Bras de la Plaine

suivant de près sa renommée, Hier avec la nuit arriva dans l'armée. Mais des nœuds plus puissants me retiennent le bras ; Ma fille qui s'approche, et court à son trépas, Qui loin de soupçonner un arrêt si sévère, Peut-être s'applaudit des bontés de son père, Ma fille... Ce nom seul, dont les droits sont si saints, Sa jeunesse, mon sang, n'est pas ce que je plains. Je plains mille vertus, une amour mutuelle, Sa piété pour moi, ma tendresse pour elle, Un respect qu'en son cœur rien ne peut

En bas a droite, ce trouve un cadavre, c’est un soldat de la garde royale de Charles X. A sa gauche, un autre cadavre, il est a moitié, ces bras sont étendus, Delacroix a voulu montrer la cruauté et l ’extrême violence des combats entre l’armée et les insurgés. Au centre a droite, un enfant qui est le symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice. Le bras levé, armé de pistolets de cavalerie, il participe au combat. Composition Le premier plan est occuper par les corps des victimes et des blessés

sur plusieurs centaines de kilomètres de Sendaï au nord à Kumoto au sud et qui s'est formée au Moyen-âge dans les plaines littorales. C'est une bande littorale de 1500km de long et 100km de large. l'ensemble urbain est discontinu et s'organise autour du coeur métropolitain de Tokyo, Osaka et Nagoya. Extension dans les espaces ruraux fortement urbanisés: les desakotas. Les plaines littorales s'ouvrent sur de larges baies qui favorisent le peuplement. Les ponts gigantesques permettent également

aveugles sous les portes, impassibles en leur éternelle obscurité, restent calmes comme toujours au milieu de cette gaieté nouvelle, et, sans comprendre, ils apaisent à toute minute leur chien qui voudrait gambader. Quand ils rentrent, le jour fini, au bras d’un jeune frère ou d’une petite sœur, si l’enfant dit : « Il a fait bien beau tantôt ! », l’autre répond : « Je m’en suis bien aperçu, qu’il faisait beau, Loulou ne tenait pas en place. » J’ai connu un de ces hommes dont la vie fut un des plus

aveugles sous les portes, impassibles en leur éternelle obscurité, restent calmes comme toujours au milieu de cette gaieté nouvelle, et, sans comprendre, ils apaisent à toute minute leur chien qui voudrait gambader. Quand ils rentrent, le jour fini, au bras d'un jeune frère ou d'une petite soeur, si l'enfant dit : "Il a fait bien beau tantôt !", l'autre répond : "Je m'en suis bien aperçu, qu'il faisait beau, Loulou ne tenait pas en place." J'ai connu un de ces hommes dont la vie fut un des plus cruels

gorilles, gibbons et orang-outans dont le nombre n'a cessé de diminuer depuis... ou investir la plaine comme le firent nos ancêtres... Or, dans la plaine, il nous a fallu, pour nous nourrir, nous adapter au type de comportement que dicte ce milieu de vie : celui de chasseur carnassier en terrain découvert Le singe nu est plutôt faible, pauvrement armé et n'a pas du tout les avantages des carnassiers de plaine (odorat, endurance, sprint foudrayant, capacité de jeune). Comment l'espèce humaine a-t-elle

matin, et l'on apercevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain ; tandis qu'en face, au bout d'une chaîne de collines, des terres remuées indiquaient le nouveau fort de Cormeilles. Tout au fond, dans un reculement formidable, par-dessus des plaines et des villages, on entrevoyait une sombre verdure de forêts. Le soleil commençait à brûler les visages ; la poussière emplissait les yeux continuellement, et, des deux côtés de la route, se développait une campagne interminablement nue, sale

toast en un festin, Un jour je soulevais mon verre. En face de moi vint s'asseoir Un convive vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Il secouait sous son manteau Un haillon de pourpre en lambeau, Sur sa tête un myrte stérile. Son bras maigre cherchait le mien, Et mon verre, en touchant le sien, Se brisa dans ma main débile. Un an après, il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui

matin, et l'on apercevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain ; tandis qu'en face, au bout d'une chaîne de collines, des terres remuées indiquaient le nouveau fort de Cormeilles. Tout au fond, dans un reculement formidable, par-dessus des plaines et des villages, on entrevoyait une sombre verdure de forêts. Le soleil commençait à brûler les visages ; la poussière emplissait les yeux continuellement, et, des deux côtés de la route, se développait une campagne interminablement nue, sale et

Lecture Le Moulin Le moulin tourne au fond du soir, très lentement, Sur un ciel de tristesse et de mélancolie, Il tourne et tourne, et sa voile, couleur de lie, Est triste et faible et lourde et lasse, infiniment. Depuis l'aube, ses bras, comme des bras de plainte, Se sont tendus et sont tombés ; et les voici Qui retombent encor, là-bas, dans l'air noirci Et le silence entier de la nature éteinte. Un jour souffrant d'hiver sur les hameaux s'endort, Les nuages sont las de leurs voyages