Bourse d'Italie

des coureurs abandonne, congelés | |19-mai-63|La Rai diffuse pr la 1e fois les 10 derniers km en direct et naissance du Processo alla tappa. | |19-mai-63|2 champions d'Italie au départ à cause de dissensions entre l'UVI et Lega. | |04-juin-6|1e Cima Coppi, au sommet du Stelvio

Laurent de Médicis (1449-1492) 1. Les grandes étapes de sa vie : • Ses dates : Né en 1449 dans l’une des plus grandes familles florentines, Décédé en 1492. Laurent de Médicis dit aussi Laurent le Magnifique fut un homme d'État italien et le dirigeant de facto de la république florentine durant la Renaissance italienne. Surnommé le Magnifique par ses contemporains. Au delà de ses talents de diplomate et d’homme politique, il a côtoyé un groupe de brillants d’artistes, et de poètes et a également

que les territoires voisins sont déjà sous la bannière d'empires : constituant un enjeu pour leur expansion, elle est le théâtre des conflits entre la France et le Saint-Empire romain germanique, qui, au travers de la succession des Guerres d'Italie, se disputent Naples et Milan. Les guerres ravagent l'Italie [modifier] Compte tenu de leur nombre, ces guerres vont emporter toute la botte italienne ; les négociations portant sur le renversement des alliances, et le droit de passage

sans créer une rivalité avec François Ier. La renaissance italienne se poursuit avec le Cinquecento. En France, à partir de Louis XII et de François Ier (à partir du début de son règne en 1515, correspondant à la bataille de Marignan), les guerres d'Italie font connaître la Renaissance italienne en France, avec un siècle de retard. Léonard de Vinci apporte en France le savoir-faire des artistes de la Renaissance italienne. Article détaillé : Renaissance française. L'Espagne gardera sa puissance jusqu'au

Révisions de Moderne Chapitre 1 : IntroductionL'Italie passe de grande puissance (grandes institutions, Etat moderne) à une Italie en déclin (guerre d'Italie 1494-1559 avec la paix [relative] de Cateau-Cambrésis) L'Italie passe de premier foyer économique au XVIe siècle au second au XVIIIe siècle (découverte des États-Unis, transformation économique et commerciale). La crise économique ne débute qu'au XVIIe siècle en Italie.1) Les Etats Italiens au XIVè-XVè siècle L'Etat est purement temporel

huguenot, c'est-à-dire un noble protestant. Il est né en Bretagne en 1531. Tout comme son père qui fut gentilhomme de François 1er, il devient page d’Henri II. Il entame ensuite une carrière militaire qu’il l’amène à participer aux dernières Guerres d'Italie, où il se distingue par son habilité et son courage. Dès 1558, il se converti à la Réforme protestante, et c’est suite à cette conversion qu’il s’implique personnellement dans les guerres de religion. En 1580, il est fait prisonnier par les Espagnols

charismatique Henri II parviennent alors à instaurer une période de grand dynamisme et d'enrichissement, plus connue sous le nom de « Beau siècle ». Ce fut aussi le temps fort d'une réelle pénétration de l'art en France, influencé par les guerres d'Italie, qui débouchera sur une Renaissance française tardive dans tous les arts. Ce succès éclatant doit bien évidement être davantage éclairé pour comprendre plus en détail les raisons d'un tel succès et surtout connaître les nuances à apporter à une affirmation

|1-Introduction : | |-1946 : reprise du tour d’Italie | | |-1947 : reprise du tour de France | | |-1948 :

d'Élisabeth, fille aînée du roi, avec Philippe II, roi d'Espagne. Ce dernier ne s'est pas déplacé mais a délégué un cardinal pour un mariage par procuration. Ces mariages font suite au traité contesté du Cateau-Cambrésis qui met fin aux guerres d'Italie sans grande contrepartie pour la France. Henri II peut du moins éprouver la satisfaction d'avoir repris Calais aux Anglais et occupé les Trois-Évêchés de Metz, Toul et Verdun. Féru de romans de chevalerie, il veut magnifier le retour de la paix

les mises en cause s'élargissent. Commissaires aux comptes, agences de notations, banquiers, analystes se retrouvent sur le banc des accusés. Mercredi 25 février, la tension est encore montée après la citation directe du gouverneur de la Banque d'Italie lui-même, Antonio Fazio. Interrogés par une commission parlementaire il y a une semaine, les principaux banquiers italiens du groupe laitier en faillite ont tous adopté la même défense : "On ne peut rien contre quelqu'un décidé à tromper et à truquer