Bras de la Plaine

Chant des partisans ainsi que les paroles originales russes, tandis que les paroles françaises ont ensuite été le générique de l'émission Honneur et Patrie diffusée sur la BBC. Strophe 1 :  « Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ? Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme. Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.»  Rappel de la situation désespérée de la France (1-2), puis lueur d’espoir (3-4) 

est jaune, comme une orange, Elle est vive comme un oiseau ! Oh ! quand sur ma bouche idolâtre Elle se pâme, la folâtre, Il faut voir, dans nos grands combats, Ce corps si souple et si fragile, Ainsi qu’une couleuvre agile, Fuir et glisser entre mes bras ! Or si d’aventure on s’enquête Qui m’a valu telle conquête, C’est l’allure de mon cheval, Venise Dans Venise la rouge, Ah ! maintenant plus d’une Pas un bateau qui bouge, Attend, au clair de lune, Pas un pêcheur dans l’eau, Quelque

m’empêchait de voir en quels lieux je suis née. Albe, où j’ai commencé de respirer le jour, Albe, mon cher pays, et mon premier amour ; Lorsqu’entre nous et toi je vois la guerre ouverte, Je crains notre victoire autant que notre perte. Rome, si tu te plains que c’est là te trahir, Fais-toi des ennemis que je puisse haïr. Quand je vois de tes murs leur armée et la nôtre, Mes trois frères dans l’une, et mon mari dans l’autre, Puis-je former des vœux, et sans impiété Importuner le ciel pour ta félicité

autres panneaux. -Sur le panneau de droite nous voyons un soldat transportant dans ses bras un autres soldat blesser de retour du front. Cette homme est le seul qui est face aux spectateurs et qui avance vers nous mais c'est aussi le seul qui ne porte pas l'uniforme du soldat ( masque, armes...). Donc sur le panneau de gauche les soldats montent au front pour combattre, au centre il s'agit d'une ville en plain combat et sur celui de droite les soldats fuient le front. Nous pouvons voir une suite

retournes ! O tristes pleins, ô désirs obstines, O temps perdu, ô peines dépendues, O mile morts en mile rets tendues, O pires maux contre moi destines! O ris, ô front, cheveux, bras, mains et doigts ! O luth plaintif, viole, archet et vois ! Tant de flambeaux pour ardre une femelle ! De toi me plains, que tant de feus portant, En tant d'endroits d'iceux mon cœur tâtant, N'en est sur toi volé quelque étincelle. Louise Labé, Sonnet II, Œuvres, 1555 « Je vis, je meurs ; je me

rencontra était un immense nid de verdure, des feuilles et encore des feuilles, des charmilles impénétrables coupées par de majestueuses avenues. La mousse, ivre de rosée, s’y livrait à une débauche de croissance ; les églantiers, allongeant leurs bras flexibles, se cherchaient dans les clairières pour exécuter des danses folles autour des grands arbres ; les grands arbres eux-mêmes, tout en restant calmes et sereins, tordaient leur pied dans l’ombre et montaient en tumulte baiser les rayons d’été

sentier déjà empli de frais et Blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall qui s’échevela à travers les sapins: à la cime Argentée je reconnus la déesse. Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la Plaine, ou je l’ai dénoncée au coq. A la grande ville elle fuyait parmi les Clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec Ses

ouest et plus de 2000 du nord au sud. Un territoire maîtrisé : les EU disposent d’un très bon réseau de transport surtout pour la route et les voies aériennes. L’immensité du territoire apporte de nombreuses énergies (charbon, hydroélectricité) les plaines se draines par des fleuves très important (Mississippi). Les espaces agricoles sont immenses. Il existe pourtant quelques difficultés : le sud-ouest est sec, les cyclons tropicaux sont fréquents et les ressources ne sont pas inépuisables. 2- la population

réaliste, un mendiant ne court pas, encore moins sur des quais de marbre, c’est un rêve.- Personnifications de fleurs, cascades etc. ne sont pas possibles => rêve.- les différents lieux défilent à grande vitesse : « dans l’allée, en agitant les bras, par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq, à la grand’ville elle fuyait »- la dernière strophe « au réveil il était midi » coupe avec toutes les autres puisque c’est un octosyllabes contrairement à la prose du reste du poème, et par l’utilisation du pronom

pour vivre et non vivre pour manger » Molière, L'avare « Mon verre est vide, je le plains Mon verre est plein, je le vide » RÉPÉTITION : RÉPÉTITION : Exprimer une idée, un mot ou un groupe de mot plusieurs fois. ANAPHORE : Répétition d’un mot, d’un groupe de mots au début de phrases successives pour produire un effet de symétrie ou de renforcement. « Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! Rome enfin