Bougival

Forestier tendit les deux mains : – Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? – Très bien, et toi ? – Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que j’ai une poitrine de papier mâché maintenant ; je tousse six mois sur douze, à la suite d’une bronchite que j’ai attrapée à Bougival, l’année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. – Tiens ! tu as l’air solide, pourtant. 14 Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils des

Forestier tendit les deux mains : - Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? - Très bien, et toi ? - Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que j’ai une poitrine de papier mâché maintenant ; je tousse six mois sur douze, à la suite d’une bronchite que j’ai attrapée à Bougival, l’année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. - Tiens ! tu as l’air solide, pourtant. Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils des médecins

Forestier tendit les deux mains : « Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? – Très bien et toi ? – Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que j’ai une poitrine de papier mâché maintenant ; je tousse six mois sur douze, à la suite d’une bronchite que j’ai attrapée à Bougival, l’année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. – Tiens ! tu as l’air solide, pourtant. » Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils des

mains : - Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? - Très bien, et toi ? - Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que j'ai une poitrine de papier mâché I 6 Bel-Ami maintenant ; je tousse six mois sur douze, à la suite d'une bronchite que j'ai attrapée à Bougival, l'année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. - Tiens ! tu as l'air solide, pourtant. Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils des médecins

tendit les deux mains : « Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? – Très bien et toi ? – Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que j’ai une poitrine de papier mâché maintenant ; je tousse six mois sur douze, à la suite d’une bronchite que j’ai attrapée à Bougival, l’année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. – Tiens ! tu as l’air solide, pourtant. » Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils

» Forestier tendit les deux mains: «Ah! mon vieux! comment vas-tu? - Très bien, et toi? - Oh! moi, pas trop; figure-toi que j'ai une poitrine de papier mâché maintenant; je tousse six mois sur douze, à la suite d'une bronchite que j'ai attrapée à Bougival, l'année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. - Tiens! tu as l'air solide, pourtant.» Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils des médecins

n’était sorti de Paris qu’une fois en sa vie. Nous étions alors aux derniers jours de juillet, et chacun de nous, chaque dimanche, allait se rouler sur l’herbe ou se tremper dans l’eau dans les campagnes environnantes. Asnières, Argenteuil, Chatou, Bougival, Maisons, Poissy, avaient leurs habitués et leurs fanatiques. On discutait avec passion les mérites et les avantages de tous ces endroits célèbres et délicieux pour les employés de Paris. Le père Mongilet déclarait : – Tas de moutons de Panurge

Forestier tendit les deux mains : – Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? – Très bien, et toi ? – Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que j’ai une poitrine de papier mâché maintenant ; je tousse six mois sur douze, à la suite d’une bronchite que j’ai attrapée à Bougival, l’année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. – Tiens ! tu as l’air solide, pourtant. 14 Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils

les deux mains : " Ah ! mon vieux ! comment vas-tu ? -- Très bien et toi ? -- Oh ! moi, pas trop ; figure-toi que j'ai une poitrine de papier mâché maintenant ; je tousse six mois sur douze, à la suite d'une bronchite que j'ai attrapée à Bougival, l'année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. -- Tiens ! tu as l'air solide, pourtant. " Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils

Forestier tendit les deux mains: 7 "Ah! mon vieux! comment vas-tu? - Très bien et toi? - Oh! moi, pas trop; figure-toi que j'ai une poitrine de papier mâché maintenant; je tousse six mois sur douze, à la suite d'une bronchite que j'ai attrapée à Bougival, l'année de mon retour à Paris, voici quatre ans maintenant. - Tiens! tu as l'air solide, pourtant." Et Forestier, prenant le bras de son ancien camarade, lui parla de sa maladie, lui raconta les consultations, les opinions et les conseils des médecins