Boxe pieds-poings

raccroche, rappelle-nous quand tu seras décoincé, quel ingrat ! Clic ! Je préfère clic ! que Crac ! Allonge-toi sur le canapé… Tu n’es pas en état de téléphoner à S.O.S. médecins. Le temps d’expliquer et tu es mort… Voilà, deux coussins sous la tête. Les pieds un peu en hauteur… pour la circulation du sang… Cool… cool… dé-ten-du… pai… zi… ble… cool. Cela va un peu mieux… C’est une honte de voir comment ces deux demeurés me traitent… Poker ! Encore une de leurs combines pour se mettre en valeur… Sur mon dos…

boulevard Jamin 115 Boulevard Charles Arnould 27 rue du Muguet Parc du Château de Montvillers BP 45036 1, place du Château 21 rue Cloître Saint Etienne Chemin des Champs de la Loge LP Les Vassaules 4 rue Joliot Curie 713, avenue de l'Europe Avenue Bernard Pieds BP 2089 Route Novion-Porcien 4 rue des Ecoles 145, avenue du Général De Gaulle 13 rue Delvincourt 46 Avenue Georges Clémenceau 56 rue du Docteur Schweitzer 21 avenue du Général De Gaulle 16 rue Youri Gargarine Rue de la Maladière BP48 8 rue Godart

chambre. -Tu comptes me planquer au trois-centième étage ? Demandai-je en soufflant après avoir monté six étages.-Bientôt tu ne sentiras plus la fatigue, me rappela-t-il moqueur.-Peut-être mais là je la sens, marmottais-je.Il souffla bruyamment et mes pieds quittèrent le sol. J'écarquillai les yeux avant de me rendre compte qu'il m'avait pris dans ses bras.Une poignée de secondes suffirent pour m'amener quelques étages encore plus hauts.-C'est ici, annonça-t-il en me déposant.Il ouvrit la porte. Je béait

dans le Saint-Coran et ce n'est pas pour rien. Dans un hadith authentique rapporté par Ahmad, le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « Les yeux se rendent coupables de fornication, les mains se rendent coupables de fornication, les pieds se rendent coupables de fornication et les parties intimes se rendent coupables de fornication. » Ses hommes je les vois toujours de la même manière, ce sont des damnés, des âmes tiraillés par la défaite car ils empruntent le chemin le plus dangereux

ancienne table à jeu et d'un cartonnier, ce débarras s'éclairait sur la cour par le cintre de la grande fenêtre du dessous; cela faisait dans la muraille une porte d'orangerie, basse et vitrée, devant laquelle l'historien en labeur s'apercevait des pieds à la tête, péniblement ramassé comme le cardinal La Balue dans sa cage. C'est là qu'il se trouvait un matin, les yeux sur un vieux grimoire, quand le timbre de l'entrée retentit dans l'appartement envahi par le tonnerre de Teyssèdre. «Est−ce vous,

contre-courant. Elle décrocha et hurla : – Ne quitte pas ! Pour quelqu'un qui s'était juré de ne rien laisser paraître, tu commences bien, ma vieille. Se frayer un chemin, pousser la pimbêche perchée sur hauts talons et le balourd qui la courtise. Écraser les pieds de cette grande perche squelettique qui se tortille telle une anguille, contourner le bellâtre qui la scrute comme une proie, tu vas te marrer, mon vieux, elle a l'air d'avoir de la conversation. Plus que dix pas jusqu'à la porte. – Reste en ligne

profond, rythmé et lent : B-B!...B-B!... B-B!... — encore et encore, très lentement, avec une longue pause entre le premier « Il » et le second. C'était un lourd murmure sonore, curieusement sauvage, derrière lequel semblaient retentir un bruit de pieds nus et un battement de tam-tams. Le chant dura peut-être trente secondes. C'était un refrain que l'on entendait souvent aux moments d'irrésistible émotion. C'était en partie une sorte d'hymne à la sagesse et à la majesté de Big Brother, mais c'était

rythmé et lent : B-B !… B-B !… B-B !… – encore et encore, très lentement, avec une longue pause entre le premier « B » et le – 20 – second. C’était un lourd murmure sonore, curieusement sauvage, derrière lequel semblaient retentir un bruit de pieds nus et un battement de tam-tams. Le chant dura peut-être trente secondes. C’était un refrain que l’on entendait souvent aux moments d’irrésistible émotion. C’était en partie une sorte d’hymne à la sagesse et à la majesté de Big Brother, mais c’était

rythmé et lent : B-B !… B-B !… B-B !… – encore et encore, très lentement, avec une longue pause entre le premier « B » et le – 20 – second. C’était un lourd murmure sonore, curieusement sauvage, derrière lequel semblaient retentir un bruit de pieds nus et un battement de tam-tams. Le chant dura peut-être trente secondes. C’était un refrain que l’on entendait souvent aux moments d’irrésistible émotion. C’était en partie une sorte d’hymne à la sagesse et à la majesté de Big Brother, mais c’était

G D C Je frappe aux portes du matin Plus rien dans les mains G D C Je frappe aux portes du matin G D C Em, D, C Pieds nus dans la rosée et plus rien à perdre. Ooho! Em D G C G Pour sortir du remous Qui nous entraîne coup sur coup D C D C Sur des vitrines