Bonneterie

tirée, essentiellement, par l’accroissement des exportations de l’activité de construction de 2,8 milliards de dirhams. une baisse de 3,7% au niveau des exportations du secteur du textile et cuir, suite au recul des exportations des articles de bonneterie et des chaussures de 2,2% et de 19,8% respectivement, atténuée, légèrement, par la faible hausse des exportations des vêtements confectionnés de 0,4%. une baisse des exportations du secteur de l’électronique de 10,6%, en lien, notamment, avec le

parsemé de landes et de tourbières. Dans les méandres de la Meuse se sont développées de petites villes industrielles: MézièresCharleville, Sedan, Givet. La capitale régionale est Châlons-en-Сhampagne. ABECEDAIRE Bonneterie. Troyes reste, depuis le XIX siècle, la capitale de la bonneterie, un secteur qui occupe encore le 1er rang pour l’activité régionale, 550 entreprises ou établissements employant 13500 personnes. Un musée lui est consacré, dans l’hôtel de Vauluisant. Champagne. Le champagne reste

Evolution de la balance commerciale au mois de janvier (en glissement annuel) Janvier (En millions de dirhams) Exportations globales Exportations de phosphates et dérivés Exportations hors phosphates et dérivés Vêtements confectionnés Articles de bonneterie Agrumes Importations globales Importations de produits énergétiques Autres importations Blé Biens d’équipements Biens de consommation Déficit commercial * Données provisoires Source : OC Janvier* 2009 8 446 811 7 635 1 761 632 676 18 707 2 733

produits exportés Ces produits représentent plus de 96,6% des exportations marocaines en 1996, dont l'acide phosphorique représente près de 11,1%, les vêtements confectionnés 8,2%, les crustacés, mollusques et coquillages 9,9%, les articles de bonneterie 7,3%. 3. Balance commerciale Le solde commercial est resté déficitaire entre 1992 (28,8 milliards de Dh) et 1997 (30,79 milliards de Dh). Le plus important excédent commercial du Maroc se réalise avec l'Inde grâce aux exportations des phosphates

vestimentaires de grande consommation à celles d’articles de mode à plus grande valeur ajoutée. Le nombre d’entreprises qui ont fait le choix de se positionner dans des activités à plus forte valeur ajoutée est encore faible. La confection et la bonneterie participent à hauteur de 90% des exportations et plus de 80% des emplois du secteur. Le niveau technique se réduit à des machines à coudre et à des outils moins sophistiquées, par comparaison aux outils techniques employés dans la fabrication propre

27% 30000 10000 -20000 -66,67% 0 90550 90550 VI VII VIII Industrie Sidérurgique Matériaux de Construction BTP (Non Pétrolier) IX Chimie, Caoutchouc, Plastique X IND. AgroAlimentaire XI IND. Textiles, Bonneterie XII XIII IND. des Cuirs et Peaux IND. Bois et Liège 1999 2454500 2000 2572164 Ecart 117664 % 4,79% 1999 146000 2000 -146000 Ecart % -100% 1999 278915 2000 71700 Ecart -207215 % -74,29% 1999 883357 2000 252800 Ecart

de textiles implantée au Maroc dans la zone industrielle de Berrechid. Elle est constitué par un capital social de près de 2 millions d’euros. SINMATEX SA est une industrie de textile spécialisée dans la confection de vêtements et articles de bonneteries pour enfant, hommes et femmes. Chiffres clefs 2008 : Pour l’année 2008, SINMATEX SA, comptait 650 employés. Elle a réalisé un chiffre d’affaires de 8 millions d’Euros réalisés 100 % à l’export. Ces Principaux clients sont les principales

4 1 725 1,9 F23- IMPRIMERIE, ÉDITION ET ACTIVITÉS ANNEXES 52 0,9 131 1,0 183 1,0 245 0,9 493 0,8 738 0,8 F24- FAB. PRODUITS DU PÉTROLE ET DU CHARBON F25- FABRICATION DE PRODUITS ÉLECTRIQUES F27- BONNETERIE ET HABILLEMENT F28- ENSEIGNEMENT ET SERVICES ANNEXES F29- FINANCES, ASSURANCES, AFF. IMMOBILIÈRES F30- SERVICES MÉDICAUX ET SOCIAUX F32- INDUSTRIES MANUFACTURIÈRES DIVERSES V1- NON CODÉ 114 0 0,0 — — — — — — 20

et le bois, la région développa les branches textiles et alimentaires, en accord avec le mouvement général de l'industrie brésilienne, à savoir la production de biens de consommation courante. Effectivement, on y retrouve maintes laineries et bonneteries ainsi que des établissements frigorifiques. La fabrication de produits métalliques commençait quant à elle à subir la concurrence des biens étrangers, dont l’importation avait repris depuis la fin de la guerre. Cela n'a toutefois pas empêché

domination des exportations par l'importation : Tableau 3 : exportations importations 276 millions de $ (moyenne 2001-2005) 580 millions de $ (moyenne 2001-2005) Phosphates Conserves Vêtements confectionnés (pantalons et lingerie) et bonneterie Engrais Agrumes Articles en cuir (chaussures) Appareillage électrique Parties et pièces automobiles Produits chimiques Produits plastiques Médicaments équipements médicaux Tissus en coton Biens d’équipement Produits des technologies