de Poitiers, s’écrie devant des pèlerins : « la France veut un chef, la France veut un maître ». C’est un mouvement qui suit la doctrine pontificale du pape Pie IX avec le Syllabus paru en 1864. Il dénonce le « monde moderne » et encourage les réactions. A la défaite militaire s’ajoute la guerre civile c’est l’épisode de la Commune. C’est un mouvement exclusivement parisien, Paris est le centre du pouvoir français

enfant ou même aussi qu’il perdit son œil droit. Il trouva consolation dans la poésie, son vrai métier et dans la gloire qui suivit. On doit aussi à Rutebeuf le premier miracle de Notre-Dame. Il fut poète national favorisant la propagande du roi Louis IX, il est alors le favori des seigneurs. Sa dernière œuvre, La nouvelle complainte d’outre-mer serait de 1277. Les poèmes de Rutebeuf sont faits pour être comparés : les poèmes de croisades se répondent, la Griesche d’été répond à la Griesche d’hiver

sainte. Aujourd'hui, ce type de pratique n'existe plus et est officiellement interdit pour des raisons d'hygiène. On se souvient de la chanson de Jacques Brel "au suivant" évoquant précisément ces anciens" bordels de campagne" Pendant l'époque où Louis IX régna, soit de 1226 à 1270, la politique face à la prostitution fut changeante, passant de la prohibition à la tolérance. Il menaça d'expulsion toute personne faisant de la prostitution, occasionnellement ou comme métier. Alors commença une dure répression

On n'a pas toujours précisé le caractère original de l'Inquisition, forme de répression de l'hérésie établie par le pape Grégoire IX à partir de 1231. À cette date, la punition des hérétiques et l'anathème contre les ennemis de la foi étaient des faits déjà anciens, selon ce qui avait été en particulier prescrit par le deuxième concile du Latran (1139). Il appartenait aux évêques de rechercher les hérétiques, aux juges séculiers de les punir, aux rois et aux princes de prêter, sous peine de déchéance

solution résulte d’une longue période de débats (questionnement des premiers penseurs). XIIIe : Pape Grégoire IX commande officiellement une compilation officielle des décrétales pontificales. 1234 : première compilation officielle : ‘‘Les décrétales de Grégoire IX’’. [Après Grégoire IX il y aura 4 autres compilations] Corpus juris canonici : décret de Gratien, décrétales de Grégoire IX et les canons et décrétales pontificales sont appelés comme ça au XVe. Problème : on ne sait pas utiliser, on

souverain français de la branche dite de Bourbon de la dynastie capétienne. Il était le fils de Jeanne III, de son nom patronymique Jeanne d'Albret, reine de Navarre, et d'Antoine de Bourbon, chef de la maison de Bourbon, descendant du roi Louis IX et premier prince du sang[4]. En vertu de la « loi salique » cette filiation fera d'Henri le successeur naturel du roi de France à la mort de François, duc d'Anjou (frère et héritier du roi Henri III), en 1584. Confronté aux guerres de religion,

| | Louis IX « Saint Louis » (25 avril 1214 – 25 août 1270) | 8 novembre 1226 | 25 août 1270 | Quatrième fils de Louis VIII et de Blanche de Castille, il succède à son père sous la régence de sa mère jusqu'à sa majorité, en 1235. Sacré à Reims le 29 novembre 1226. Mort de dysenterie devant Tunis. Canonisé en 1297. | | Philippe III « le Hardi » (30 avril 1245 – 5 octobre 1285) | 25 août 1270 | 5 octobre 1285 | Deuxième fils de Louis IX et de Marguerite de

La crise parlementaire : Ce que l'on appelle la «curia in parlamento » (la cour en Parlement) trouve son origine au alentour de 1240 sous le règne de Louis IX. Lorsque la cour du roi, se réunit spécifiquement pour connaître d'affaire appelant un solution juridictionnelle (conflit, litige). Avec l'influence de ce type d'affaire ces sessions de la justice royale deviennent régulière au sein du palais de la cité et se tiennent lors de grandes fêtes religieuses. Le statut fondateur du Parlement date