Bras de la Plaine

Elle était composée de deux îles en forme d’anneau, qui entouraient un îlot central ou se dressait l’Acropole. Un canal de 9 km de long reliait ces anneaux à la mer. La cité était entourée par une muraille, au-delà de laquelle s’étendait une immense plaine cultivée cernée par de lointaines montagnes. Les Atlantes fournissaient en bois et en minerais dont l’orichalque, métal légendaire qui “brillait comme l’or sous le soleil”. A-t-on retrouvé la ville mythique?Des scientifiques affirment avoir découvert

temporaire ou permanent, à forte pentes, à crues violentes et subites, au débit liquide et solide très variable, réalisant en général des charriages importants (rivière de montagne). Confluence : zone ou deux cours d’eau se rejoignent. Affluent : ??? Bras secondaire : chenal connecté à l’amont et à l’aval qui est plus petit que le chenal principal, entre les deux on a une île. Delta : zone d’accumulation sédimentaire à l’embouchure d’un cours d’eau où on trouve des diffluences. Diffluence : ???

vainement retournée ! Ô tristes plaints, ô désirs obstinés, Ô temps perdu, ô peines dépendues, Ô milles morts en mille rets tendues, Ô pires maux contre moi destiné ! Ô ris, ô front, cheveux bras mains et doigts ! Ô luth plaintif, viole, archet et voix ! Tant de flambeaux pour ardre une femelle ! De toi me plains, que tant de feux portant, En tant d'endroits d'iceux mon cœur tâtant, N'en ait sur toi volé quelque étincelle. Louise Labé (1524-1566) un texte littéraire on nous demande de montrer la

maniait de son bras gauche protégé par un manchon métallique au bout duquel était fixé l'arme. Gladiateurs à petit bouclier Le rétiaire , gladiateur léger, frappa les imaginations par son équipement offensif caractéristique. Sa panoplie rappelle en effet celle du pêcheur : filet ( reta ), trident ( fuscina ) et poignard ( pugio ). Son armement défensif, en revanche, est réduit au minimum : pas de casque, mais des chevillères ( fasciae ) et un brassard ( manica ) qui protégeait le bras gauche, le

libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes

ROMANCES SANS PAROLES par PAUL VERLAINE ARIETTES OUBLIÉES I Le vent dans la plaine Suspend son haleine. (Favart) C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises, C'est, vers les ramures grises, Le chœur des petites voix. O le frêle et frais murmure ! Cela gazouille et susurre, Cela ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. 1 Cette âme qui se lamente

tortueuses, et dispersés sur la surface de la terre, se perdent dans son sein, ou se jettent dans l'océan ; et alors, coulant plus librement dans son enceinte immense et profonde, ils n'ont à presser d'autres bords que les siens. Ce dieu dit, et les plaines s'étendirent, les vallons s'abaissèrent, les montagnes élevèrent leurs sommets, et les forêts se couvrirent de verdure. Ainsi que le ciel est coupé par cinq zones, deux à droite, deux à gauche, et une au milieu, qui est plus ardente que les autres

ROMANCES SANS PAROLES I Le vent dans la plaine Suspend son haleine. (FAVART.) C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises, C'est, vers les ramures grises, Le choeur des petites voix. O le frêle et frais murmure ! Cela gazouille et susure, Cela ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. Cette âme qui se lamente

Le soleil pointe lentement à l’horizon, une nuit glaciale prend fin dans la vaste plaine désolée parsemée de monolithes aussi noir que la nuit. Quelques corbeaux tournent lentement dans le ciel de plomb attendant patiemment que les vautours finissent de déchiqueter les derniers cadavres, chacun son tour à la cantine et tout se passe bien. Au milieu de l’orgie barbare qui s’est déroulée la veille quelques hommes ratatinés, à l’air sinistres et sales passent entre les corps sans prêter la moindre attention

rompt avec la tradition en abandonnant les vers classiques (rimes et vers) : il écrit un poème en prose. On retrouve le flou impressionniste, le paysage n’est décrit que par quelques éléments (« l’eau », « la route du bois », « les sapins », « la plaine ») mais jamais nous n’en avons une description précise. Le poème a une atmosphère calme comparable à celle du tableau de Monet. Tout semble flou, imprécis comme baigné dans la lumière du petit matin : « blêmes éclats », « voiles », … Tout comme