Bras de fer

aux cartes. Les trois hommes ont des cicatrices hideuses, on dirait qu'ils sont écorchés. Le premier à gauche n'a qu'un bras en prothèse, et comme il n'a qu'un pied, il s'en sert pour tenir les cartes.Le deuxième au centre, qui n'a ni pied, ni bras, tient ses cartes avec ses dents.Et le troisième et dernier à droite, a deux bras , dont un en prothèse. Il tient ses cartes dans le bras qui n'est pas endommagé il a un tuyau qui lui sert d'oreillette . Il porte sur sa veste une croix. Au second plan on

arrière-plan est vide preuve que les personnages ne peuvent rien accrocher avec leurs invalidité * les journaux en arrière-plan relatent les faits horribles de la guerre Personnage de gauche * Il n'a pas de bras droit et il semble avoir un bras mécanique à la place de son bras gauche * Son pied droit lui sert de main alors qu’il a une prothèse à partir de son genou de la jambe de gauche * Il a un dispositif auditif externe * La face droite de son visage est mutilée (a perdu

croix de fer à sa veste est sans doute une critique du peintre à l’égard du nationalisme excessif exprimés par certains anciens combattants allemands Le joueur de droite : Sa fausse mâchoire porte l'inscription "Prothese Marke : Dix" = « Marque de Prothèse : Dix ». Dix est le nom du peintre ; peut-être identifie-t-il ce personnage à lui-même ? Il porte la croix de fer allemande, décoration récompensant la bravoure des soldats. Il n'a pas de jambe ; son bras gauche est valide mais son bras droit ainsi

de lune , traversant la longue  fenetre, vint éclairer subitement le visage pâle de l'êvèque. Il dormait paisiblement. Il était presque vêtu dans son lit, à cause des nuits froides des Basses Alpes, d'un vêtement de laine brune qui lui couvrait les bras jusqu'aux poignets. Sa tete était renversée sur l'oreiller dans l'attitude abandonnée du repos ; il laissait pendre hors de lui sa main ornée de l'anneau pastoral et d'où étaient tombées tant de bonnes oeuvres et de saintes actions. Toute sa face s'illuminait

des pots de peintures achetés à moindre coût et une pendule qui ne donnait presque plus l’heure. Parmi toutes ces toiles, je posai ma dernière trouvaille. On pouvait observer sur ce tableau une dame âgée assise sur une chaise avec un bébé dans les bras. Cette dame souriait d’une manière inquiétante quant au bébé il donnait l’impression de pleurer. Une église était peinte en arrière plan sous un ciel sombre et menaçant. Il était près de minuit et un rayon de lune illuminait le tableau. Dans le silence

ce récit est ancré dans la réalité et la modernité de l'époque de l'auteur.Effectivement,différents éléments comme des lieux prouvent que l'on se situe bien au XIXe siècle comme « les chemins de fer », « le long chapelet des wagons s'engouffrer dans le tunnel »,qui renvoient à l'expansion des chemins de fer,ou encore « les petits bleus » avec l'utilisation croissante des télégraphes ,ou encore l'éclairage électrique (révolution industrielle). Enfin,Maupassant nous donne des descriptions pleines de

comme servante. Elle vit quelques jours de bonheur prés de celui qu’elle aime tandis que Pharaon, fou de désir et d’inquiétude, la fait rechercher. Une nuit, elle va suivre Poeri sans qu’il ne le sache dans la ville et va le découvrir dans les bras d’une autre femme (rachel). Tahoser va s’éffondrer devant la porte de Rachel car elle est malade (forte fièvre). Moîse va venir guerir Tahoser. Tahoser va renier les dieux de l’Egypte pour Jéhovah pour pouvoir garder son amour Poeri et le partager

semblable à la fatalité ; Pendant que sa colère monte, Jeter un cri d'humanité, C'est au sourd Océan qui blanchit son rivage Jeter dans la tempête un roseau de la plage, La feuille sèche à l'ouragan ! C'est aiguiser le fer pour soutirer la foudre, Ou poser pour l'éteindre un bras réduit en poudre Sur la bouche en feu du volcan ! Souviens-toi du jeune poète, Chénier ! Dont sous tes pas le sang est encore chaud, Dont l'histoire en pleurant répète Le salut triste à l’échafaud. Il rêvait, comme

dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu'es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer De feu

mâchoire, il porte la « Croix de fer » (Décoration donné à ceux qui ont fait preuve d’un grand héroïse lors des combats) Le deuxième au centre ne semble plus avoir de bras, il tient ses cartes entre ses dents, et a deux barres de fer à la place des jambes. Le troisième à gauche joue aux cartes avec l’un de ses pieds. Il a une main articulée. De son oreille part un tuyau qui lui permet d’entendre. Les trois personnages ont perdu une partie de leur corps jambes, oreilles, bras…Ils sont tous les trois rapiécés