Bourreau

« dialogue » Titus ne peut l’avoir qu’avec lui-même (solitude du Prince) Titus, seul Didascalie doublement significative « seul » en scène et « seul » face à son choix Moi-même(14)/et moi seul (19) Insistance sur le « moi » en cause Titus est tt à la fois bourreau et victime Titus, que viens-tu faire ? (1) Titus, ouvre les yeux ! (27) Nom qui ouvre et ferme l’extrait + 2° hémistiche Auto-interpellation : délibération intérieure L’expression d’un trouble intérieur Cœur X 2, langueur, charmes, larmes, adore

combat qu'a mené V.H – il est le plus long, le plus constant et le plus fervent - Dès son enfance, il est fortement impressionné par la vision d'un condamné conduit à l'échafaud, sur une place de Burgos, puis, à l'adolescence, par les préparatifs du bourreau dressant la guillotine en place de Grève. Depuis ce jour, V.H est hanté par ce «meurtre judiciaire», il va tenter toute sa vie de d'infléchir l'opinion en décrivant l'horreur de l'exécution, sa barbarie en démontrant l'injustice et l'inefficacité

enfance, il est très impressionné par la vision d’un condamné conduit à l’échafaud, pourtant la mort violente tient une place importante dans la vie des habitants du XIXe siècle. Plus tard, à l’adolescence, il sera choqué par les préparatifs du bourreau dressant la guillotine. Hanté par ce "meurtre judiciaire", il va tenter toute sa vie de faire plier l’opinion en décrivant l’horreur de l’exécution, sa barbarie et sa cruauté, en démontrant l’injustice et l’inefficacité du châtiment. Selon lui, les

violence est mis en avant. Les outils utilisés : opposition à la rime de « larmes » et « armes » et de « ravisseurs/douceurs ». Junie est la victime devant l’œil de son bourreau. On observe un contraste entre la douceur de Junie : « belle » et la violence de la scène « arracher ». Junie est la victime devant l’œil de son bourreau. B) Un penchant pervers Le comportement de Néron face à cette scène est sadique, on remarque un penchant pervers. Le voyeurisme du personnage le prouve : « je l’ai

B IBLIOGRAPHIE DE TRAVAIL : LE REGIME DU K AMPUCHEA DEMOCRATIQUE Sources Bizot François, Le silence du bourreau, Paris : Flammarion, 2011, 245 p. Pech-Métral Méas, Bogey Georges, Cambodge et Khmers rouges : Une tragédie oubliée 1975-1979, Cervens : Ed. de l'Astronome, 2008, 175 p. Picq Laurence, Au-delà du ciel : cinq ans chez les Khmers rouges, Paris : B. Barrault, 1984, 211 p. Sathavy Kim, Jeunesse brisée : chroniques de Borng Tha sous le Kampuchea démocratique, Arles : Actes Sud, 2008, 218

dresse l'échafaud, la foule rit et applaudit: le condamné était donné en spectacles à cette foule qu'il n 'a jamais aimé d'ailleurs. Devant le spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitié mais il sait déjà que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche pour décapiter le condamné. CHAPITRE1 Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement

plus fort est l'exécution du condamné dont voici le passage : ''Cet exécrable bourreau ! Il s'est approché du juge pour lui dire que l'exécution devait être faite à une certaine heure, que cette heure approchait, qu'il était responsable, que d'ailleurs il pleut, et que cela risque de se rouiller. – Eh, par pitié ! Une minute pour attendre ma grâce ! Ou je me défends ! Je mords ! Le juge et le bourreau sont sortis. Je suis seul. Seul avec deux gendarmes. Oh ! L'horrible

sert pas à grand chose puisqu'il entend les deux femmes de toute façon). I : « Si le morroir se mettait à mentir ? Ou si je fermais les yeux, si je refusais de te regarder, que ferais-tu de toute cette beauté ? » On remarque ici qu’Inès est le bourreau d’Estelle, car Estelle dépend du jugement que porte sur elle les yeux d’Inès. Ce qui importe pour Estelle c’est la façon dont les autres gens la voient. Or Inès la menace de manquer d’exactitude en ce qui concerne la description qu’elle lui fournirait

avare bourreau de la création », évoque à l’oreille du lecteur l’agression subie, cette consonne étant en quelque sorte dérangeante à force de répétition. Au vers 8, « le large sillon » qu’il fait dans ce tronc, est comparable à la blessure intérieure que l’homme laisse aussi dans l’âme du poète. Aussi, l’agression des êtres humains sur la nature, est la même que connaît le poète, peiné qu’ils se rient de son art. Dans la seconde strophe, l’emploi des mots « dérober » au vers 5, « bourreau » au

parallélisme «Plus froidement vous calculerez,plus avant vous irez.»ligne 12-13, elle utilise des phrases courtes et sèches pour que Rastignac les retiennent mieux. Lors de son monologue,Madame de Beauséant parle de "bourreau" et "victime", elle se sent supérieure, on peut la qualifiée de bourreau car elle est une femme, qui comme nous le verrons dans la deuxième partie, es un atout au pouvoir. Balzac dans sa description,mets lui aussi en valeur sa supériorité "elle releva la tête comme une grande dame"