Brent

La stratégie et le pilotage en matière de risque sont-ils compatibles avec le modèle d’affaires et le profil de risque définis par l’entreprise? Pas de changement en vue quant à la volatilité des marchés 2008 a été une année de crise et le prix du Brent a pratiquement atteint 150 USD le baril avant de retomber peu après en dessous de 40 USD; au début mai 2010, il est remonté à quelque 80 USD. Cette évolution est typique de l’ensemble du marché des matières premières: pendant la même période, les prix

Turquie et du Brésil. Synthèse de nos recommandations MULTI-ASSET CLASS 1 Alpha Current weight EQUITIES Developed Equities Emerging Equities FIXED INCOME Government Bonds Investment Grade High Yield Emerging Debt Emerging Debt Local COMMODITIES Brent Oil Base Metals Gold Agricultural Cash Euro Module Total PORTFOLIO STATISTICS Target Ex-ante Volatility Real Ex-ante Volatility -0.09 0.07 -0.5% 0.3% Previous weight 0.0% 1.2% EQUITY DEVELOPED COUNTRIES 1 Alpha US Canada Euroland Japan UK Switzerland

réduites de moitié en 2009, les exportations ont manqué de dynamisme. Le montant de la facture énergétique s’est élevé à 41,8 milliards EUR, soit près de 15% du total des importations. Toutefois son poids a baissé en raison de la chute des cours du Brent et de l'augmentation de la production d'énergie renouvelable. Hormis les produits alimentaires dont la balance demeure excédentaire, le solde a été négatif pour les autres postes sur l'année 2010, ce qui démontre la perte de compétitivité de l’économie

porosité drainant le pétrole vers le puits. 7 Degré API : unité de mesure de la viscosité d’un pétrole. Un pétrole lourd à un degré API inférieur à 20 (inférieur à 10 il est qualifié d’extra lourd), un pétrole léger à un degré API supérieur à 30. Brent (38.3°), WTI (39.3°), Oural (32.0°). 8 EOR : Enhanced Oil Recovery, i.e. optimisation du taux de recuperation ou techniques de recuperation secondaires ou tertiaires. © CCMP – 2008 – Industrie pétrolière – Edouard ETIENVRE et Frédéric PREVOT –

– Notation des Etats – Vente de logements neufs aux EU – Le moral des patrons (croient en un avenir florissant ou non) – Indice d'activité de la FED – L'évolution des PIB, de l'inflation, du chômage – Indice GFK sentiment des conso – Prix du brent – Indice des organismes internationaux – Taux bancaires – Valeur des devises – Niveau de la consommation des ménages – Niveau d'investissement des entreprises Il existe des sociétés qui sont soit des filliales de banques soit des sociétés indépendantes

secteur non pétrolier. Les prix des principales matières premières ont diminué en 2014. En particulier, le cours du pétrole brut Brent a chuté de 44,1% entre juin 2014 (104,1$/baril) et décembre 2014 (60,5$/baril). En moyenne annuelle, cette baisse est de 7,5%. Graphique 2 : Evolution du prix du pétrole brut et de l’indice des matières premières importées (Moody’s) Prix moyen Brent ($/baril) Indice Moody's des matières premières 120 7 500 7 000 6 500 105 6 000 5 500 90 5 000 4 500 4 000 75 3 500

3 MMDhs 2005 - 2008 : Baril moyen : 72 $ Compensation : 17.5 MMDhs 1991 - 2004 : Baril moyen : 22 $ Compensation : 3 MMDhs 2009 - 2011 : Baril moyen : 84 $ Compensation : 30 MMDhs 10 0 30 0 20 10 0 Baril de pétrole Brent Baril de pétrole Brent Baril de pétrole Brent 1997 1998 2000 2001 Compensation Compensation Compensation 2006 2007 2008 Cette évolution favorable de l’inflation témoigne de la pertinence de la politique économique du gouvernement qui met au devant de la scène le

domestique a mené à un déséquilibre au profit des importations. Par ailleurs les revenus à l'exportation ne vont plus bénéficier du prix élevé du pétrole (le Danemark est un exportateur net de pétrole et de gaz) en raison de la forte baisse des cours du Brent. Par conséquent la balance commerciale est restée en déficit en 2009, tout comme le solde du compte courant. Grâce à une amélioration des conditions du marché, la balance commerciale du Danemark est redevenue positive sur les premiers mois de l'année

à terme affecter la croissance mondiale. Cependant selon les experts, si celle-ci touche la croissance mondiale, l’OPEP interviendra en augmentant la production mondiale. Les experts situent ce seuil à environ 110 dollars, soit la moyenne entre le Brent (Londres)et le WTI(New York). D’autre part, les dernières tensions au Yémen, Syrie et Oman font redouter aux investisseurs des perturbations prolongées sur l'offre de brut. Si les tensions dans les pays arabes se poursuivent et que l'OPEP n’intervient

zone euro (+0,8 % en décembre 2010) et elle remonterait légèrement en France (cf. graphique 4). Quasi-stabilité de l’inflation totale en France et en zone euro Sous l’hypothèse d’une stabilisation des prix du pétrole autour de 75$ le baril de Brent et d’un retour des prix des produits alimentaires vers leurs niveaux habituels de saison, le glissement annuel des prix se stabiliserait au second semestre en zone euro et en France. Il atteindrait ainsi +1,6 % en décembre 2010 en France et 1,7 % en