Bousculade

* HEURT, subst. masc. HEURT, subst. masc. A. − Rencontre, choc (plus ou moins brutal). 1. [Avec un obstacle gén. matériel] a) [Avec des pers.] Non seulement la bousculade ne me divertit pas de mon obsession, elle la renforce; chaque heurt, chaque coup de coude chaque compression la resserrent et l'enclouent (Arnoux, Paris, 1939, p. 25). b) [Avec des choses] Heurts légers, violents; au moindre heurt; les heurts sonores des battoirs; le heurt du marteau. Le silence de la grande pièce où sonnaient

y a une seule et unique couple d’hommes maitre / valet : La Grange et Mascarille ; et quatre femmes, quatre cousines : Cathos, Madgelon, Versinge et Torixe. Ce qui entraine une rivalité beaucoup plus importante, que l’on peut remarquer par des bousculades, une compétition sur les belles paroles pour charmer l’homme et des « pics » dans les paroles, que l’on peut qualifier de comique de gestes et de paroles. Chez Molière, les comédiens ont de belles tenues, des tenues de l’époque, mais aussi et

supposée. C'est également l'incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination. b) Les Manifestations et conséquences de l'homophobie Dans sa forme la plus violente, l’homophobie s’exprime par des violences physiques et peut dégénérer, de la bousculade, du passage à tabac, jusqu’au viol et même au meurtre. Dans une forme plus quotidienne, elle se traduit par des réactions, avouées

véritable héros de tragédie. Il agit comme une coquille vide confrontée à un monde hostile. Le champ lexical de de la violence exprime cette ambiance menaçante : « bouscule », « bousculer », « violente », «  bombe », « éventrés », « se cogne ». De la bousculade à la bombe il a subi trop de chocs. De fait il présente une certaine forme de confusion mentale annoncée explicitement avec « Tout se mélange. »L’énumération qui suit confirme cette idée : « Les lieux, les jours les visages » ; Cette liste mêle

Depuis mi-novembre, les acteurs du jouet vivent une période de rush. En effet, dans ce monde la saisonnalité est très forte, la période de Noël représentant 50 % du chiffre d'affaires de la Grande Récré. Cette bousculade dans les magasins des enseignes de jouets se retrouve également dans l'évolution de leurs audiences Web. Cependant, cette progression du nombre d'internautes et de cyberacheteurs n'a toujours pas convaincu la Grande Récré à s'aventurer dans le e-commerce. Un parti pris qui n'empêche

déforme et amplifie la réalité. En effet, par moment, il se substitue à Denise et regarde en visionnaire le Bonheur des Dames. La description Zolienne est alors affranchie de tout réalisme, la chaleur intense dans la maison « flambait » (l.11), la bousculade de la vente « qu’on sentait derrière les murs » (l.12) Une dévoreuse d’être humains A travers la métaphore la machine représente le magasin. Elle traite les clientes avec brutalité. L’emploi de participe passé le prouve bien : « entassées », « étourdies »

bras du Logicien » (p.31). Il est frappant que c'est Jean qui entre, physiquement et donc visiblement, en contact avec le Vieux Monsieur et le Logicien, à l'instant même où lui se trouvait dans une posture comique, les bras levés. Après tout, la bousculade revêt un sens symbolique, elle suscite un bref échange de politesse entre eux trois et c'est aussi, là le seul point de rencontre entre les personnages. D’autant plus, l’auteur use de la tirade tel qu’illustrer par les propos de Jean « Oui, j’ai

une prise de tribune, typique de la culture hooligan. Sous la poussée, les Italo-Belges qui n'ont pas l'habitude de ces pratiques réservées jusque-là aux îles britanniques reculent et se replient vers l'autre extrémité de la tribune, causant une bousculade. En bas des gradins, des portes donnant accès à la pelouse sont fermées. Les forces de police présentes sur la pelouse repoussent même des spectateurs qui tentent de fuir par la pelouse. Le piège est en place. Les grilles de séparation et un muret

d’abord le comique né des gestes, des mouvements, des mimiques, explicitement signalés dans les didascalies. Héritage de la commedia dell’arte, il se manifeste à travers le jeu bouffon des deux serviteurs, Georgette et Alain. C’est notamment le cas des bousculades et des coups à l’acte I, scène 2. On note aussi le comique de répétition, comme le chapeau ôté de la tête d’Alain trois fois dans cette scène, ou la répétition du rejet d’Horace à la scène 4 de l’acte IV. Il faut aussi imaginer les gestes et les

mariage. On reconnaîtra d’abord le comique né des gestes, des mouvements, des mimiques, explicitement signalés dans les didascalies. Il se manifeste à travers le jeu bouffon des deux serviteurs, Georgette et Alain. C’est notamment le cas des bousculades et des coups à l’acte I, scène 2. On note aussi le comique de répétition, comme le chapeau ôté de la tête d’Alain trois fois dans cette scène, ou la répétition du rejet d’Horace à la scène 4 de l’acte IV. Il faut aussi imaginer les gestes et les