Bourreau

Les Trois Mousquetaires écrit par Alexandre Dumas en 1844. Le texte raconte l'histoire d'une femme prénommée Milady qui se fait punir pour les nombreux meurtres atroces qu'elle a commis auparavant. Elle ne tente aucun tour avec les sentiments du bourreau ou des autres personnages assistant à son exécution. Elle semble avouée à sa mort. La scène est en conséquence violente. Le texte nous conduit à nous demander en quoi ce passage est si frappant aux yeux du lecteur? Je vais d'abord annoncer le sujet

amorcée à la vignette précédente, la tentative de fuite du prisonnier, est vite avortée, le fuyard chute (comique de gestes) et s'assomme. Dès lors, l'inquiétude des accompagnateurs du condamné (en général, le juge, le procureur, un médecin et le bourreau ici réduits à deux personnes pour la lisibilité et la compréhension de la planche) se lit sur leurs visages, dans leurs gestes et dans leurs propos : ils craignent pour la vie du condamné. L'ultime vignette, la plus large de la planche, le cadrage

entortillages sonores du parquet, brutalement mise au jour, et posée où il faut qu’on la voie, où il faut qu’elle soit, où elle est réellement, dans son vrai milieu, dans son milieu horrible, non au tribunal, mais à l’échafaud, non chez le juge, mais chez le bourreau. Voilà ce qu’il a voulu faire. Si l’avenir lui décernait un jour la gloire de l’avoir fait, ce qu’il n’ose espérer, il ne voudrait pas d’autre couronne. Il le déclare donc, et il le répète, il occupe, au nom de tous les accusés possibles, innocents

et rêva encore de l'horrible divinité païenne que pouvait être le diabolo. Car cette chose ne pouvait être que le diabolo! La créature, accompagnée d'une sorte de bourreau moyenâgeux, lui dit: « Dommage, tu as échoué à la première épreuve. Il te reste encore deux épreuves et si tu les rates, voici ce qu'il t'arrivera. » Et le bourreau partit chercher une des victimes du diabolo (il s'agissait sans doute de Marian ) et commença alors à râper les doigts de ce dernier qui hurla à la mort. Le démoniaque

Dorien Gray, bourreau ou victime ? Intro : Nous allons parler de Dorian Gray, le héro du livre « Le portrait de dorian Gray ». C'est un livre publié en 1890, écrit par l'écrivain Irlandais Oscar Wilde. Nous allons nous interesser à la dualité dans la personnalité de ce héro, et la problématique sera de savoir s'il doit est bourreau ou simple victime ? Partie une : Oscar Wilde est un écrivain Irlandais du dix-neuviéme siécle à la renommée immense, Nous allons aborder ici un de ses plus

lumière reste toujours allumée. Scène 2 : Garcin est seul , il tente d'appeler le garçon avec la sonnette mais elle ne fonctionne plus. Et la porte est fermée. Scène 3 : Inès arrive avec avec le garçon , et elle prend Garcin pour un bourreau. Il se présente alors comme publiciste et homme de lettre. Tout en se chamaillant , il constate qu'il n'y a pas de miroir dans la pièce , qu'il fait chaud... Dans un silence , Ines est agacée par le tic que Garcin fait avec sa tête. Scène 4 :

de victime, il la condamne en même temps dans la mesure où les peines réservées aux maris violents sont légères et font que les victimes peuvent recroiser à tout moment leur bourreau. Aucune protection n’est mise en place pour assurer la sécurité des victimes une fois le jugement prononcé, la peine effectuée et le bourreau remis en liberté. Cet ouvrage ne va pas être lu pour la qualité et le style, bien plus, pour le parcours atypique de Tatiana, qui est pour dire miraculée puisqu’elle a frôlé

Ø  Quels moyens de persuasion Vallès utilise-t-il pour dénoncer les mauvais traitements infligés aux enfants de son époque (lire le chapitre 19 « Louisette) ?I La caricature de la figure du bourreau (registres satirique, comique, et même polémique)                A travers le personnage de Bergougnard, ce sont les adultes qui utilisent la violence sur leurs enfants qui sont incriminés. Vallès dresse un réquisitoire implacable contre celui que la justice n’a jamais inquiété et se fait ainsi redresseur

abjurer, pour trahir. Pour renier mes amis, Pour abjurer le pain et le vin, Pour trahir la vie, Pour mourir. Je trahirai demain, pas aujourd’hui. La lime est sous le carreau, La lime n’est pas pour le barreau, La lime n’est pas pour le bourreau, La lime est pour mon poignet. Aujourd’hui je n’ai rien à dire, Je trahirai demain. Marianne Cohn, 1943 oriques sur la Résistance en France Poètes Aragon Cadou Cassou Char Cohn

est dans ma voix, la criarde ! C'est tout mon sang, ce poison noir ! Je suis le sinistre miroir Où la mégère se regarde. Je suis la plaie et le couteau ! Je suis le soufflet et la joue ! Je suis les membres et la roue, Et la victime et le bourreau ! Je suis de mon cœur le vampire, - Un de ces grands abandonnés Au rire éternel condamnés, Et qui ne peuvent plus sourire ! Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire • Œuvres : « Le voyageur contemplant une mer de nuages » Caspar