Boulevard Ney

joie les hussards de l’escorte, et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua … », « Veux-tu bien t’arrêter, blanc bec ! lui cria le maréchal des logis. Fabrice s’aperçut … » ; « Pardi c’est le maréchal ! – Quel maréchal ? – Le maréchal Ney, bêta ! … » ; « Ah ! m’y voilà donc enfin au feu ! … ». Ces passages révèlent l’ignorance de Fabrice quant à l’art de la guerre. Le narrateur présente Fabrice comme étant « fort peu héro », dès la ligne 1. Mais Fabrice, dans cette situation n’est

de l'introduction : La Chartreuse de Parme raconte les aventures de Fabrice del Dongo, un très jeune homme qui a décidé de rejoindre son idéal Napoléon. Il se trouve en plein bataille de Waterloo et rencontre des hussards qui escortent le maréchal Ney ce "brave des braves" dont il est éperdument admiratif. Notre héro, à la fois puérile et naif, rêve de gloire militaire. Questions pour l'oral : - Dégager le portrait physique du héro et surtout psycologique ( forte sensibilité) - Montrer que ce

est confié au maréchal Ney avec la mission de s'emparer des Quatre-Bras. Ney perd beaucoup de temps, ce qui permet l'arrivée de renforts alliés. Avec les 3e et 4e Corps, Napoléon parvient à fixer les Prussiens à Ligny. Il veut saisir l'occasion pour les neutraliser définitivement. Pour cela, il ordonne au 1er Corps (réserve de Ney) de venir couper les arrières prussiens, quitte à retarder la prise des Quatre-Bras. Mal ou non informé de cette décision de l'Empereur, Ney rappelle cette unité qui

designer le lieu de la bataille. Du point de vue temporel il est juste indiqué « en ce moment » mais sans autre précision. Cependant, on trouve le champ lexical détaillé de l’armée (grades) : hussards X3, escorte x2, soldat, maréchal x4, maréchal Ney, maréchal des logis, blanc-bec, généraux X 2, autorité, boulet, militaire,batterie et coups de canon »… Doublé du champ lexical de la guerre avec les mots : « héros, cadavres, criaient, horreur, blessé, sanglant, entrailles, sang » ce qui contribue

«  PARIS On recherche une jeune fille, Dora Bruder, 15 ans, 1 m 55, visage ovale, yeux gris-marron, manteau sport gris, pull-over bordeaux, jupe et chapeau bleu marine, chaussures sport marron. Adresser toutes indications à M. et Mme Bruder, 41 boulevard Ornano, Paris. » A l 'époque, je devais avoir douze ans. Cet article m'avait marquée car mes parents m'avaient expliqué que des gens qui ne méritaient pas la vie avaient enlevé une jeune fille innocente ; c'est pour cela qu'il fallait faire attention

siècles un style homogène et a su moderniser ses infrastructures. L'organisation actuelle de la ville doit beaucoup aux travaux d'Haussmann, sous le Second Empire. Il a fait percer la plupart des voies les plus fréquentées aujourd'hui (Boulevard Saint-Germain, Boulevard de Sébastopol, etc.). On associe souvent Paris à l'alignement d'immeubles de hauteur égale le long d'avenues bordées d'arbres, aux façades rythmées par les ornements du deuxième étage et le balcon filant du cinquième étage. Le centre

- Construction des boulevards de 20 à 30 mètres, ouverture de grandes artères (le boulevard de Strasbourg, le boulevard de Sébastopol, le boulevard Saint-Michel). Ces boulevards font disparaître ruelles et impasses.

cinéma, photographique et l'électro-ménager aujourd'hui abandonné. Petit à petit les rayons se sont étoffés avec le son et l'image (radio, télévision, enregistreurs, disques...) et le livre en 1974. Implantée à l'origine dans un petit magasin du boulevard de Sébastopol, à Paris (1er), la deuxième Fnac ouvre avenue de Wagram (17e Arr) en 1969. Paribas et UAP deviennent l'année suivante les principaux actionnaires de la Fnac. Louis Kaluszyner est nommé Directeur Général pendant treize ans jusqu'en

Titre : Le boulevard des Capucines devant le Théâtre du Vaudeville. Auteur : Jean BERAUD (1849-1935) Date de création : 1889 Date représentée : 1889 Dimensions : Hauteur 35 cm - Largeur 51 cm Technique et autres indications : Huile sur toile Lieu de Conservation : Musée Carnavalet (Paris) Avec cette toile, le peintre installe le spectateur sur la chaussée, au coin de la rue de la Chaussée-d’Antin et du boulevard des Capucines. Cette partie du Boulevard est l’une des plus

Comme il faisait une chaleur de trente-trois degrés, le boulevard Bourdon se trouvait absolument désert. Plus bas, le canal Saint-Martin, fermé par les deux écluses, étalait en ligne droite son eau couleur d’encre. Il y avait au milieu un bateau plein de bois, et sur la berge deux rangs de barriques. Au delà du canal, entre les maisons que séparent des chantiers, le grand ciel pur se découpait en plaques d’outremer, et sous la réverbération du soleil, les façades blanches, les toits d’ardoises