Bonne Chance

d’abord être libre, être en bonne santé, manger à sa faim, naître dans une démocratie. Quelle vie choisit la petite fille de six ans vendue par ses parents pour aller dans un bordel, comme dans certains pays pauvres. Est-ce qu’elle a choisi sa vie ? Ceux qui choisissent sont ceux qui ont toutes les possibilités, tous les choix possibles. Dans des pays comme au Sahel, on cherche déjà comment on va manger aujourd’hui. Vue sous cet angle, la question est dure ! On a une grande chance d’être né dans un pays

son imaginaire. Les Chèvres devraient apprendre à se relaxer et laisser les autres mener la danse de temps en temps. Une fois qu’ils auront compris ce qu’est une relation, la vie sera comme un champ de pâquerettes. Singe : Le vieux dicton « La Chance poursuit les Heureux » semble avoir été inventé pour décrire les Singes. Amusement, distraction, stimulation, les Singes ne désirent rien d’autre que les réjouissances à tout va. Plein d’esprit, le Singe est un amuseur public né. De plus, doté d’une

avoir un plan et s'y tenir; être totalement indépendant de l'opinion ou de l'action des autres et dominer les événements au lieu d'en être l'esclave. Les premiers disent qu'ils n'ont pas de chance, et des seconds on dit que tout leur sourit... En réalité, il n'y a là ni malchance pour les uns, ni chance pour les autres. C'est uniquement une question d'attitude dans la vie. Ceux qui ne possèdent aucune maîtrise de soi accusent la malchance, les événements ou les autres, de tous les malheurs

son fils. Que la vie est dure pour cet homme, qui pourtant fait son possible pour réussir. Ainsi est le sort de Chris Gardner qui se demande comment il a fait pour en arriver là, ou sont donc passé ses rêves de gosses. Il a regarde passer sa chance, jusqu'au jour ou une opportunité s'offre à lui. Et il fera tout pour parvenir à son objectif, même si la vie le met toujours à l'épreuve. Malgré toute cette belle leçon de courage, de modestie et de ténacité dont fait preuve Chris Gardner,

situation familiale et disponibilité, | |origines, handicap, conjoncture, mutations économiques ou technologiques… - et relèvent plutôt de la malchance (car il ne suffit pas | |d'être intelligent, compétent et battant : le contexte social et la chance sont aussi déterminants dans la réussite), on devient | |«chômeur de longue durée» au bout d'un an ou «de très longue durée» à partir de deux, comme une maladie qui mute en ALD. Ou, bien | |malgré soi, on s'abonne à la précarité, endossant

l’intervention d’une force transcendante (comme Dieu par exemple) ou magique (ainsi d’un esprit de la forêt) est d’autant plus légitime que ce que l’on réclame est impossible. C’est lorsque l’on sait que l’on ne peut plus compter sur le hasard, ou sur une bonne configuration des événements, et que l’événement le plus souhaitable n’est de toute façon pas réalisable, que l’on se donne le droit de désirer l’impossible, alors même que l’on ne se fût pas prêté à désirer un événement pourtant même seulement très

avoir un plan et s'y tenir; être totalement indépendant de l'opinion ou de l'action des autres et dominer les événements au lieu d'en être l'esclave. Les premiers disent qu'ils n'ont pas de chance, et des seconds on dit que tout leur sourit... En réalité, il n'y a là ni malchance pour les uns, ni chance pour les autres. C'est uniquement une question d'attitude dans la vie. Ceux qui ne possèdent aucune maîtrise de soi accusent la malchance, les événements ou les autres, de tous les malheurs

ségrégation territoriale, c’est qu’en conditionnant l’environnement social de chacun, elle pèse de tout son poids sur le destin de chacun. Cela est renforcé selon les inégalités proprement familiales. L’enfermement social des enfants : Pour avoir une chance non nulle d’interagir avec des familles ayant réussi dans le supérieur, il faut être déjà enfant d’adultes ayant réussi dans le supérieur. Interagir avec des enfants ayant, dans leur famille, une expérience réussie dans le système scolaire est le

langage des rues de France (je n'ose pas dire Paris parce qu'on ne sait pas où l'histoire se passe) et c'est pas toujours évident de comprendre pour quelqu'un qui n'a pas beaucoup de références françaises. À part ça, un bon petit livre sympa, une bonne soirée de lecture sans trop se casser la tête. « A l’école il avait réponse à tout. Au pavillon réponse à rien. A moins que rien si le skin écoutait. A l’école il l’ouvrait. Motus au pavillon. A l’école il allait toujours au tableau réciter

que nous ne pouvons pas aider tout le monde, car chaque être humain a ses limites et doit en prendre conscience lorsqu’il aide son prochain. Il est parfois dangereux de s’opposer à quelqu’un de plus fort que soi. Dans le cas de Trevor, il a pris la chance de s’attaquer à deux personnes plus fortes que lui sans savoir que l’un d’eux possédait une arme blanche. C’est une malchance, un mouvement mal placé au mauvais moment - ce n’était d’ailleurs pas l’intention de l’agresseur de le tuer - mais Trevor